un couple vanille en soirée BDSM hardcore

Une fois n’est pas coutume, Carole et Damien se rendent à une soirée libertine « Fetish & BDSM ». Surpris par le côté hardcore des événements, notre couple vanille va tout de même faire la connaissance d’une maîtresse domina experte.

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En choisissant de devenir libertins, Carole et moi, nous nous sommes promis de rester toujours ouverts à de nouvelles expériences, comme celle vécue par exemple devant des routiers. Alors, quand le club échangiste près duquel nous passions nos vacances a annoncé sur internet une soirée Fetish & BDSM, nous nous sommes dits qu’il serait peut-être intéressant d’aller y faire un tour. Que deux choses soient claires à ce stade de mon récit. D’abord, Nous sommes un couple « vanille », comme disent les adeptes du sadomasochisme. Nous ne pratiquons pas le SM, ou juste pour s’amuser, pour mettre un peu de piment dans nos jeux sexuels. Et cela reste soft. Ensuite, nous ne jugeons absolument personne. Si tout le monde est consentant, rien ne doit être interdit.

Chez les BDSM

Ceci étant posé, je vous le dis : nous n’étions pas préparés à ce que nous allions voir. A vrai dire, nous nous attendions à voir des couples un peu comme nous, vaguement excités par le BDSM, mais plutôt libertins « vanille ». En voyant cette coquine d’un certain âge tenir son mari en laisse, tout en le faisant avancer à coups de cravache sur les fesses, nous avons compris notre erreur. Et cette jeune femme, ses petits seins nus, offerte aux regards de tous, les tétons pris dans des pinces douloureuses ? Nous étions bien en terres sadomasochistes. C’était à nous de nous adapter.

Comme nous n’apprécions pas les clients des clubs libertins qui ne viennent que « pour voir », nous nous trouvons donc dans une position un peu délicate. A vrai dire, nous ne sommes pas les seuls dans cette situation. Des habitués du club, sans doute, avaient pensé comme nous, que la soirée Fetish & BDSM serait un peu moins hardcore. Ils sont là, tout comme nous, à contempler un spectacle tout à fait hallucinant. Trois hommes se trouvent attachés, debout, l’un à une croix de Saint-André, les autres à des sortes de piquets (sans doute des barres de pole-dance), et se font fouetter, nus, par une sublime maîtresse dominatrice.

Sado-maso hard et sexe vanille

Ce qui me frappe le plus, dans cette scène hallucinante, c’est que les hommes soumis bandent comme des dingues, alors même que personne ne les touche, ni même ne leur prodigue quelque autre motif d’être excités. Nous avons affaire à de vrais masochistes, qui prennent leur plaisir à être soumis en public. Si le spectacle est intéressant, il ne correspond en rien à nos goûts et à nos attentes. Bien fait pour nous. Il ne nous reste plus qu’à, éventuellement, trouver un autre couple vanille pour s’amuser ensemble.

Peine perdue. L’ambiance est au fetish et au BDSM. Dans une petite alcôve, un homme avec un T-shirt « superman » (SM) a attaché sa femme à forte poitrine à la croix de Saint-André. Les hommes sont invités à la peloter sans qu’elle puisse s’y opposer. Certains vont jusqu’à lui claquer les cuisses ou lui pincer les tétons. Dans une autre pièce, une domina pas très jolie, assez âgée, martyrise littéralement un homme beaucoup plus jeune qui lui donne du « oui, maîtresse, à vos ordres maîtresses ». D’autres dames, sans doute aussi assez sévères, se moquent de lui quand il hurle sous la fessée. Son cul est rouge. Je dois dire que ça me dépasse un peu.

Entre les mains d’une domina BDSM

Carole, elle, semble un peu excitée par la situation. Elle me dit : « viens, on se trouve une piaule, on verra bien si quelqu’un nous rejoint ». Très bien. Baiser avec ma chérie, ça me convient toujours. Et nous nous retrouvons donc tous les deux dans un coin-câlin trop grand pour nous, en train de nous embrasser, puis de nous offrir un 69. Au bout de quelques minutes, je sens une présence dans la salle. Je redresse la tête, jusque là plantée entre les cuisses de ma bien-aimée. C’est la dominatrice. La belle, la canon, celle qui torturait les trois soumis quelques minutes auparavant. « Alors, les vanilles ? » nous lance-t-elle d’un ton sévère, « on est venus s’encanailler ». Je souris bêtement. Carole aussi.

La domina s’approche de ma belle : « toi, je sens que tu aimerais être ma soumise ». Je m’apprête à lui dire que non, nous ne sommes pas intéressés, quand Carole me lance un regard assez étrange. Je hausse les épaules et l’entend dire : « oui, je veux bien essayer ». Puis, elle a un moment d’hésitation : « mais juste essayer, hein ? ». La maîtresse laisse échapper un sourire amusé. Elle fait oui de la tête, pendant que je reluque dans son décolleté plongeant. Un instant plus tard, la domina a ordonné à Carole de me sucer la bite, les fesses en l’air. Elle lui donne la fessée. Et je vous prie de croire qu’elle claque sans retenue. Ma chérie, elle, ça n’a pas l’air de lui déplaire. Elle déguste ma queue comme elle ne l’a pas fait depuis longtemps. Et, maintenant, la domina lui appuie sur la nuque pour la forcer à la gorge profonde.

Ma femme soumise et heureuse

Le cul de Carole a pris une couleur rosée. Elle s’étouffe sur ma bite au gré des mouvements de la maîtresse qui l’encourage à bien me sucer. C’est un peu comme si c’était elle qui me branlait en direct, et que ma chérie n’était qu’un sex-toy entre ses mains. Soumise, ma femme se laisse faire. Elle aime ça, vraiment, je le sens. D’ailleurs, la maîtresse BDSM le remarque : « mais tu mouilles, petite soumise ? Attends, je vais te fouiller ». Tandis que la pipe contrainte se poursuit, elle plante quelques doigts dans la chatte de Carole. Et commence à la fouiller. Bientôt, elle va jouir. Ça y est, elle part. Mon zob sort de sa bouche et elle crie à la fois de plaisir et de douleur, car la domina lui a saisi les seins, qu’elle malaxe sévèrement.

L’orgasme redescend finalement. La maîtresse n’en a pas fini. « Il faut terminer ton travail, catin », annonce-t-elle à Carole. Elle la fait s’allonger sur le lit, m’ordonne de me placer à califourchon au dessus de la tête de ma chérie. Elle me branle, d’une main étonnamment douce, jusqu’à ce que je gicle en plein dans le visage de Carole. « Voilà, soumise, ça, c’est du bon travail ! ». Puis elle repart comme elle était venue.

=> la suite des aventures de Carole & Damien

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