les aventures libertines d’une jeune beurette

Il a quelques temps, j’ai croisé la route d’une jeune beurette dans un sauna échangiste bondé. Elle se prénomme Samira, elle est belle et sexy. Mais surtout, Samira aime et pratique la pluralité masculine. Je lui ai demandé si elle voulait bien nous raconter quelques-unes de ses aventures libertines. Dont acte.

Bonjour, je m’appelle Samira, j’ai aujourd’hui 22 ans et je suis libertine. Depuis quand ? A dire vrai, je pense l’avoir toujours été. J’ai grandi, comme mon prénom l’indique, dans une famille maghrébine, moderne, où les filles occupent la même place que les garçons. Pourtant, il reste souvent dans ce genre de familles un quelque chose de puritanisme, qui n’aide pas les filles à se découvrir érotiquement. Mais moi, aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été très attirée par les garçons. Et, dirais-je même, par les hommes.

Une jeune beurette coquine

Il y a quelques mois, j’ai rencontré Julie, dans un sauna mixte que je fréquente depuis maintenant un an. Et elle m’a demandé si je voulais bien vous raconter mes aventures libertines. Alors, je me lance. D’abord, je vais me présenter à vous. Je suis donc jeune, beurette et étudiante en sociologie à Paris. Sur le plan physique, je pense être plutôt jolie, sans prétendre être un canon non plus. Je suis de taille moyenne, de corpulence moyenne. Mais j’ai la chance d’avoir de jolies formes : des seins bien ronds et fermes, un fessier potelé mais néanmoins ferme. Je suis brune, les cheveux bouclés et les yeux très noirs.

Bref, je ne vois pas ce que je peux vous dire de plus sur moi. Si, je suis ce qu’on appelle une intello, mais aussi une femme assez indépendante. Personnellement, je ne me vois pas m’installer avec un mec. Je me revendique féministe, et ce malgré mes différentes aventures libertines, qui pourraient me faire passer pour une fille soumise. Car oui, je pratique régulièrement la pluralité masculine. Mais attention, il ne s’agit pas, messieurs, de me manquer de respect. Je ne suis pas une salope !

Les pénis et moi

Commençons le récit de mes aventures libertines par le commencement. Et donc, avant même que je me découvre libertine. Quand je suis arrivée au lycée, je n’avais jamais vu de pénis. Bien qu’ayant trois frères, et un père, je n’avais jamais vu un homme nu. Dans la famille, on se montre plutôt pudique et mon père avait installé sur les ordinateurs et téléphones de la maison toutes les protections possibles et imaginables. Une fois, seulement, alors que je dormais chez une copine, nous avons regardé un film porno. Qui m’a beaucoup impressionnée.

J’hésite à vous raconter cette première histoire, du temps du lycée, car j’étais alors mineure. Mais comme nous étions tous les deux jeunes et consentants, et en âge de faire quelques galipettes, je vais vous parler de mon premier petit ami. A vrai dire, il n’était pas le plus beau. Mais son côté « poète romantique » m’a attiré tout de suite, dès la rentrée des classes. Je sortais donc avec lui. C’est-à-dire que nous nous embrassions sur la bouche, avec la langue, et que nos mains se promenaient sur nos corps respectifs. Rien de plus. Quant à moi, je me trouvais de plus en plus attirée par l’énorme bosse qui se formait dans son pantalon quand il caressait mes seins.

Fellation dans les toilettes

Alors, un jour, je l’ai attiré jusqu’aux toilettes des filles. Nous nous sommes enfermés dans une cabine et je lui ai dit, avec une forme d’autorité :
Montre la moi !
Quoi ?
Ta bite…
Tu es sûre ?
Pour toute réponse, je me suis agenouillée devant lui et j’ai défait le bouton de son jean, puis j’ai baissé le zip. Son sexe a littéralement jailli hors de son caleçon. Mon premier pénis ! J’ai trouvé cet organe fascinant, pour tout dire beau et surtout très attirant. J’ai posé mes lèvres dessus, et j’ai embrassé cette verge, d’une façon douce, très candide. Son érection était particulièrement dure, des veines couraient le long du phallus. Puis je me suis enhardie. Et je l’ai pris en bouche. Un instant, j’ai cru lui avoir fait mal, parce qu’il grognait. Mais je me suis vite aperçue qu’il y prenait du plaisir. Et moi aussi.

