un apéro échangiste chez un couple mixte

Je n’en revenais pas. Là, sous la table de la salle à manger, la jolie black aux gros seins avait posé sa main sur ma cuisse, puis était remontée jusqu’à ma bite, qu’elle massait maintenant langoureusement à travers mon pantalon. Je regardais Véronique, ma femme. Elle se trouvait assise juste en face de moi, juste à côté du mari de ma branleuse. Nous nous cherchions du regard, sans vraiment savoir ce que pensait l’autre. Ma voisine de table s’acharnait désormais à sortir ma queue de son emballage. Quand elle y parvint finalement, elle approcha sa bouche de mon visage et me roula une pelle baveuse.

Je goûtais ses lèvres pulpeuses, sa langue caressante et, d’instinct, m’emparais à pleines mains de ses deux gros nibards qui me faisaient tant envie depuis le début de la soirée. Notre baiser langoureux dura un long moment. Quand j’émergeais de cette pelle terriblement bandante, la main coincée dans le soutien-gorge de la coquine africaine, je regardais ma femme, inquiet de sa réaction. Il n’y avait pas lieu de se faire de soucis. Je trouvais effectivement ma moitié la tête basculée en arrière, de plaisir, offrant ses deux petits nichons roses à la bouche du mari de ma voisine.

De l’apéro à la partie-carrée

Cette dernière s’amusa un moment du spectacle, puis se pencha vers ma bite pour la prendre dans sa grande et douce bouche gourmande. Jamais aucune femme n’était parvenue à avaler ma bite entièrement. Pourtant, je sentais ses lèvres africaines jusque sur mes couilles. Je me laissais faire, regardant le spectacle de ma femme au bord de l’extase, les doigts du mari s’agitant sous sa jupe. Véronique a toujours été très sensible des tétons. Elle allait bientôt jouir. Et moi aussi. Il fallait que j’échappe très vite à ma suceuse.

La belle black accepta à contre cœur de cesser sa splendide fellation. Elle proposa : « on passe dans la chambre ? ». J’étais bien certain que tout allait trop vite pour Véronique. Nous vivions, après tout, notre premier rendez-vous échangiste. A 40 ans passés, nous étions restés longtemps un couple tout ce qu’il y a de plus classique et de plus fidèle. Un jour, ma femme m’avoua qu’elle avait envie d’essayer le sexe entre femmes. Nous nous étions inscrits sur un site de rencontres libertines. Faute de trouver la perle rare, une libertine célibataire, nous avions accepté l’invitation de ce couple mixte. Elle Sénégalaise, bisexuelle, lui Français.

Initiés par un couple mixte

Ils étaient expérimentés. Je me rendis vite compte, en voyant ma femme se lever et suivre tranquillement le couple jusqu’à la chambre, qu’il avait su la mettre à l’aise. Véronique m’embrassa à son tour sur la bouche : « ça va ? », demanda-t-elle. Oui, ça allait. Contrairement à ce que je craignais, je n’éprouvais pas de jalousie. J’étais plutôt très excité. La libertine noire se posta face à Véronique et, langoureusement, commença à la déshabiller. Ma femme ne se laissa pas seulement faire. Elle retirait à son tour les vêtements de la vénus black. Les deux énormes obus noirs jaillirent et Véro se baissa pour les sucer.

Puis, les deux femmes s’embrassèrent, les deux petits nichons de ma femme collés à ceux, prodigieux, de la coquine africaine. Celle-ci fit basculer Véronique sur le lit. Allongée, mon épouse se laissa embrasser sur la bouche par une autre femme. Qui descendait. Elle baisa ses seins, son ventre, jusqu’à se retrouver à genoux, en train de lécher la chatte de mon épouse. Son splendide cul black remuait à la cadence du cunnilingus qu’elle offrait à Véro.

Son mari s’aperçut, ravi, que le spectacle incroyable de ma femme se faisant lécher la chatte par une coquine bisexuelle m’enthousiasmait. Il me tendit une capote et me dit : « tu la veux ? Baise-la ». Je ne me suis pas fait prier. J’ai enfilé la capote et la chatte magnifique de mon amante africaine. Et je l’ai baisée. Ce formidable cul accueillait avec entrain ma grosse bite. Mon regard allait de ses fesses noires et joufflues à la chatte de Véronique, que la belle black dévorait avec passion. Un peu plus haut, je voyais mon épouse sucer la bite d’un autre. Et ça me plaisait.

L’apéro baisatoire

Il fut le premier à jouir, balançant son sperme sur la poitrine menue et blanche de mon épouse, ainsi que sur son cou et son menton.. Puis ce fut le tour de Véro, dont le visage en partie maculé de sperme s’illumina dans un cri de plaisir à alerter tous les voisins du couple mixte. La black libertine, s’échappant un instant des cuisses de ma femme, se tourna vers moi et me demanda de la défoncer. Je m’y appliquais quand, à son tour, elle se mit à hurler de bonheur. Je m’effondrais enfin, vaincu, ivre de plaisir sexuel.

Ce soir-là, ma femme et moi, nous sommes devenus échangistes. Nous n’avons plus rencontré ce couple mixte très chaud : les hasards de la vie. Mais à chaque fois que nous participons à un apéro libertin, je repense aux seins et au cul de ma libertine black.