mon initiation au gangbang avec une libertine

Il y a un début à tout. C’est pourquoi Rachel nous raconte aujourd’hui son initiation au gangbang, sa toute première fois en soirée pluralité. Et comment une libertine plus expérimentée a su lui apprendre à devenir, pour son plaisir, « la salope de tout le monde ».

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Tous les deux avions été emballés par cette première expérience échangiste. Nous étions littéralement tenaillés par l’envie de recommencer. Mais nos emplois du temps serrés ne nous permettaient pas, en tout cas dans l’immédiat, de retourner dans ce club libertin qui nous avait tant plu. Pas si facile, quand on a une vie sociale chargée le week-end. Et qu’on se lève tôt le matin en semaine.

En route pour une soirée pluralité

Pourtant, à la moindre occasion, mon mari et moi évoquions les souvenirs de cette initiation. Nous guettions, à vrai dire avec impatience, l’occasion de remettre ça. Et puis, un jour férié est arrivé. Un autre club annonçait pour la veille une soirée « pluralité masculine ». Et c’est mon homme qui m’en a parlé le premier. Je fis mine d’être surprise. Je lui demandais : « tu es certain que tu ne risques pas d’être frustré, s’il n’y a que des hommes ? ». Il semblait sûr de lui et, je dois bien l’avouer, cette idée d’une première soirée gangbang m’émoustillait au plus haut point.

Nous avons donc débarqué autour de 23h30 dans ce club inconnu, un peu plus loin de chez nous, accueillis dans un grand sourire par la patronne, une jeune femme brune aux formes généreuses . Elle portait un corset qui laissait s’échapper deux nichons volumineux. Jeune, mais expérimentée, elle comprit immédiatement de quoi il s’agissait : « c’est votre première fois ? » demanda-t-elle, avec une expression rassurante, presque maternelle, sur le visage.
Cette fois, nous y étions : notre première soirée pluralité. Et j’avais l’impression que les dizaines de paires d’yeux masculins braqués sur moi, dès notre entrée dans le club, m’avaient percée à jour. Comme s’ils devinaient tout de mon trouble extrême. Comme si tous avaient parfaitement compris à quel point j’étais excitée, à quel point je mouillais. Pour la première fois de ma vie, je regardais chacun des clients du club, chacun de ces hommes, les uns accoudés au bar, les autres assis patiemment sur de hauts tabourets, comme une consommatrice regarde un étal de marchandise. J’étais prise de cette impression de toute puissance, j’avais conscience d’être celle qu’ils attendaient, et que je pourrais choisir, et consommer chacun de ces mâles selon mon bon vouloir.

Soirée pluralité dans les alcôves du club

Il fallait tout de même que je me méfie, car mon mari, lui, semblait bien moins à l’aise. Je le pris par la main pour me coller ensuite contre lui, et échanger un baiser langoureux avec lui. J’ai toujours adoré les baisers de mon homme, ses caresses, son désir. Mais cette fois, sentir ses mains se promener sur mes fesses, tandis qu’une foule de mecs nous reluquait, me transportait encore davantage. Cette fois, excité par les caresses de ma langue sur la sienne, mon homme était partant. Et moi aussi, cela allait sans dire. J’avais envie de dévorer chacun des gars présents dans le club. Ce fut mon mari qui me prit par la main, m’entrainant vers les alcôves de l’établissement, d’où s’échappaient quelques râles de plaisir masculin et quelques hurlements de femme.

Je n’étais pas la seule libertine présente à cette soirée pluralité. Quand nous sommes arrivés, suivis d’une meute de mecs en rut, dans les parties privées du club, nous sommes tombés nez-à-nez (si j’ose dire) avec une femme, très mince, beaucoup plus âgée que moi, prise en levrette tandis qu’elle suçait un à un les autres de ses assaillants. On aurait pu croire que tant de mecs auraient pu casser en deux cette dame, filiforme comme une brindille. Interpellée par le brouhaha des hommes qui me suivaient, elle tourna alors la tête vers moi et, dans un sourire vicelard, la salive dégoulinant sur ses lèvres ouvertes, elle s’adressa à moi : « alors ? il parait que c’est ta première sortie gangbang ? ».