Alors, j’ai sucé cette verge dure et longue. C’était un peu comme si j’avais su par avance comment m’y prendre. Mon instant et mon excitation me conduisaient à caresser son gland avec ma langue, mes joues se creusaient d’instinct sur la hampe. Et même mes mains ont su trouver le chemin de ses bourses, que je caressais délicatement tout en suçant son phallus. Ses grognements se firent plus intenses, bien qu’il fallait rester discrets. Alors, il a éjaculé dans ma bouche. Le sperme n’avait pas vraiment de goût, d’autant moins que, sans doute là aussi par réflexe, j’ai vite tout avalé. Je n’étais pas fâchée qu’il se soit soulagé dans ma bouche. La seule chose, le seul regret, était que j’aurais voulu voir son sperme, son éjaculation.

Mes premières aventures libertines

Nous sommes restés ensemble quelques semaines. Une record, au lycée, où les premiers émois ne durent souvent que quelques jours. Régulièrement, je le suçais dans les toilettes des filles. J’adorais la fellation. Mais lui se montrait timide. Je crois qu’il avait peur de mon père ou de mes frères : il refusait d’aller plus loin. Alors, pendant une fête lycéenne à laquelle il n’assistait pas, je me suis laissée séduire par un autre gars, un sportif un peu bas-de-plafond, mais très mignon. Nous avons trouvé une chambre pour faire l’amour.

Ce jeune homme n’était pas aussi bien doté par la nature que mon petit ami d’alors. Il affichait néanmoins une érection solide. Gentleman, il m’offrit mon premier cunnilingus, qui me fit grimper au plafond. Puis, je l’ai sucé. Enfin, il a enfilé un préservatif et m’a pénétrée. Cela n’a pas duré très longtemps. Pas assez en tout cas pour me procurer un nouvel orgasme. Quand j’ai senti que lui, au contraire, allait bientôt venir, je lui ai demandé de se retirer. Il eut l’air surpris de ma requête. J’ai retiré le préservatif et j’ai conduit son gland jusqu’à mes seins. Je l’ai masturbé entre les deux globes et j’ai pu voir pour la première fois une éjaculation. Mieux, j’ai ressenti un plaisir infini à recevoir ce sperme chaud sur ma peau.

La chaudasse du lycée

Il était ravi. Et, bien entendu, il allait raconter à tous ses amis quelle « chaudasse » j’étais. Ce fut le tout début de mes aventures libertines. Ulcérée par ses atteintes à ce que je croyais alors être mon honneur, j’ai décidé de le punir. Alors, j’ai filé dans la même chambre avec un garçon qu’il n’appréciait pas du tout. Là, l’autre lycéen, un « premier de la classe » un peu benêt – et manifestement vierge – m’a prise en missionnaire, la tête plongée entre mes seins. Quand je suis ressortie de la chambre, j’ai fait savoir à qui voulait l’entendre que, cette fois, « la chaudasse avait pris son pied ». Mon premier amant en fut déconsidéré durant de longs mois.

Bien entendu, mon petit ami eut vent de cette « tournante », comme les plus idiots des lycéens appelaient cet épisode. Il me quitta, me laissant libre de copuler avec tout ce que le lycée comptait de garçons attirants à mes yeux. Ils furent nombreux. Très nombreux.

Une étudiante libertine

Aussi, quand je suis arrivée à Paris pour mes études, j’éprouvais une certaine satisfaction à ne plus être la « chaudasse du lycée ». A la l’université – que je ne fréquentais qu’une journée par semaine – comme dans ma classe préparatoire, je redevenais la jeune beurette intello, sans doute vierge, que tout le monde imaginait. Jusqu’au jour où j’ai suivi l’un de mes condisciples jusqu’à son appartement pour terminer un devoir sur Durkheim. Je n’avais alors pas d’intentions inavouables, pas plus que lui, je pense. Mais à l’inverse de son colocataire, un étudiant en musicologie, qui mit tout en œuvre, ce soir-là, pour me séduire.

