cocu cherche amant black pour sa meuf

Manon a pris les choses un peu à l’envers en vous racontant sa tournante candauliste réalisée il y a quelques semaines. Moi, j’ai plus envie de vous raconter nos débuts dans le candaulisme. Mais, d’abord, je voudrais vous présenter ma compagne, Manon, pour ainsi dire mon épouse. Elle a 27 ans et nous sortons ensemble depuis plus de cinq ans. Bien entendu, je trouve ma chérie magnifique. Une magnifique chevelure blonde, tirant parfois vers le roux, que font ressortir des yeux verts étincelants. Mais, pour être tout à fait honnête, et avec son accord, je dois vous dire que Manon est une femme plutôt gironde. Pas le genre taille mannequin. Petite et un peu ronde, elle reste à mes yeux la plus désirable des femmes. Les amateurs de femmes à forte poitrine l’apprécient particulièrement.

Une envie d’être cocu

L’histoire que je vais vous raconter date d’environ 3 ans. Après l’amour, Manon et moi avons pris l’habitude de nous raconter nos fantasmes. Je dois bien dire que, en la matière, elle a bien plus d’imagination que moi. Et je remarque que si je rêve de la baiser dans des endroits étranges ou des situations saugrenues, ses envies sont d’un tout autre ordre. Avec elle, il y a toujours un amant, en plus. Parfois un rugbyman balèze. Parfois un intello à lunettes. Mais le plus souvent, le fantasme qui revient le plus, c’est de baiser avec un groupe de mecs. Et, au sein de ce fantasme là, l’idée d’un amant black qui guiderait le groupe s’avère assez récurrent.

« Si tu veux, je t’arrange ça ? », lui dis-je un jour, un peu par défi. Manon a l’œil qui frise. Mais elle répond : « oh non, je m’en voudrais de te faire cocu, mon chéri ». Là, j’ignore ce qui se passe en moi. Le simple fait de l’entendre prononcer cette insulte, cocu, met mon cerveau en ébullition. Et pas que le cerveau ! Je commence à bander. Et plus la conversation devient sérieuse, plus j’ai la gaule. Elle finit par dire : « tu sais, la pluralité masculine, en réalité, ça me fait un peu peur. Mais baiser avec toi et un beau mec noir, ça me fait carrément mouiller ». Manon, quand elle parle de sexe, a des mots assez crus. Je crois que vous avez pu vous en rendre compte. Moi, par contre, l’idée d’un trio ne me tente guère.

Couple cherche amant black

Je me suis toujours senti assez voyeur. Alors, l’idée de voir ma belle baiser avec un type ne me déplaît pas. Bien au contraire. Je fantasme. Et elle ? A quel point plaisante-t-elle ? Si je ne lui demande pas, je ne le saurai jamais. Elle bafouille. Elle hésite. Peut-être a-t-elle peur que ma proposition soit un piège ? « Mais toi, tu prendrais ton plaisir comment ? ». En la regardant. En sachant que c’est MA chérie, pas celle du mec qui la baise. Je sais qu’il est difficile de comprendre ça. Mais j’imagine ma Manon en star du porno, et ça me fait bander.

La décision est donc prise. Manon doit se dire que je n’irai pas au bout. Je vais sur un site de rencontres. Et je me mets en quête de l’amant black de ma femme. A peine notre profil posté, je reçois plusieurs messages, y compris de mecs qui n’ont absolument pas le profil. Je bloque à tour de bras. Tant pis pour eux, ils seraient peut-être aujourd’hui dans nos critères. Marco vous le dira : un homme seul doit s’adapter aux envies des couples libertins.

Soirée cando avec l’amant black

Finalement, j’arrête mon choix sur Olivier, un gaillard martiniquais athlétique et, aux dires de Manon, très sexy. Il arrive vendredi soir chez nous pour prendre l’apéritif. Il est aimable, souriant et il ne boit pas. Un bon point pour lui. Manon semble émoustillée autant qu’on peut l’être en pareille situation. En réalité, tout le monde se montre un peu emprunté, pour ne pas dire timide. Pour lui, c’est une première fois. Il va falloir que je prenne les choses en main. Je m’approche de Manon par l’arrière du fauteuil où elle est assise. Je l’embrasse dans le cou et commence à caresser ses gros seins. Le bel antillais à les yeux qui lui sortent de la tête.

Un sein jaillit du décolleté de ma chérie. Lui, il n’y tient plus et se précipite sur elle. Je m’écarte de la scène. Je vais être cocu, et je bande comme jamais. Il se montre aussi tendre que passionné, aussi respectueux que fougueux. Elle, elle en veut encore plus. Elle en a après sa braguette, d’où elle sort une bite gigantesque.

Le cocu, la femme et la grosse bite

« Mazette ! » lance Manon en contemplant l’énorme queue de son futur niqueur. Je crois pouvoir me vanter d’être plutôt bien doté par la nature, mais Olivier et moi ne jouons pas dans la même catégorie. C’est bien simple : on croirait à quelque chose de faux, tellement c’est gigantesque. Mais il en faut plus pour intimider ma chérie, qui se décide à prendre en bouche le monstre. On dirait qu’elle essaie de le sucer en gorge profonde. Attention, ma chérie, tu vas t’étouffer.

Manon creuse les joues, lèche la bite de son amant black. Elle me regarde du coin de l’œil, un air vicieux dans le regard. Elle semble dire : « alors, mon cocu, ça t’excite ? ». Et oui, ça m’excite d’être cocu, de voir ma femme baiser avec son niqueur noir. Elle finit par l’attirer dans la chambre conjugale où elle se déshabille entièrement. Il dit : « je te trouvais déjà belle habillée… ». Comme le feront presque tous ses amants, Olivier s’occupe des seins de ma belle. Elle couine. Je vais m’asseoir sur le petit fauteuil à côté. Et peut-être me branler.

Je vais assister au plus beau spectacle érotique qui soit. Manon, ma chérie, ma salope, va baiser avec son amant noir pendant plus d’une heure. Moi, je regarde. Je suis cocu. Je suis content. Ma bite à la main, je la regarde qui, finalement, parvient à faire gicler son beau martiniquais sur sa formidable poitrine. Elle me fait signe. Je m’approche d’elle. J’éjacule à mon tour sur ses seins.