avec une copine gourmande en glory-hole
Lydie reste sans aucun doute la plus trash des libertines de ce blog. Aujourd’hui, elle nous raconte comment elle s’est retrouvée en compagnie d’une autre gourmande, à sucer des bites dans le glory-hole d’un sexshop. Alors, qui osera relever le défi ?
=> lire l’aventure précédente de Lydie
=> tous les récits libertins de Lydie
Découverte du glory-hole
Or, à l’arrière de la boutique, se trouvaient des cabines de visionnage porno. Comme elle est curieuse, ainsi que son homme, elle est allée voir. Bien entendu, on sait que ce genre d’endroits est prisé d’une certaine clientèle masculine : plus ou moins bisexuelle, plus ou moins refoulée. Alors quand elle est rentrée dans ce dédale de couloirs, ça a fait son petit effet. Je dois vous décrire Natacha, ma copine coquine. Il s’agit d’une belle blonde, cheveux courts, silhouette gracile, de 35 ans seulement. Certes, elle n’affiche qu’un petit 85B en tour de poitrine, mais ses lèvres sensuelles et son cul à tomber lui permettent de mettre n’importe quel homme hétéro dans son lit. Alors, imaginez seulement quand une si belle plante débarque dans les cabines d’un sexshop.
Finalement, véritablement harcelée, avec son compagnon, par la concupiscence des clients, ma belle libertine s’est réfugiée dans une petite pièce, à peine assez grande pour deux, mais qui présentait l’avantage de fermer grâce à un loquet. Outre un écran sur lequel on pouvait regarder, moyennant finance, le film de cul de son choix, se trouvait là un simple tabouret. Mais Natacha n’eut guère le temps d’en voir plus. De la cloison qui les protégeait, elle et son mec, apparut une bite, puis une autre. Il fallait se rendre à l’évidence : la cabine faisait office de glory-hole.
Au fond du sexshop
Je vous laisse imaginer mon état d’excitation quand Natacha m’a parlé de toutes ses queues tendues vers elle, et qu’elle a pu branler et sucer selon ses envies ! Et c’est en constatant mon enthousiasme qu’elle a eu l’idée de me proposer d’y aller ensemble. En plus, il existait une cabine plus vaste qui pourrait nous accueillir tous les quatre : nous deux et nos conjoints. Ainsi fut fait.
Et c’est comme ça que nous nous retrouvons, Natacha et moi, suivies de près par nos hommes, dans les rues de la dite ville, habillées simplement de manteaux de fourrure (fausse, la fourrure). Nous pénétrons dans le sexshop. L’endroit ne ressemble ni à un bouge, ni à une de ces boutiques proprettes supposées attirer femmes et couples. Le type à la caisse nous regarde, goguenard. Les clients, trois vieux types manifestement célibataires, à en juger par leurs fringues pourries, se planquent derrière les étagères de sextoys et de DVD X. Mais Natacha n’en a cure, qui file vers l’arrière de la boutique. Elle ouvre un rideau, et nous fait signe de la précéder dans un dédale de couloirs sombres, à peine éclairé d’une lumière rouge.
Le dédale du sexe
L’endroit est sinistre. Mais bien moins que les deux premiers types que nous croisons sur notre chemin. Deux gusses de trente ou quarante piges, grands tous les deux, qui, la bite à la main, reluque un écran qui diffuse une scène lesbienne. Ils ne semblent même pas étonnés de notre présence et continuent à se branler, tout en nous regardant nous enfoncer dans le labyrinthe. L’un d’entre eux, tout en se pignolant, lance à Natacha : « joli cul ! ». Mais la libertine ne l’écoute pas. Elle sait exactement où elle va. De mon côté, je dois bien avouer que je ne fais pas la maline. Les deux branleurs m’ont semblé tellement malsains… Pourtant, je suis Natacha de près, qui s’approche d’une salle un peu plus grande, où assis sur une espèce de banc, trois gars se masturbent devant un porno.
Littéralement à leurs pieds, un quatrième les suce à tour de rôles. Tous les quatre sursautent en se rendant compte de notre présence. Ça remballe les gaules, si j’ose dire. Natacha se marre. Et nous indique une porte. C’est donc là. Elle ouvre sur une pièce où un écran large montre une scène de partouze libertine. Les cloisons sont percés de différents trous. Certains se trouvent à hauteur d’entrejambe, si vous voyez ce que je veux dire. D’autres sont plus hauts. Malheureusement, la porte ne verrouille pas. « Pas grave », nous rassure Pierre, « nous, les hommes, on restera devant ». Ni une, ni deux, nous entrons tous dans la pièce, Pierre ferme la porte et s’installe devant, pour interdire l’entrée.