Minuit avait déjà sonné depuis un moment quand nous terminions notre étude sur l’influence du positivisme dans la sociologie française. Je ne trouverais plus de métro pour rentrer chez moi. Qu’à cela ne tienne, Paul, le colocataire, avait une autre idée derrière la tête :
On se boit un verre ?
Non, on a cours demain.
Allez Alex, tu dis toujours que le jeudi, c’est la fac. Et que c’est trop facile pour toi ! Je suppose que c’est pareil pour Sam. Je vous sers un whisky-coca ?
J’avais très envie de me laisser tenter. Après tout, cela faisait déjà un mois que nous travaillions comme des brutes, y compris le week-end. Un instant de détente ne pouvait pas faire de mal. Par ailleurs, je me sentais assez attirée par Paul et ses airs de dandy post-moderne. Et je n’avais pas fait l’amour une seule fois depuis la rentrée.

Les colocataires et la beurette

Dans ce petit appartement, il n’y avait qu’un petit canapé, sur lequel je m’installais entre les deux amis. Verre à la main, Paul se fit de plus en plus pressant. Après le troisième verre, il avait posé sa main sur ma cuisse, ne se cachant pas de son colocataire. Ce dernier se sentait gêné :
Bon. Ben moi, je vais vous laisser. Il est déjà deux heures du mat’. Et je ne voudrais pas déranger…
Non, mais, tu peux rester si tu veux, répondit Paul.
Cette fois, c’était à son tour de se sentir gêné. Après tout, il était en train de draguer l’amie de son colocataire, sans se soucier de savoir si ce dernier avait des vues sur elle. Là, je m’aperçus que c’était peut-être le cas. Les deux garçons ne savaient plus quoi dire. Je décidais alors de rompre le silence qui s’était emparé de nous :
On peut rester tous les trois, ça ne me dérange pas.

Je ne sais pas ce qui m’a pris. Ou plutôt si. J’avais envie d’essayer un plan à trois. Après tout, les années d’études sont faites pour vivre des expériences, n’est-ce pas ? Je me penchais vers Alex et lui déposais un doux baiser sur les lèvres ; Puis ce fut au tour de Paul, qui me répondit avec sa langue plantée dans ma bouche. Il m’embrassait à la française, pendant que je laissais ma main filer vers l’entrejambe d’Alex. Le coquin était dur. Quant à moi, je sentais mon sexe devenir humide et sensible, pendant que Paul caressait mes seins. Très vite, je me retrouvais nue entre les deux étudiants. Alex m’embrassait sur la bouche, alors que Paul suçait mes mamelons durcis.

Aventures libertines avec deux mecs

Nous n’eûmes pas le temps, ni même l’idée, de rejoindre l’une ou l’autre chambre. Alex se retrouvait à genoux devant moi, à me prodiguer un cunnilingus doux et raffiné, alors que Paul me tendait son sexe à sucer. Puis, le musicien s’allongea sur le sol, un préservatif déroulé sur son beau phallus, m’invitant à m’empaler sur lui. J’adore cette position, en amazone, quand je peux chevaucher un homme. Je roulais donc du bassin, le beau vit de Paul enfoncé en moi, et demandait à Alex de me donner son sexe à sucer. Son membre était épais, pas très long, et je le sentis encore durcir contre mon palais. Nous changions de position régulièrement, tentant toutes les possibilités érotiques qu’offre un trio entre deux hommes et une femme. Mes deux amants redoublaient d’endurance.

Soudain, Paul eut une idée :
Tu as déjà essayé la double-pénétration ?
Non, répondis-je timidement, moi qui n’avais jamais testé la simple pénétration anale. Je n’ai jamais essayé la sodomie.
Je prenais tant de plaisir avec ces deux corps d’hommes que je me sentais prête à tout. Alors, Paul est venu me lécher entre les fesses, puis a approché son gland de celles-ci. Il s’est insinué dans ma raie culière, puis dans mon anus, lentement. Je sentais chaque centimètre de son pénis s’enfoncer moi. Quand il fut parvenu à ses fins, il commença à remuer du bassin. Je levais les yeux vers Alex, éberlué. J’avais un peu mal, mais le plaisir l’emportait sur la douleur.

Paul se retira, et me demanda, inquiet :
Ça va ?
Oui.
On essaye la double-pénétration ?
Oui.

à suivre

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