double-pénétration et naissance d’un trouple

Samira nous avait un peu laissés en plan avec son histoire de double-pénétration. Alors, je résume : elle passe la soirée chez deux étudiants. Elle partouze avec eux. Puis, Paul, le plus chaud des deux, lui propose une expérience tout à fait nouvelle pour elle.

=> lire l’aventure précédente de Samira

Je reprends donc mon récit de double-pénétration là où je l’avais laissé. C’est l’été et les partiels sont finis. J’ai donc le temps de me consacrer à ce petit jeu d’écriture et de souvenir…

Donc, Paul s’est assis sur le côté, le membre viril pointé vers mes fesses. Je me suis assise à mon tour, mais sur lui. J’écartais les deux globes de mon postérieur pour ouvrir le chemin à son sexe. Il s’insinua en moi, cette fois d’une façon un peu plus rapide. Sentir sa virilité en moi me procurait une sensation étrange, à la fois un peu gênante et agréable. Il faudra un jour que je vous parle de mon inclination pour le sexe anal. Je suis fière, mais surtout heureuse, de disposer de mes trois orifices pour donner et surtout prendre du plaisir. Quoi qu’il en soit, le vit de Paul était désormais en moi. Je sentais même ses testicules frôler ma peau.

Première double-pénétration

Je m’allongeais sur son torse. Il me prit par les seins. Ecartant les cuisses, j’offrais ma vulve au regard d’Alex. Mais surtout à son sexe. Il hésita un court instant, me demandant si ça allait.
Tu n’as pas mal ?
Non, c’est bon. J’aime bien me faire enculer, finalement.
Tu es prête ?
Oui. Baise-moi maintenant.
Il avança donc sa verge épaisse vers mon sexe. Il se contorsionna un peu pour y prendre place, puis s’enfonça, en une seule fois, mais sans brutalité. J’avais désormais deux pénis en moi.



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Et Alex commença à se mouvoir dans mon vagin. Aux soupirs qui s’échappaient de sa gorge, je compris que Paul, dans mon anus, était comme massé par le sexe d’Alex, qui me prenait de plus en plus virilement. A son tour, il s’agrippa à mes seins.
Oui, c’est trop bon. Baise-moi bien ! l’encourageais-je.
Il ne lui en fallait pas tant. Mon condisciple me pénétra plus vite et plus fort. Tant et si bien que ses coups de boutoir expulsèrent Paul de mon fondement. Nous reprenions notre souffle. J’en voulais encore. Et je le fis savoir.

Double-pénétration : seconde position

Cette fois, Paul s’allongea à nouveau sur le sol. Et je vins le chevaucher. Son sexe était dur dans mon vagin en feu. A son tour, Alex s’approcha de mon anus. Son membre était plus épais. Il eut du mal à me sodomiser. Dans un geste d’une vulgarité sans nom, je crachais dans mes doigts, pour recouvrir mon orifice étroit de salive. Il tenta à nouveau. Une fois la barrière franchie, son vit s’enfonça d’un seul coup ! J’ai hurlé de douleur. Il voulut se retirer. Je lui demandais de rester. Une fois la souffrance disparue, je pus enfin profiter de cette nouvelle double-pénétration. A nouveau, Alex commença des va-et-vient en moi. Puis, n’y tenant plus, il se mit à me prendre avec une brutalité qui ne me gêna pas. Bien au contraire. J’eus un orgasme incroyable, alors que mes deux amants éjaculaient de concert.

Un trouple pervers était né.

Les semaines qui suivirent, je vins régulièrement chez Alex et Paul. Nous forniquions toujours ensemble, tous les trois. En trouple. Et, presque aussi régulièrement, l’un me sodomisait tandis que l’autre prenait mon sexe. Je me sentais devenir accroc à la double-pénétration. Et à cette étrange impression d’être comblée, dans tous les sens du terme. Sans doute les deux colocataires étaient ravis de « s’être trouvé une salope » comme moi. Mais je ressentais un respect de leur part. Et même, s’agissant surtout d’Alex, une certaine forme d’admiration. Mon camarade de classe n’avait pas dit mot de notre trouple et de nos pratiques sexuelles à nos condisciples, que ce soit à l’université ou dans la classe préparatoire.

Les aventures d’un trouple pervers

Evidemment, nous ne pratiquions pas toujours la double-pénétration. Et de nouveaux jeux sont apparus entre nous. A titre personnel, j’ai espéré, pendant toute cette période, que les deux locataires s’abandonnent à quelques instants bisexuels. Il n’en a, en réalité, jamais été question. Cependant, d’autres variantes de la sexualité de trouple se sont régulièrement installées entre nous. Parmi lesquelles un certain attrait pour l’exhibition : je me permets de vous rappeler ici que nous n’avions que 18 ans, s’agissant d’Alex et moi, et 19 pour Paul. Ainsi, ce que nous appelions « exhibition » ne consistait guère qu’en des jeux où personne n’avait de grandes chances de nous surprendre.

Les toilettes des hommes de l’université se révélèrent un terrain de jeu propice. Une fois, mes deux amants voulurent même y pratiquer la double-pénétration. Ceci étant, y compris dans la cabine réservée aux personnes handicapées, l’exercice s’avéra impossible. Je dus donc me contenter de prodiguer une fellation à Alex, tandis que Paul m’entreprenait en levrette. Les cabines d’essayage de magasin de prêt-à-porter furent également mises à contribution, ainsi que les toilettes de nombreux cafés et restaurants du Quartier Latin.

