promenade coquine dans le village naturiste
Toujours en vacances près du Cap d’Agde, Julie se rend, en compagnie de Sabine et Léonard, au village naturiste. Une exploration qui va conduire la libertine à un plan cul assez étrange.
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Le village naturiste du Cap d’Agde
Heureusement pour nous, les femmes (Sabine s’est levée à peu près en même temps que moi), Léonard, debout dès 9h, nous avait préparé le petit-déjeuner. Il semblait impatient de me faire visiter le Cap d’Agde et ses lieux de débauche. Un café avalé, nous partîmes, Sabine et moi, dans la direction des douches du camping, qui m’évoquaient déjà des souvenirs très érotiques. Quiconque a pratiqué le naturisme sait que la toilette y est plus simple : pas besoin de se déshabiller, gain de temps.
Tant et si bien que, vers 12h30, nous étions en vue de l’entrée du village naturiste. Léonard avait pris la précaution d’acheter la carte d’accès obligatoire pour pénétrer le quartier. La barrière s’ouvrit donc pour nous. Et, par le plus heureux des hasards, nous trouvions facilement à nous garer. Sabine et moi avions faim. Je veux dire… de nourriture, pas de sexe. Léonard nous conduisit donc jusqu’à Port-Ambonne où de nombreux restaurants nous proposaient des menus de toutes sortes. Nous options pour la terrasse d’un restau spécialisé dans la cuisine tex-mex.
vidéo-reportages sur le libertinage
Le serveur nous installa à l’une des rares tables libres. Il me faut vous dire que, par rapport au reste de la côte méditerranéenne, on mange plutôt bien – et pour un peu moins cher – sur le village naturiste. D’où une certaine affluence. Ceci explique que, à notre table de six, le serveur crut bon d’installer également deux superbes jeunes filles, habillées légèrement, mais habillées tout de même. Elles devaient avoir entre 25 et 30 ans, et semblaient tout ignorer (comme moi) des us et coutumes des lieux.
Rendez-vous en club échangiste
Nous eûmes, tous les cinq, une conversation à bâtons rompus sur le naturisme, sur le libertinage et sur cet étrange trouple que nous formions, Sabine, Léonard et moi. Les deux jeunes femmes semblaient curieuses de tout. Et particulièrement des clubs, nombreux, qui se font concurrence ici, la nuit venue. Allaient-ils accepter des femmes seules ? Léonard se montra rassurant. Bien sûr, ce sont plutôt les hommes célibataires qui ne peuvent pas entrer dans certains établissements. « Mais nous, nous n’avons rien à échanger ? » s’inquiéta Léa, un peu plus timide que son amie Chloé.
Sabine partit dans un éclat de rire. Elle expliqua à la demoiselle que les femmes sont toujours les bienvenues dans les clubs libertins. Puis elle saisit l’occasion : « si vous voulez, on se retrouve ce soir à l’entrée du Glamour ? ». Je voyais Léonard frétiller à l’idée de faire son entrée en club échangiste aux bras de quatre nanas. Les deux filles n’étaient pas farouches. L’heure fut fixée. Les explications pour accéder au dit club données.
Visite du Cap d’Agde libertin
Puis, nous primes congé des deux filles, qui avaient rendez-vous pour un éventuel job d’été dans un hôtel du quartier. La visite à proprement parler pouvait commencer. Mais avant, Léonard sortit trois serviettes de bain de son sac-à-dos et nous les proposa. « Nous serons plus à l’aise », dit-il. Je ne comprenais pas. En tout cas, jusqu’à ce que Sabine se mette à se déshabiller entièrement. Elle passa une serviette au dessus de son épaule et m’invita à faire de même. Quand on n’est pas habituée à la nudité publique, il peut s’avérer difficile de se foutre à poil comme ça, en pleine rue.
Mais je ne voulais pas passer pour une godiche. Surtout que de nombreuses personnes se promenaient entièrement nues juste à côté de moi. Je donnais donc mes habits à Léonard, qui les rentra dans son sac. Je mis ma serviette autour de ma taille, façon de cacher quand même l’essentiel. Nous reprîmes notre route. Le quartier avait ses commerces, comme partout ailleurs : restaurants, supérettes, boutiques de souvenirs. Mais il concentrait aussi une quantité d’échoppes beaucoup moins classiques. Ainsi, nous passions à proximité d’un sexshop, d’un cinéma porno et de nombreux clubs échangistes dont la plupart étaient fermés en journée.
La boutique du village naturiste
A un moment, un son très violent s’est mis en marche, pas très loin de nous. Une musique de discothèque, scandée d’un boum-boum incessant. « Qu’est-ce que c’est ça ? », demandais-je. « Ah ça ? », répondit Sabine, « c’est la musique de la mousse libertine. Mais nous irons un autre jour ». Je n’étais pas beaucoup plus renseignée. Sabine voulait absolument me montrer une boutique de prêt-à-porter qu’elle affectionnait particulièrement. Et effectivement, elle y avait ses habitudes : la vendeuse lui fit une bise sur la bouche, ainsi que sur celle de Léonard, mais me claqua la bise sur les joues.
« Alors comment allez-vous, les deux coquins ? », demandait-elle à Sabine et Léonard. Je ne prêtais pas longtemps attention à leur discussion, fascinée par les tenues extravagantes et provocatrices que proposait la boutique. J’enviais les femmes qui pouvaient arborer d’aussi profonds décolletés. Et me mettais en chasse d’une tenue qui pouvait souligner mon beau cul.
La libertine de la cabine d’essayage
Je m’enfonçais dans le fond du magasin, en laissant les trois amis discuter tranquillement. J’arrivais vers les cabines d’essayage. Là, un spectacle incroyable m’attendait. Une véritable bombe sexuelle, entièrement nue, essayait différentes robes, sans même avoir pris le soin de se dissimuler derrière le rideau. Quand je dis une bombe… Il faut que je m’explique : grande, blonde, yeux bleus, poitrine fascinante, cul rebondi et ferme, bouche pulpeuse. Pour peu, on aurait dit une star du porno.
Et là, au fond de cette boutique de tenues libertines, personne ne semblait prêter plus que ça attention à elle. Sauf deux malabars, deux beaux mecs intensément musclés, une serviette de bain autour de la taille. Ils étaient aussi sublimes qu’elle. La blonde minaudait en essayant des tenues qui ne cachaient pas plus son anatomie de rêve que quand elle était entièrement nue. D’ailleurs, l’un de ses deux mecs annonça : « tu m’excites, à rouler du cul comme ça ».

Et il ne mentait pas. La bosse sous sa serviette disait tout de son érection. Ni une, ni deux, la blonde s’empara de l’engin. Là encore, il faut que je précise : quand je dis engin, je parle d’une bite énorme. Et vous savez ma passion pour les gros membres virils.
Le queutard de la cabine
Je restais là, interdite, à contempler la bombasse qui, désormais, paluchait les deux grosses queues de ses deux amants. Les autres clients ne s’inquiétaient pas de la situation. Au contraire, ils s’en amusaient. Moi, je ne savais pas comment réagir. Je regardais la scène, avec une folle envie de me masturber. Sans doute cela n’aurait pas été choquant, pour tous ces libertins et libertines qui en avaient vu d’autres.
Au bout d’un moment, le trouple décida tout de même de se dissimuler dans une cabine. Mais avant, le mec de la blonde, le premier qui avait manifesté son envie de sexe, me fit signe de les suivre. Enfin, plus précisément, il eut un regard dans ma direction que j’interprétais ainsi. Ne sachant trop quoi faire, je les laissais refermer le rideau. Puis, n’y tenant plus, je m’approchais. Ces trois-là étaient en train de baiser, ici même, dans cette boutique. Alors, j’ai ouvert le rideau. Pas plus surpris que ça, le mec me saisit par le poignet et m’attira vers lui. Il me roulait une grosse pelle inquisitrice tandis que son compère baisait littéralement la bouche de la bombe libertine.
Je me mis à mon tour à genoux et prit l’énorme queue du type entre mes lèvres. Il se laissa faire, sans chercher à me donner le rythme, en grommelant : « oh putain, tu suces bien. Salope, tu suces bien ». Il déchargea dans ma bouche. Tous les trois me laissèrent ainsi, chaude comme la braise, sans demander leur reste. Je n’avais plus qu’à revenir vers l’entrée de la boutique. A l’extérieur, le quartier naturiste vivait comme en pleine journée. Moi, j’avais un goût de sperme dans la bouche, et le sexe trempé d’excitation. « Tu étais où, Julie ? », demanda Sabine. « Regarde, on a trouvé une robe qui t’irait à merveille ».