deux libertines mûres en dogging nature

Décidément, Cathy, notre chaude rédactrice, aime le libertinage hard. Après nous avoir raconté, entre autres choses, une orgie sadomaso à laquelle elle a participé, la voici qui se lance dans le récit d’une séance de dogging nature qu’elle a vécu en compagnie d’une autre libertine mûre.

Nous étions pourtant en plein automne. Vraiment pas le temps idéal pour organiser un dogging sauvage. Et pourtant, Brigitte et Henri en avaient très envie. Ils nous ont contactés sur notre tchat coquin préféré. Là, ils nous ont demandés si une petite virée à quatre dans notre coin à voyeurs favori nous tenterait. Si vous me connaissez un tant soit peu, ou si vous avez lu mes contributions, vous savez bien que je suis toujours plus ou moins tentée.

Exhibition de deux libertines mûres

Il faut vous dire que nous n’en étions pas à notre première escapade avec Brigitte et Henri. Je me souviens d’une aventure en club échangiste où tous les mecs présents ont pu nous baiser à la chaîne toutes les deux. Trop heureux, les mecs, de tringler deux libertines mûres aussi… disponibles. Bref. Nous nous sommes donc retrouvés directement sur le coin à voyeurs. Brigitte portait une tenue de résille, qui la laissait finalement entièrement nue sous son pardessus. J’avais, quant à moi, opté pour une tenue plus discrète. En effet, les mateurs étaient là, à l’affût, prêts à sauter sur nous au moindre geste de notre part.

Ce petit parking boueux en lisière de forêt constitue finalement, pour moi, le plus chaud des lieux échangistes du Var. Quand il fait beau, ce sont des dizaines de vicieux qui s’y promènent. On y trouve même souvent quelques couples aussi impudiques que nous. Un coin à voyeurs, comme il en existe trois ou quatre par département. Le dogging pouvait commencer. C’est mon mec qui a pris les choses en main, commençant à nous photographier avec ce regard pervers qui le caractérise. Il nous a fait mettre à quatre pattes dans la camionnette de Henri. Nos culs nus tendaient vers les voyeurs. Puis, au rouge à lèvre, il a écrit au dessus de nos chattes une inscription claire et précise : « je suis une pute ».

Le dogging nature peut commencer

Déjà, les mecs se branlaient, la queue sortant juste de leur braguette, alors que nous étions toutes deux presque entièrement à poil. La séance débutait réellement. Il y en avait des jeunes, des vieux, quelques homos habitués de ce coin à voyeurs, un peu déçus de voir autant de « concurrence ». Tous se sont approchés de nous, y compris les gays. N’y tenant plus, j’ai fait signe à l’un des branleurs de venir jusqu’à moi. Il m’a tendu son zob, que j’ai pris en bouche sans même y penser. Je suis comme ça, je ne peux pas résister à l’envie de pomper une bonne queue. Je me suis appliquée, creusant les joues, jouant de la langue sur son gland gonflé. Quand j’ai senti qu’il allait partir, je me suis mise à agacer son frein du bout de la langue. Et il s’est répandu dans ma bouche, pour mon plus grand plaisir.

C’est ce que j’aime dans un coin à voyeurs. Si vous ne souhaitez faire qu’une exhibe soft, les mecs se tiennent à distance. Mais si vous préférez un dogging bien sauvage, un mot suffit à les faire s’approcher. Je me suis alors retournée vers Brigitte. Elle aussi était en train d’offrir une splendide fellation à un parfait inconnu. Et ce petit jeu a duré de longues heures, dans l’atmosphère humide de ce milieu d’automne. Au cours de cette exhib hardcore, dans ce coin à voyeurs, je ne sais pas combien d’hommes j’ai sucé, combien de mâles se sont vidés les burnes dans ma bouche vicieuse. Pendant que l’un me léchait ou me doigtait la chatte, j’en avais toujours un au fond de ma gorge.

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