Elle m’offre une initiation au gangbang

Elle tendit alors la main vers la mienne et nous attira, mon mari et moi, vers elle. Et vers ce lit immense où les types déjà présents nous firent un petit peu de place. Déjà, des queues se frottaient à la peau de mes cuisses. Il était trop tard pour reculer. Quoi qu’il en soit, j’avais trop envie de pousser l’expérience jusqu’à son terme. Je n’eus pas le temps de dire ouf. Alors que le mec planté dans le con de la femme mûre la limait avec une énergie incroyable, je me suis retrouvée les cuisses ouvertes, la chatte offerte à la bouche d’où j’avais vu entrer et sortir au moins trois bites différentes. Poussée par je-ne-sais quelle force mystique, le visage de la gangbangueuse plongea vers mon sexe. Je sentis sa langue laper la cyprine, abondante, qui s’en échappait. Pour une première fois, j’avais trouvé une complice, une libertine expérimentée dont chacun avait compris qu’elle me proposait une initiation au gangbang et à la pluralité masculine.

Elle en connaissait les codes, les limites, et surtout les hommes. Et je ne saurais dire à quel point je me sentis rassurée par sa présence. Tandis qu’elle me léchait comme une damnée, je jetais un coup d’œil autour de nous. Il y avait là deux douzaines de mâles prêts à nous satisfaire, l’une ou l’autre. Il y avait autant de queues, une cinquantaine de mains dont certaines, déjà, avaient trouvé le chemin de mes seins. Quand elle ficha sa longue langue entre mes lèvres du bas, je me résolus à lâcher entièrement prise. Tandis qu’un mec inconnu me proposait une belle bite à sucer, je partis pour un premier voyage au doux pays de l’orgasme.

Dans les mains d’une libertine expérimentée

Très vite, l’initiation au gangbang, à proprement parler, débuta. Interrogeant constamment du regard mon mari, la libertine posait les capotes sur les pieux des hommes, les dirigeait vers moi. Elle leur demandait de la douceur à mon égard. Je pris alors la position dans laquelle je l’avais vue, au tout début, à quatre pattes, le cul tendu vers un membre viril, la bouche disposée à accueillir les autres. Alors qu’un premier assaillant s’emparait de ma chatte, j’engloutis avec avidité l’une des queues qu’on me tendait. La libertine s’assit alors à côté de moi. D’une main, elle caressait mon dos et mes fesses. De l’autre main, elle avait saisi la queue raide de mon homme. Elle commentait : « tu vois, ma belle, tu vas leur faire plaisir, à tous. Et c’est ça qui va te faire jouir, être l’objet sexuel de tous ces beaux queutards ».

Elle le savait, ses propos m’excitaient encore un peu plus. J’avais l’impression de me voir moi-même, baisée comme une chienne par cette flopée de gusses dont j’ignorais tout, et qui ne savaient rien de moi. Elle cessa un instant de parler, pour se mettre à pomper mon mari, qui n’avait pourtant pas un regard pour elle. Il ne matait que sa femme, moi, tremblante sous les coups de boutoirs des clients du club. Je sentis de la fierté dans son regard. N’y tenant plus, j’enfilais une deuxième bite dans ma bouche. Mes lèvres étaient déformées par les deux membres, et j’essayais au mieux de les coller tous deux au plus profond.

L’initiation, au bout de la nuit

Mon premier niqueur se retira de mon con, mais resta planté derrière moi. Je compris qu’il était en train de retirer son préservatif, pour se répandre à grands flots sur mon dos nu. L’imitant, l’un de mecs que je tenais en bouche gicla à son tour au fond de ma gorge. La libertine revint vers moi, m’enjoignant de me retourner, sur le dos, pour subir le prochain assaut. Pour une première soirée pluralité, j’allais être servie. Je les vis, au moins cinq ou six, la bite déjà encapotée, attendant leur tour. « N’hésite pas à changer de position, à faire des pauses dès que tu veux, c’est comme ça que tu baiseras toute la nuit ».

