trio sexe dans les douches du camping libertin

Ça se passe toujours un peu comme ça avec Sabine et Léonard, dès qu’il s’agit d’organisation. Un soir de mai où nous partouzions dans un sauna mixte de notre ville, entre deux séances de galipettes, Sabine m’a proposé : « ça te dirait de passer une semaine au Cap avec nous ? ». Excusez ma réaction de libertine néophyte (nous en étions au début de mes aventures coquines) : « au Cap ? Qu’est-ce c’est, le Cap ? ». Les trois couples échangistes avec qui nous sirotions un verre ont pouffé de rire. « Mais, ma chérie », me demande une grosse coquine à la poitrine opulente, « tu ne connais pas le Cap d’Agde ? ». Bien sûr que j’avais déjà entendu parler du Cap d’Agde et de son village naturiste. Mais je n’avais guère prêté foi aux allégations de fornication qui courraient à son sujet.

Histoires de libertinage au Cap d’Agde

Et j’avais tort. A en croire les récits cochons qui ont suivi, ce lieu semblait bien être le centre de la débauche et de la luxure en France. Intriguée, plus qu’excitée à vrai dire, j’ai dit que oui, que ça m’intéressait. Qu’il fallait que je regarde les jours de congés dont je disposais. « Tu vas voir, tu vas adorer ! » m’a précisé la grosse cochonne bustée tout en me caressant l’épaule d’une façon très suggestive. Sabine et Léonard – pensais-je – avaient tout prévu. Ils se faisaient prêter un camping-car tout équipé, avec un second lit pour leur invitée. Moi, en l’occurrence. Et nous irions au camping du quartier naturiste.

Mais voilà : si bon vivant rime avec prévoyant, comme le disait la pub, ce n’est pas vraiment le cas de mon couple libertin préféré. Une semaine avant le grand départ pour la capitale de la gaudriole librement consentie, Sabine m’appelle, en panique. Ces deux zigotos ont « oublié » de réserver une place au camping ! Et, évidemment, celui-ci affiche complet. Je dois bien reconnaître ma déception. Je m’étais un renseignée sur le Cap d’Agde libertin et ses partouzes incroyables, et je m’étais faite à l’idée. Alors, en désespoir de cause, je fais une recherche sur google. Et là, je tombe sur un lieu qui m’intrigue. Ça se situe à quelques kilomètres d’Agde et c’est naturiste. C’est toujours ça, me dis-je. Et j’en fait part à mon amante.

Le camping libertin

Sabine se montre ravie. D’autant plus que « Terre de Soleil », comme se nomme l’endroit, semble aussi libertin que naturiste. En effet, ils n’accueillent que les adultes. Et uniquement les couples… Zut ! Certes, j’ai trouvé un lieu de villégiatures pour mes amis, mais me voici piégée. S’ils n’acceptent que les couples, ils ne voudront jamais d’un trio HFF ! « Tu rigoles ou quoi ? Ils seront ravis, au contraire », se moque Sabine, avant de raccrocher. Quelques minutes plus tard, elle me confirme que la direction n’a pas tiqué du tout, « mais alors pas du tout » à l’idée de deux campeuses pour un campeur. Nous voilà partis.

Après quelques heures de route, dont je vous ferai peut-être le récit un jour (ça ne manque pas de piquant), nous arrivons au fameux camping libertin et naturiste. L’accueil est charmant. Et la demoiselle, vêtue comme dans n’importe quel accueil de n’importe quel établissement de ce genre, nous explique que, durant la semaine, l’accès au club échangiste situé à côté est gratuit pour les couples résidents. Car j’ai oublié de vous le préciser : le camping est attenant à un célèbre club libertin, dont je vous parlerai plus tard. Les formalités réglées, nous prenons la direction de notre emplacement, à bord du camping-car. Au passage, nous croisons quelques couples, entièrement nus, dont les tatouages, mais surtout quelques piercings, semblent laisser deviner le côté libertin.

Les douches du camping

Sabine et Léonard prennent les choses en main et commencent à installer le véhicule sur des cales, niveau-à-bulle en témoin. Ils sortent une table, des chaises, un parasol. Je ne sais pas comment me rendre utile. « Tu voulais aller prendre une douche ? » me lance Sabine dans un sourire, « vas-y, on s’occupe de tout ». Je prépare mes affaires. Là, Léonard, rigolard, m’interpelle : « c’est naturiste ici ». Devant les regards vicieux de mes deux compagnons de jeux, je me déshabille entièrement. Je ne suis toujours pas à l’aise avec mon corps, certes mince, mais pas assez voluptueux à mes yeux. Sabine et Léonard ont décidé de rester habillés durant l’installation, mais remarque que le couple de voisins me reluque.

