ma toute première partouze en club échangiste
Aziz se rend pour la première de sa vie en club échangiste. Sans trop y croire, il drague un couple libertin qui l’entraîne avec lui dans sa toute première partouze. Un moment inoubliable qu’il nous raconte ici.
La plantureuse libertine écartait les cuisses devant moi. Tout son corps m’invitait à la prendre et je paniquais un peu à l’idée de ne pas réussir à mettre la capote. J’y parvenais finalement. Et je plantais mon dard dans sa chatte offerte. Elle gueula de plaisir, si fort que je fus bien convaincu qu’elle en rajoutait un peu. N’empêche, les autres nous regardèrent, moi la chevauchant en missionnaire, elle braillant comme une damnée. Amusée par le tintamarre, une autre coquine s’approcha du visage de ma baiseuse pour lui dire : « tu aimes ça, salope ? Il t’embroche bien ? ».
Les coquines du club échangiste
Elle était plus fine, mais pas moins sexy. Son cul était à portée de mains. Je l’ai attrapé, pour son plus grand amusement. « Dis donc, mon cochon, tu veux double ration de salopes ? ». C’était la première fois de ma vie que j’entendais une femme parler comme ça. Mais elle ne faisait pas que bavarder. Elle jouait avec le clito de l’autre libertine. Et ce qui devait arriver arriva. Les hurlements se firent plus sincères. Elle avait un orgasme. Et moi, je limais comme un beau diable, regardant les gros nibards se balancer en cadence devant moi.
A peine la plus ronde des deux calmées, la plus fine sortit ma queue de son antre : « voyons voir ce qu’on a ici ? Ah oui ! Pas mal ! Je vais me la mettre si tu veux bien ? ». Tu parles que je voulais bien. Elle retira ma capote et en enfila une autre. Puis elle se mit à quatre pattes, le cul et la chatte tendus vers moi. Je la pénétrais. Remise de ses émotions, ma première cochonne vint en quelque sorte m’assister. Elle se mit à lécher la rondelle de sa copine pendant que je la bourrais en levrette. Au bout de quelques minutes de ce traitement, celle que je baisais se tendit comme un arc. « Salope, je jouis ! ». Son orgasme fut bien plus discret, mais pas moins intense.
Vivre ma première partouze
Mais elle ne redescendit pas. Au contraire, elle tourna la tête dans ma direction, par dessus mon épaule : « maintenant, encule-moi ! ». Mon « assistante » prit ça comme un ordre et saisitma bite pour la guider vers l’anus humide de salive. Je poussais. Mon gland pénétra le cul de la coquine. Qui cria. Je m’arrêtais, craignant de lui avoir fait mal. « Encule-moi, je te dis ». Vos désirs sont des ordres. Ce soir-là, j’ai défoncé ce petit cul sans retenue, sachant très bien ce que voulait ma partenaire.
Ce fut à mon tour de jouir. La première des libertines me colla son gros nibard dans la bouche. Pendant que j’éjaculais dans la capote, plantée dans l’anus d’une autre femme. Imaginez bien que cette expérience fut ma première sortie en club échangiste, et ma première partouze. Je ne sais pas ce qui m’a valu, en tant qu’homme célibataire, d’être convié à une telle orgie. Mais je voue pour toujours à ces femmes, qui assument leurs désirs et leurs pulsions, un culte inébranlable (sans jeu de mots). Je les respecte. Mieux, je les admire !