clubs libertins

Et effectivement, j’ai baisé toute la nuit, avec tant d’hommes que je ne saurais dire leur nombre. Depuis, j’ai perdu de vue cette femme, mais je tiens ici, à lui rendre hommage. Si je n’avais pas vécu cette fabuleuse initiation au gangbang, sans doute ma vie sexuelle aurait été terne. Mais, grâce à elle, je suis devenue une chaude libertine, assumant chacun de mes désirs. Une femme à hommes, la libido à fleur de peau. C’est peu de dire que cette première expérience de gangbang nous avait profondément marqués, l’un comme l’autre. Et que nous ne cessions de l’évoquer entre nous. Mon homme avait baisé l’autre libertine, tout en me matant, défoncée dans toutes les positions par des bites étrangères. Il avait adoré ça, et moi aussi. J’avais aimé être la salope de tout le monde, ce sentiment de ne pouvoir se refuser à personne, mêlé à cette sensation de toute-puissance de mener les hommes « à la baguette « , si j’ose dire.

La salope de tout le monde

Il avait été fier de sa femme, de la façon dont j’avais su profiter de cette initiation au gangbang gratuite, généreusement prodiguée par cette libertine plus âgée que nous. Elle était d’ailleurs venue dans le club sans son mari, ou quiconque pour « superviser  » les agissements des mâles. J’avais été très impressionnée – c’est le moins que je puisse dire – par la libertine, sûre d’elle, sachant où se trouvait son plaisir, maitrisant tout en douceur les appétits des hommes à son égard.

Aujourd’hui, les années ont passé. C’est le plus souvent moi qui joue les initiatrices. Il m’arrive régulièrement de prendre en main une apprentie gangbangueuse, pour lui apprendre comment devenir la salope de tout le monde, la victime consentante de tous les mâles. Ce qui n’est pas bien dur, non. Ce qui est plus compliqué, c’est d’associer cet abandon, ce lâcher prise érotique le plus total, avec la conviction qu’au fond, c’est bien la femme qui mène la danse. Jamais je ne me suis sentie soumise à tous ces hommes. Pour le scénario, bien sûr, pour l’excitation de l’histoire qu’on se raconte quand on se retrouve baisée à la chaine sur le lit d’un club échangiste. Mais, et je tiens à le dire haut et fort ici, c’est toujours moi, et moi seule, avec la complicité de mon mari, qui abuse des hommes. J’utilise leur faiblesse, leur irrépressible envie de baiser tout ce qui bouge. Oui, c’est bien moi qui les utilise pour mon bon plaisir.

Initiation et initiatrice

Après cette initiation au gangbang, nous sommes retournés fréquemment dans le club où tout est arrivé. Mais aussi dans le premier, celui où nous avions pratiqué l’échangisme. A l’époque, nous alternions de façon assez régulière entre des plans échangistes avec d’autres couples, à quatre, à six ou plus, et des sorties dédiées à la pluralité masculine pour moi. Mon mec en profitait éventuellement pour s’amuser avec une des mes « consœurs » partouzeuses. Mais, plus le temps avançait, plus je ressentais cette envie constante d’être la salope de tout le monde, le centre de toutes les attentions, la victime heureuse de la libido débordante des clients des soirées mixtes des clubs libertins.

Et il y avait quelque chose en plus. Le fait d’être ainsi la salope de tout le monde, la nana qui couche avec n’importe qui sans se soucier du comment et du pourquoi, m’ouvrait de nouveaux horizons. Posez le fait que vous vous devez de coucher avec tout le monde, sans faire de choix, et vous vous trouverez libérée d’un poids : celui de justifier vos choix érotiques. Qu’un type de vingt ans mon aîné, bedonnant, très poilu, au regard trop vicieux ou autre, me trouble, et il m’incombait de le satisfaire, comme tous les autres. Qu’une situation scabreuse, perverse, glauque, m’émoustille, et je devais m’exécuter comme en toutes circonstances. Et je pouvais ainsi vivre mes fantasmes les plus inavouables sans avoir à me justifier, ni auprès de mon mari, ni de mes amis libertins, pas plus qu’envers moi-même.

Etre la salope de tout le monde, c’est s’assurer l’accès à tout. C’est assumer tous les vices, accéder à tous les corps, à toutes les bites, à tous les fantasmes. Et, franchement, je n’échangerais cette place pour rien au monde.

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