Deux libertines dans un glory-hole
Déjà, la rumeur de deux couples libertins traînant dans les lieux a fait le tour du sexshop. Et je sens la présence de voyeurs, qui regardent par les trous supérieurs des cloisons. Natacha me retire mon manteau, je lui retire le sien. Je suis entièrement nue. Elle porte des bas-résilles et un porte-jarretelles qui lui donnent un air de parfaite cochonne. Elle me roule une pelle. Je caresse ses fesses. Elle malaxe mes seins.

Cette fois, il n’y a plus de doute sur la présence de nombreux hommes à l’extérieur. Non seulement nous entendons les commentaires, mais des bites passent déjà par les trous inférieurs des cloisons. Natacha me fait comprendre que nous pouvons prendre notre temps. Elle s’agenouille devant moi, et la libertine prend mon sexe en bouche. A l’extérieur du glory-hole, des murmures d’admiration se font entendre. Et encore ! Ils ne savent pas à quel point ma copine est une incroyable lécheuse de chattes. Les sensations que me procure sa langue sur mon clito sont tout simplement incomparables. Et nos maris respectifs nous regardent, tout en maintenant la porte de la cabine fermée.
Je fais signe à ma lécheuse de faire une pause. Si elle continue, je vais jouir sans autre forme de procès. Elle se redresse, plaque sa poitrine menue contre la mienne, un peu plus ronde, et me donne un baiser qui a le goût de ma mouille. Je suis excitée. De cette excitation un peu âpre qui donne envie de faire de vraies cochonneries. Je passe ma main entre ses cuisses. Elle est trempée. Elle me dit, dans un sourire pervers : « alors, on les suce ? ». Je lui réponds par le même genre de sourire.
Deux gourmandes dans un glory-hole
Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons toutes les deux dos-à-dos, à genoux. Chacune de nous fait de son mieux pour pomper tous les dards qui nous sont tendus à travers la cloison. Je ne sais combien il y en a. Sans doute des dizaines. Des grosses bites, des petites bites, des blanches, des noires, des longues et des trapues. A l’agitation qui règne à l’extérieur du glory-hole, il me semble qu’on se bouscule pour se faire pomper par les deux salopes libertines qui s’y trouvent. Je sens des mains qui passent par les trous pour me peloter les nichons. Certains me pincent même les tétons, tandis que je m’acharne en gorge profonde sur une longue bite blanche. Tout à coup, on tape contre la paroi. C’est le propriétaire du zob, qui me signifie qu’il va gicler. Je le dirige contre mon sein et reçoit son hommage éjaculatoire. Alors, je me tourne vers Natacha, pas peu fière d’avoir réussi à faire jouir un homme, malgré les conditions compliquées.
Pipes et sperme au sexshop
Mais la libertine a déjà la poitrine couverte de sperme ! Et, tandis qu’elle suce comme si sa vie en dépendait, la main d’un homme s’est insinuée par l’un des trous et lui fouille la chatte sans ménagement. Je me retourne pour l’embrasser. Cette fois, sa bouche a le goût de la teub. Elle rigole, bien que manifestement au bord de l’extase. Je retourne à mes bites. Une petite queue gicle. Cette fois, il ne m’a pas prévenue et le sperme part sur mes lèvres. Je m’essuie avec la main et en prend une autre en bouche. Je m’amuse comme une petite folle. A mon tour, je sens une main qui s’empare de mon sexe. Mais ça vient de derrière. C’est Pierre qui me caresse tandis que je passe à une nouvelle queue raide. Combien seront-ils à gicler ? Je ne le sais pas, mais il nous faudra près de deux heures pour en venir à bout. Pendant ce temps, Pierre va me baiser en levrette, tout en m’encourageant à bien creuser les joues.
Finalement, la peau couverte de sperme, nous sortons finalement nues du glory-hole. Tout le monde est parti. Sauf un petit mec, 25 ans, qui se branle encore devant le film de cul. J’ai compris. L’étudiant est un gay venu sucer des teubs. Et nous l’avons privé de ce plaisir. Alors, comme je suis une femme bien, je lui propose de pomper les bites de nos mecs. Le jeune homme est ravi. Il se met à genoux et, sous les encouragements de deux libertines, fait gicler nos compagnons au fond de sa gorge.