orgie sadomaso pour trois couples libertins

C’est au tour de Cathy, nouvelle venue dans l’équipe, de nous raconter les moments les plus marquants de sa vie libertine. Elle a choisi de débuter avec ce récit d’une orgie sadomaso entre trois couples libertins particulièrement déjantés.

Cette histoire a commencé quand nous avons fait la connaissance, sur internet, de deux couples. Ils se fréquentaient déjà entre eux. Leurs jeux de rôles SM les amenaient à des situations scabreuses et insolites. Ces deux couples échangistes avaient pris l’habitude, au gré des fantasmes de soumission des femmes, de sacrifier au rituel de l’orgie sadomaso. En tout cas, rendez-vous a été pris chez nous. Où les quatre libertines et libertins sont arrivés ensemble. C’est mon mari qui leur a ouvert, seul. Un moment, ils ont du croire à un de ces plaisantins que l’on croise parfois sur le net. Et dont la femme n’est en fait qu’une affabulation. Mais il les a immédiatement entraînés vers la salle à manger.

Que l’orgie sadomaso commence

Là, les quatre échangistes SM m’ont trouvée, entièrement nue, allongée sur un drap posé au sol. De plus, j’avais le cul orné d’un joli rosebud qu’il m’avait planté dans l’anus préalablement. J’adore cette sensation, ce moment où je me révèle telle qu’en moi-même : salope, soumise, vicelarde. Une des femmes s’est posée devant moi, a contemplé ma chatte, que je branlais fébrilement. Elle s’est mise à me parler. A me dire que j’étais une belle catin. Et qu’elle allait me prouver à son tour quelle chienne docile elle pouvait devenir.

Alors, André, son mari – celui qui s’est révélé le plus entreprenant et le plus directif tout au long de cette orgie sadomaso – a pris les choses en main. Il a exigé que ces dames s’allongent sur le ventre, à mes côtés, les fesses bien offertes. Alors, mon mari a sorti son martinet de notre tiroir à sextoys. Les hommes se sont relayés de longues minutes, à nous faire rougir le postérieur avec les lanières de l’instrument de punition. Je n’étais pas peu fière de me montrer la moins geignarde des trois. En fait, j’aime ce moment. J’aime quand la chaleur de la douleur monte de mes fesses à tout mon corps, m’envahit littéralement.

Trois soumises lubriques pour trois sadiques

Nous étions donc toutes trois à tortiller du cul comme des folles, transies par la morsure du cuir sur nos peaux, quand André a eu une nouvelle idée. Fatigué de nous entendre gémir, et satisfait de la teinte rouge violacée de nos postérieurs, il souhaitait maintenant, approuvé par les deux autres hommes, nous voir nous gouiner. On nous fit nous disposer sur le lit de telle sorte que chacune d’entre nous broutait le minou d’une autre. Déjà passablement excitées par les mauvais traitements qu’on nous avait fait subir, il ne nous fut pas bien difficile de faire jouir, chacune à notre tour, celle que nous léchions.

Mais l’orgie sadomaso ne devait évidemment pas s’arrêter là. André nous fit mettre à quatre pattes, présentant nos culs endoloris aux deux autres dominateurs. Les mecs firent des commentaires salaces à notre sujet. Bien sûr, ils étaient ravis d’avoir trois catins masochistes à leur disposition. Ils voulaient en profiter à fond. Alors, on nous fit mettre à genoux, nues à même le sol. Chacune d’entre nous se devait de prendre en bouche la queue d’un homme qui n’était pas son conjoint. Moi-même, j’ai partagé la bite d’André avec l’une des autres soumises. Il était vraiment vicieux, pervers. Et profitait de cette orgie sadomaso pour réaliser tous ses fantasmes.

Là, il m’a fait me placer à califourchon au dessus de la bouche de l’autre salope, à qui il a ordonné de me lécher. Après avoir regardé un moment le spectacle, il s’est placé derrière moi, et a introduit, sans me demander mon accord, son vit long et épais dans mon petit trou. Ma peau me brûlait, mon anus aussi.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *