séjour au Cap d’Agde (1) la plage naturiste
Notre équipe de libertins et libertines a décidé de vous emmener visiter les lieux les plus chauds du libertinage en France et dans le monde. Aujourd’hui, Alexia vous accompagne au Cap d’Agde, dans le fameux quartier naturiste. Et tout commence avec une promenade sur la plage libertine, surnommée par les coquins et coquines « la Baie des Cochons ».
Avertissement
L’exhibition sexuelle est passible d’une forte amende et d’une peine d’emprisonnement. La fréquentation d’un site naturel interdit est également passible d’une forte amende.
Une seule pensée nous obsède. Nous voulons le plus rapidement aller piquer une tête dans la Grande Bleue. Et ici, nous avons nos habitudes. Bien évidemment, pas question pour nous de nous rendre ailleurs que sur la mythique plage libertine du Cap d’Agde : la Baie des Cochons. D’abord, vous dire qu’il ne faut pas confondre la plage naturiste et la Baie des Cochons. En fait, celle-ci ne constitue qu’une infime partie de la plage naturiste. Ensuite vous expliquer comment vous y rendre : marcher, avec la mer sur votre droite. Quand vous aurez atteint votre but, vous le saurez.
Un après-midi coquin sur la plage naturiste
En effet, l’attroupement que constitue la Baie des Cochons ne laisse aucun doute au visiteur. Si la plage naturiste présente la qualité d’être beaucoup moins fréquentée que les autres plages de la région, ici, la concentration de touristes est énorme. A cet endroit précis, on trouve deux types de population. D’abord, des couples échangistes et libertins venus de toute l’Europe. Ensuite, des hommes seuls, que d’aucun surnomme « les singes », pour leur propension à se branler plus ou moins négligemment en public.
Les choses sont posées. Nous nous trouvons dans un lieu de débauche et de dépravation sans nul autre pareil en France. Mais d’abord, nous « sacrifions » à nos traditions de couple. Le dernier jour de tous nos séjours au Cap d’Agde, je suce Manu sur la plage libertine. Le premier jour, j’ai droit à un cunnilingus très… exhibitionniste ! Mon homme s’allonge sur sa serviette. Je le monte, entièrement nue et offerte à tous les regards, à califourchon sur sa bouche. Il sait y faire, Manu. Déjà, alors que ses mains jouent sur mes seins et sa langue sur mon clito, la foule nous entoure.
Je suis là, en train de jouir d’une caresse buccale tant désirée, encerclée par une véritable meute. Des dizaines d’hommes se branlent en me regardant me tortiller de plaisir. Ils se montrent respectueux. Et quand l’un d’eux tente de m’approcher de trop près, je lui fais signe gentiment de reculer. Il se trouve aussi quelques couples parmi la foule des voyeurs. D’un œil troublé par la jouissance, je repère nos voisins de camping, le couple de Hollandais. Je jouis bruyamment, applaudie copieusement par les singes. Notre enquête libertine peut reprendre.
Us et coutumes de la Baie des Cochons
Repue, je me précipite à l’eau, suivie par un Manu qui calme son érection dans les flots de la Méditerranée. Dans les vaguelettes, ça drague énormément. Entre couples échangistes. Entre couples triolistes, candaulistes ou gangbangueurs et hommes célibataires. Une dame d’un certain âge, mais très belle, accompagnée d’un mari bedonnant et timide, nous aborde dans un accent allemand très prononcé. Elle nous explique tranquillement qu’elle passe une partie de sa journée à sucer des bites dans les dunes. Et elle voudrait que je me mêle à ses jeux. Je décline la proposition. Je me dois à mes lecteurs ! Et je dois retranscrire l’incroyable ambiance érotique de la plage naturiste du Cap d’Agde.

En réalité, j’adore observer ce qui se trame dans ce lieu à nul autre pareil. Posée sur ma serviette, je contemple les différents spectacles qui s’offrent à ma vue. Ici, une libertine rousse se fait prendre en missionnaire par un des singes, sous le regard excité de son mari candauliste. Là, deux couples tentent un rapprochement coquin. Ils se trouvent vite refroidis par l’arrivée d’une vingtaine de voyeurs.
Les dunes de la plage naturiste
En effet, à cette heure de la journée, c’est essentiellement dans les dunes de la Baie des Cochons que se concentre l’activité coquine. En poussant direction Marseillan-Plage, vous y trouverez des gays en goguette. Là où nous nous trouvons, quelques couples amateurs de dogging s’amusent avec les hommes célibataires. Ou entre eux. Mais attention : les dunes sont interdites au public, pour des raisons écologiques. La police y fait des rondes, l’amende reste salée.
Nous y retrouvons notre libertine allemande, à genoux, en train de sucer les bites qu’on lui présente. Les mecs giclent sur ses gros seins. Le mari observe, expliquant les règles de ce bukkake en plein-air aux différents participants. A peine plus loin, une femme plus jeune, la trentaine, se fait baiser en levrette par un petit black à la bite énorme, au fort accent africain, sous la surveillance du compagnon de la dame.
Nous retournons vers la plage naturiste, toujours côté échangistes. A la vérité, l’ambiance, bien que proprement hallucinante pour le non-initié, n’y est plus aussi chaude qu’il y a quelques années. La faute en revient sans doute à la prolifération des téléphones portables, que craignent les plus exhibitionnistes. Et sans doute aussi à l’arrivée des après-midis « mousse » du Glamour (reportage à suivre).
Quand la plage libertine s’emballe
A notre gauche, une jeune fille de 25 ans, installée dans un fauteuil de plage, fait face à un vieux lubrique qui se branle pour elle. Elle écarte les cuisses pour lui dévoiler sa chatte entièrement épilée. Elle se caresse les seins et plante son regard dans celui du vicieux. Il gicle sur le sable. Il la remercie. Elle se fend d’un coquin : « mais de rien ».
Nous retournons nous baigner. En remontant vers nos serviettes, nous nous apercevons que le poste de secours vient de fermer. Alors, comme par magie, les partouzes se font et se défont au rythme des envies des couples. La majorité des « activités » tournent autour de la pluralité masculine. Quelques couples toutefois s’adonnent au mélangisme : capotes et sable fin ne font guère bon ménage.
A notre droite, un couple de nos âges vient de s’installer. Elle est fine, très belle, avec de petits seins qui défient la gravité. Il est plutôt bel homme. Et très bien monté. Alors, on se rapproche. On se caresse les uns les autres. Bien vite, une forêt de jambes s’élève au-dessus de nous : les « singes » sont là. Moi, ça ne me gêne pas. Elle est beaucoup plus timide, ainsi que son compagnon. Nous nous donnons donc rendez-vous en club, le soir-même.