S’encanailler à Pigalle

Tout cela ne portait guère à conséquences, jusqu’à ce que Paul, le plus hardi d’entre nous, propose de se rendre à Pigalle. Alex, plutôt réticent à cette idée, suggéra de se contenter du Sexodrome comme lieu d’exhibition pour notre trouple. Cette boutique, ayant pignon sur rue, est considérée comme un magasin grand-public, accueillant les couples BCBG autant que les pervers assumés. Est-ce par défiance ou par souci de ne pas tomber nez-à-nez avec une personne de notre connaissance que j’ai choisi un sexshop bien plus glauque ? Il me faut vous narrer cet épisode, qui constitua sans doute un tournant dans ma vie sexuelle, comme dans nos relations de trouple.

Nous pénétrions donc dans une boutique parfaitement insalubre, dans laquelle s’affichaient ostensiblement aussi bien des sextoys étranges que des DVDs pornographiques particulièrement scandaleux. Se trouvaient là également un vendeur, ainsi que deux clients, deux bonshommes de la soixantaine, qui reluquaient des jaquettes de vidéos « spéciales » (je vous passerai ici les détails ; précisons donc uniquement qu’il n’y avait rien là de très glorieux).

Un trouple au sexshop

Mes deux amants me caressaient les fesses, les seins et ont même dévoilé, au bout d’une dizaine de minutes, ma poitrine au grand jour. Les deux vieux se sont alors approchés de nous. Ce n’était pas tant leur âge ou leur physique qui me rebutaient chez eux. Non, leurs regards pervers et malsains me dérangeaient. Alex et Paul en prirent conscience. Et il nous suffit de nous éloigner un peu d’eux pour les rebuter définitivement. C’est alors qu’entra dans le magasin un homme de la trentaine, plutôt bel homme, une carrure de rugbyman. Il repéra immédiatement la coquine aux seins nus. Et s’approcha.

glory-hole
de vraies amatrices

Je le laissais me peloter, encouragée en cela par Paul, que la situation excitait manifestement. J’avais porté la main sur la bosse de son pantalon, quand le trentenaire dit :
Les gnoules, toutes des salopes…
Ma main se retira, dans un réflexe, de son entrejambe, pour atterrir sur sa joue dans une gifle retentissante. Le vicieux se rebella, tenta de me frapper, vite retenu par mes deux hommes, pour le courage desquels j’éprouve encore aujourd’hui une vive admiration. Ainsi qu’une reconnaissance. Le malabar n’eut pas le temps de dire « ouf » que mes deux amants le maîtrisaient, moyennant quelques coups violents. Le vendeur, plutôt long à réagir, interrompit l’échauffourée. Et nous enjoignit de quitter sa boutique. Ce que nous fîmes. J’ignorais ce qui l’emportait en moi, de l’injure raciste ou de l’injure sexiste, de la frayeur de ce moment abject ou de la fierté d’avoir été défendue par mes deux mâles. Toujours est-il que, aujourd’hui, je ne me rends jamais dans de tels lieux sans y être escortée par un ou deux hommes de confiance. Et si possible musculeux.

Direction le sexodrome

Nous nous retrouvions donc sur le trottoir de Pigalle. Le malotru n’avait pas demandé son reste, certainement affolé par mes menaces de plainte en bonne et due forme. Alex proposa de rentrer à l’appartement. Paul ne l’entendait pas ainsi. Et moi non plus. Mes deux gaillards m’avaient passablement excitée en m’exhibant dans la boutique. Un compromis fut donc trouvé : le Sexodrome. Après quelques minutes passées à tourner dans la boutique, la main d’Alex sur une fesse, celle de Paul sur l’autre, je me trouvais attirée par un panneau : cinéma porno.

J’attirais mes deux amants à ma suite. La caissière nous demanda toutefois nos pièces d’identité. Et elle m’offrit ma place. Nous descendions quelques marches d’escalier, avec, je dois bien l’avouer, une certaine appréhension. Le lieu consistait en deux salles, l’une tournée vers les films hétéro, l’autre vers les films gays. Nous options pour la première. La salle obscure accueillait une bonne douzaine de messieurs, pour la plupart d’âge mûr. Une sorte de canapé en simili cuir, au premier rang, se trouvait libre. Nous nous y installions tandis que les clients du cinéma me reluquaient.

Sexe hard dans un ciné porno

A l’écran, une jolie blonde se faisait prendre en double-pénétration par deux blacks aux virilités spectaculaires. A haute-voix – j’insiste sur ce fait : à haute et intelligible voix – je dis à mes compagnons :
Pas mal, mais on peut faire mieux, non ?
Ainsi fut fait. Alex se lova au creux du canapé, le membre à la main, sur lequel je m’empalais. Puis Paul vint derrière moi, et me sodomisa. Nous avions pratiqué cette position des dizaines de fois. Aussi, je crois que les voyeurs furent estomaqués de notre aisance.

Et s’attroupèrent autour de nous. Par dessus l’épaule d’Alex, je voyais des dizaines de pénis s’agiter frénétiquement dans ma direction. L’épisode du misogyne raciste était oublié. Je profitais des deux membres en moi. Alex exposa mes seins aux inconnus. L’un d’eux, lui aussi la soixantaine affirmée, s’approcha un peu plus, caressa un téton et planta son membre devant mes yeux. Il était petit, court, mais manifestement très dur. Emportée par une frénésie érotique, je décidais de le sucer. Quand il éjacula en moi, je fus prise de spasmes orgasmiques, qui entraînèrent mes deux amants, à ma suite, dans la jouissance. Des applaudissements – oui, je dis bien des applaudissements – saluèrent alors notre performance.

J’avais passé un cap dans ce que certains nomment la dépravation. J’étais heureuse.

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