une couguar en gangbang dans un club libertin

Nous avons décidé d’ouvrir ces pages à nos lecteurs et lectrices, afin qu’ils nous racontent leurs plus marquantes expériences libertines. Aujourd’hui, Serge nous narre son premier gangbang, vécu dans un club échangiste que les libertines et libertins de Paris reconnaîtront sans doute, en compagnie d’une « couguar » très libérée.

Comme vous allez vite vous en rendre compte, je n’ai pas l’habitude d’écrire. Et pourtant, j’ai tellement envie de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée la semaine dernière que je me sens poussé des ailes. Je ne suis pas forcément fier de ce que j’ai fait, mais je dois vous avouer que cet épisode de ma vie sexuelle restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Mes envies libertines

En déplacement à Paris, à la demande de mon boss, je me suis arrangé, dans le dos de ma femme, pour me renseigner sur les clubs échangistes de la capitale. Je suis moi-même assez fan des vidéos libertines qu’on peut voir sur le net. Et, si ma femme était d’accord, je dois dire que je n’aurais rien contre un petit plan échangiste de temps à autre avec elle.

Hélas pour moi, comme beaucoup d’hommes qui fantasment sur l’échangisme, je crois, je me contente – contraint et forcé – d’une vie de couple plutôt monotone sur le plan sexuel. Alors, j’ai choisi de profiter de ces trois jours en formation informatique à Paris pour tenter ma chance dans un club échangiste. J’ai d’abord fait une recherche sur internet pour savoir quel club organisait des soirées pendant mes moments libres. Et je suis tombé à ma grande joie sur l’un d’entre eux qui proposait une soirée gangbang amateur.

clubs échangistes
reportage vidéo réel

L’idéal. Sauf pour le prix : gratuit pour les couples, 90 euros pour les célibataires. Douloureux, même dans la perspective de participer à mon tout premier gangbang. Bref. J’ai choisi d’y aller tout de même. Je me suis mis sur mon 31. Ou plutôt non : j’ai opté pour une tenue classique, mais décontractée. Genre « friday wear », vous voyez ?

Arrivé devant la porte du club, un doute me prend. Ne suis-je pas en train de faire une connerie ? Et puis, merde, c’est trop tard pour reculer. Je sonne. Au bout d’un moment, une jolie nana brune, escortée d’un videur hyper baraqué, ouvre la porte :
– Bonsoir, monsieur, entrez je vous en prie.
La serveuse du club arbore un large sourire – qui me met à l’aise immédiatement – ainsi qu’un body en latex avec un beau décolleté qui révèle tout de son opulente poitrine. Je suis ravi.

Le rêve d’un premier gangbang

Ici, c’est clair, les femmes sont chaudes et sans complexes. Tant mieux pour moi. Je me débarrasse de ma veste et m’avance vers la piste de danse. Là se dandinent sans enthousiasme une flopée d’hommes célibataires et deux couples franchement pas terribles à mon goût. Les deux femmes sont plutôt âgées, assez grosses, vraiment pas bandantes. Pas franchement le style « couguar ». A quoi je m’attendais aussi ? Une soirée pluralité masculine, tu croyais que ça allait attirer des jeunes nanas libertines ? Mais bon, quitte à tromper ma femme, autant que ce soit avec une nana qui me branche…

Je prends un verre, offert avec l’entrée (à ce prix là, c’est la moindre des choses, non ?). Et je regarde autour de moi. Beaucoup d’hommes, et des couples vraiment pas dans mes critères. Qu’est-ce que je suis venu foutre dans cette galère ? Je me console en me disant qu’au moins, j’aurai tenté l’expérience et que je me coucherai moins con ce soir. Moins riche aussi, mais bon…

J’en suis là de ma réflexion quand la lumière rouge de l’entrée s’allume une nouvelle fois, annonçant la présence de nouveaux visiteurs. Et c’est là qu’elle apparaît : passant la porte d’entrée, un couple, quinquagénaire, salue le portier et la serveuse en leur claquant la bise. Une belle femme blonde, bien gaulée, au regard troublant comme je les aime. Elle, c’est le style « couguar » ! La soirée n’est peut-être pas perdue.

Arrivée d’une splendide couguar

D’un coup, d’un seul, tout le club échangiste, femmes comprises, se retourne vers la belle couguar, au bras de son mari. Le couple libertin se dirige vers le vestiaire et, quand elle retire son pardessus pour le confier à la serveuse, la nana dévoile une magnifique robe à jarretelles en vinyle, qui rehausse magnifiquement un corps plutôt sculptural, de petits seins qui semblent bien fermes, et de longues jambes surmontées d’un cul à faire bander un saint.

