le feu au cul devant les voyeurs de la plage
Julie poursuit donc son histoire de vacances libertines passées au Cap d’Agde avec Sabine et Léonard. Après avoir taillé une pipe à un inconnue dans une cabine d’essayage, notre coquine célibataire a littéralement le feu au cul. Bien sûr, les voyeurs de la Baie des Cochons vont vite s’en apercevoir.
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La fameuse plage libertine
Finalement, nous arrivions en vue d’une zone beaucoup plus dense en terme de population. Nous y étions ! La fameuse plage libertine du Cap d’Agde ! Rien qu’à me souvenir des nombreux récits publiés ici-même sur cet endroit mythique, ma libido virevoltait en tout sens. Je vais parler vulgairement : il me fallait une bite, une chatte, du sexe, d’urgence ! Mais Sabine et Léonard savaient faire preuve de patience. Léonard sortait tranquillement de son sac à dos magique trois nattes de plage, quand Sabine me proposa d’aller piquer une tête.

Une baignade ? Ce n’était vraiment pas ce dont j’avais envie. Mais, après tout, si ça vous pouvait me rafraîchir un peu. J’emboîtais donc le pas de mon amante, tandis que mon amant nous promettait de nous rejoindre très vite. L’eau s’avéra plutôt froide à mon goût. Sabine y était déjà, totalement immergée. « Quand on est dedans, elle est bonne ! », m’encouragea-t-elle. Je me dis alors en moi-même que moi aussi, « quand on est dedans… ». Mais passons. Je parvenais à peine à mettre les épaules dans la mer que Léonard y plongeait, sans même s’être mouillé la nuque.
J’ai le feu au cul !
Dans l’eau, quelques couples s’ébrouaient. Sans toutefois passer à l’action. On se draguait, de loin, sans trop se mouiller, si je puis dire. De mon côté, je faisais de mon mieux pour exciter à la fois Léonard et Sabine. Même si je ne suis pas très exhibitionniste, voire même franchement pudique, j’étais prête à baiser avec eux devant tout le monde, là, dans la mer ou sur cette plage. J’ai un peu honte quand je me sens ainsi : en chaleur. Et là, mon couple libertin préféré semblait insensible à mes avances, pourtant explicites. Je frottais mes seins à ceux de Sabine. Sans résultat. Je collais mes fesses contre la queue de Léonard, qui continuait à flotter mollement dans les vaguelettes méditerranéennes.
Je suis remontée vers nos nattes. Ils m’ont suivie. Je dois dire ici que j’ai été, dans un premier temps, un peu déçue par l’atmosphère de la Baie des Cochons. Telle qu’on me l’avait décrite, y compris dans les textes de ce site, je m’attendais à une ambiance beaucoup plus partouzeuse. Là, les couples s’échangeaient quelques regards, sans vraiment se parler réellement. Et les singes de la plage naturiste n’avaient pas grand chose à se mettre sous les yeux. Ils se trimballaient, individuellement ou en petits groupes, cherchant une scène de sexe à zyeuter. Il y avait là de petites bites, de plus grosses. Mais moi, j’avais envie de n’importe laquelle. Ou presque.
Prise en main dominatrice
C’est Léonard, qui se rendit compte le premier de mon état d’excitation. Alors que j’étais allongée sur le ventre, cherchant des yeux un ou une partenaire éventuel(le), il posa sa main sur ma fesse, et commença à me caresser. Puis ses doigts vagabondèrent vers mon sexe. Il énonça alors, en direction de Sabine, mais suffisamment fortement pour que nos voisins de plage entendent : « elle est trempée ». Il cherchait à me faire un peu honte, à me dominer psychologiquement. Ce qui amusa Sabine : « alors Julie ? Tu as le feu au cul ? ». Je lui répondais par un sourire gêné. Sûrement amusée par l’ascendant qu’elle avait pris sur moi, elle ordonna : « mais alors, tu vas pouvoir te masturber devant les voyeurs ? ».
Je devenais rouge-pivoine. Et pourtant, mon envie de sexe l’emporta sur ma pudeur. Sabine me fit me retourner. Elle se mit à pincer doucement mes petits tétons pointus et exigea que je me masturbe. Très vite, une foule de voyeurs se constitua autour de nous, tandis que mon amante suçait mes petits seins. La rumeur d’une scène lesbienne avait du se propager assez vite, car de nombreux singes nous entouraient désormais. Et plus Sabine triturait mes mamelons avec vigueur, plus je me caressais. A un moment, j’aperçus le regard d’une autre femme posé sur moi. J’eus honte. Et je compris que j’allais bientôt atteindre l’orgasme. Mais Léonard m’interrompit. A son tour, il se montra autoritaire : « mets-toi à quatre pattes ». J’obtempérais. Il avait déjà enfilé un préservatif. Je me retrouvais donc à quatre pattes, sur le sable chaud de la plage naturiste.
Le feu… et une bite au cul !
Alors, Sabine me donna son sexe à lécher. Léonard approcha sa queue de mon sexe. Mais, sans me demander mon avis, il glissa sa verge énorme entre mes fesses. « Quand on a le feu au cul, il faut un bon pompier », proclama Sabine, triomphante. Ces deux-là, souvent tendres avec moi, avaient décidé de faire de moi leur salope, là, devant ces voyeurs. Et il allait m’enculer. J’en fus certaine quand je sentis qu’il appliquait du lubrifiant sur mon œillet. Je continuais à me masturber. Je sentis son gland m’ouvrir doucement. Puis, sa belle queue s’enfonça presque entièrement en moi.
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Il ne me lima pas longtemps. En effet, je fus pris d’une sensation de honte et de plaisir mêlés, tandis qu’une foule d’inconnus regardaient celle qui avait le feu au cul se faire prendre par derrière. Mon orgasme s’avéra violent, spectaculaire et sonore. Alors, quand je fus un peu calmée, Léonard se retira. Sabine se redressa et m’embrassa sur la bouche. Ni l’un ni l’autre n’avait joui. Moi oui, sous les applaudissements des spectateurs et spectatrices. Cette petite séance de domination, Sabine et Léonard l’avaient orchestrée dans le seul but de me faire du bien. Néanmoins, pour le reste du séjour, j’allais être, ici, sur la plage libertine, « celle qui a le feu au cul ».