Sur ce, je me dirige vers le bloc sanitaire. J’ai l’impression que tout le monde me zyeute. Heureusement pour moi que les douches ne se trouvent pas loin de notre emplacement. Je m’y précipite et m’enferme entièrement nue, avec ma trousse de toilette et ma serviette. Il faut que je vous dise que tout le camping Terre de Soleil se trouve fourni en eau par des sources locales, qui coulent tièdes. Et quel bonheur c’est pour moi de passer mon visage humide de sueur sous cette eau vive de la douche. Je saisis un gel douche et je commence à me savonner. J’aime caresser mon corps de cette manière. Alors, je passe du temps sur mes seins sensibles. Je descends sur mon ventre puis entre mes cuisses. A ce moment précis, me revient l’idée de ce que je fais là : des vacances libertines avec un couple échangiste et totalement libéré sexuellement.

Masturbation féminine dans les douches

Et donc, je me masturbe. Là, sous la douche, qui, d’ailleurs, a fini de couler. De plaisir, et de volonté de discrétion, je me mords les lèvres pour ne pas laisser entendre un soupir de volupté. Debout, dans cette cabine de salle de bain collective, je me fais du bien. De temps à autre, je rallume l’eau, qui me caresse la peau. C’est alors que j’entends un autre soupir. Pas le mien. Ça vient de la cabine à côté, et c’est féminin. Non, j’entends aussi un grommellement, tout ce qu’il y a de plus viril. Ni une, ni deux, je remballe mon fourbis dans ma trousse de toilette et me sèche avant de sortir de la cabine. Saurais-je dire pourquoi, mais j’ai un peu la frousse. Alors, je m’apprête à quitter les lieux et à rejoindre Sabine et Léonard. Mais une force me retient. La libido ? La simple curiosité ?

Je reviens vers la cabine d’où soulèvent toujours des murmures de sexe. Je suis nue, seule dans les parties communes des sanitaires. Les miroirs disposés au dessus des lavabos me renvoient mon image. Cette nudité m’excite. Comme souvent chez les naturistes – je l’ai découvert plus tard – les personnes qui se trouvent derrière cette porte de douche ne l’ont pas verrouillée. Alors, je la pousse. Là, je découvre un couple d’un âge avancé. Madame tient la bite de son homme en main et la caresse. Monsieur a les doigts entre les cuisses de son épouse et tète avec avidité de lourds seins légèrement tombants. Je suis repérée. Je reste là, interdite. Ils me regardent tout en continuant leur petite affaire. Soudain, madame me jette un regard plein de vice. De l’index, elle me fait signe de m’approcher.

Trio sexe au camping naturiste

Mue par une force que je ne maîtrise pas, je m’approche. Je prends le sexe de monsieur entre mes doigts. Il est gros, épais, mais très long. Déjà, elle suce mes tétons. Puis elle passe sa main sur mon sexe. Ma masturbation interrompue m’a laissée trop sensible. Je crois défaillir. Déjà, un premier orgasme se saisit de moi. Je tombe à genoux sur les carreaux de la douche du camping. Sa queue est face à moi, je la prends en bouche. Au bout de quelques minutes, elle me fait me relever et me donne ses gros seins à sucer. Madame est prévoyante, elle. Elle sort une capote de leur trousse de toilette. Ils parlent une langue que je ne reconnais pas. Ce que je reconnais en revanche, c’est la sensation d’une grosse bite qui pénètre mon sexe, par derrière, tandis que je suce les gros seins de la dame.

Il me baise, alors que je caresse sa chatte. Ils vont jouir tous les deux. Moi aussi, encore. Ça n’a pas duré plus de cinq minutes. Ils me disent au revoir dans un accent que je crois scandinave. M’embrassent sur la bouche. Je retourne à l’emplacement où est stationné le camping-car. Sur la table, mon couple libertin m’a laissé un mot : « on n’a pas voulu te déranger, sous la douche – nous sommes à la piscine du camping, viens nous rejoindre ».