Déjà, les habitués se précipitent pour venir saluer la belle, qui fait la bise à tous les hommes. Elle fait un petit tour du club, toujours flanquée de celui que je suppose être son mari et revient ensuite, promenant son corps provocateur à travers la piste de danse, vers le bar, où elle commande un gin tonic. Je suis sous le charme. Tout, dans l’attitude de cette femme, sent le sexe. Elle semble sûre d’elle, libérée, et franchement cochonne. Elle mate les gars un à un comme si elle faisait son marché. Une fois son verre fini, et réglé par un client qui semble subjugué par la mûre libertine, elle s’adresse à la cour de mâles venus lui proposer leurs services.

Participer à mon premier gangbang

D’un geste décidé, elle en désigne quatre du doigt, puis se lève, et file vers les coins-câlins. Merde ! J’ai encore laissé passer ma chance. Ou peut-être pas. Passant devant les banquettes où je suis assis, elle croise du regard un jeune rebeu à l’allure timide et lui lance : « toi, tu veux venir avec nous ? ». Elle a la voix grave, très sensuelle, que j’affectionne chez les femmes dans son genre. Le jeunot ne se fait pas prier. Puis elle regarde les quelques mecs à côté de moi. Mais c’est à moi qu’elle s’adresse : « et toi? ». Je me lève, raide comme un I, dans tous les sens du terme.

Je n’ai plus qu’à suivre la belle inconnue dans les recoins du club, avec six autres hommes, dont son mari. Elle trouve un endroit qui semble lui plaire, non loin d’une espèce de couchette recouverte d’un drap rose. Les hommes se ruent vers la mûre libertine et se mettent à la caresser, par dessus et par dessous sa robe en vinyle. Et je ne suis pas en reste.

Sa peau est douce, lisse, soyeuse. Elle embaume un parfum entêtant et très excitant. Son mec se tient à quelques pas de nous, surveillant les éventuels débordements. La voici qui se met à genoux et sort une à une les bites des braguettes des gars. Tout le monde a la gaule. Moi aussi. Voilà la couguar qui se met à sucer, comme si elle voulait goûter chacune de nos queues. Après les avoir toutes prises au fond de sa gorge, elle se redresse et me désigne : « toi, allonge-toi sur le lit ». A voir les autres zobs des gusses avec moi, je comprends vite ce qui l’a décidée. Je suis le mieux membré des mecs.

Double-pénétration avec le mari d’une couguar

Je m’allonge donc sur le lit, où la libertine mature me pose une capote. Et la voilà qui vient s’empaler sur mon érection, ses seins collés contre mon visage.

Cette fois, j’y suis. Je participe à mon premier gangbang. Et je me montre bien plus timide que dans mes fantasmes, je vous prie de le croire. Mais la belle libertine a pris les choses en main. Ou plutôt en chatte, elle qui se dandine superbement sur ma queue dressée. Le mari nous regarde, sourire aux lèvres, pine raide et épaisse à la main. Il s’installe derrière son épouse. Elle se colle contre moi. Ses petits nichons pointus caressent ma poitrine. Ce faisant, elle ouvre l’angle à son mec, qui plante sa queue dans son petit trou.

Incroyable. C’est comme si la teub du cocu venait branler la mienne à travers la paroi. Jamais je n’ai connu ça. La couguar, quant à elle, miaule littéralement de plaisir. Et peut-être un peu de douleur. Elle a deux grosses pines dans chacun de ses orifices. Mais ça ne lui suffit pas. Elle se redresse. Nos deux bites s’entrechoquent dans son intimité. Je suis au bord de l’orgasme.

La couguar libertine a de l’expérience

Ainsi positionnée, la cochonne a tout loisir de sucer les pines bandées que lui tendent les autres hommes. Je ne suis vraiment pas attiré par les sexes de mecs, mais je dois bien avouer que le spectacle de cette bouche gourmande enchaînant les pipes m’excite encore un peu plus. Je vais jouir !



vidéo-reportages sur le libertinage

Heureusement, ma libertine a de l’expérience. Elle sent bien que je suis au bord du gouffre. Elle aussi, d’ailleurs, semble toute proche de l’orgasme. Madame demande à son mari de se retirer, puis bascule sur le lit, où elle reprend un temps ses esprits. Puis elle me prend en bouche, son cul et sa chatte tendus vers les autres gars qui vont la saillir.

Bukkake final

Je ne sais combien de temps va durer ce premier gangbang. Ce qui est certain, c’est que la libertine sait ménager ses montures. Alternant d’une pine à l’autre, d’une position à l’autre, elle met tous les hommes à sa cadence. Une maîtresse-femme. Alors quand elle sort de la petite piaule, chacun se demande si elle a fini. Si elle va nous laisser ainsi, tous prêts à gicler.

Elle nous fait signe de la suivre. Finalement, elle s’agenouille dans la plus grand pièce du club échangiste. Là, quelques couples s’amusent en trio avec des célibataires. Tous ses amants s’approchent, ainsi que les laissés-pour-compte, dont certains ont déjà la bite à la main. Elle se masturbe, toute proche de l’extase. Dans des râles masculins, dont ceux de son mari, la couguar va jouir, aspergée du foutre d’au moins une dizaine de mecs.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *