cravate de notaire, libertinage… et ma femme
Pourquoi un couple devient-il libertin ? Cette histoire vécue, racontée par l’un de nos lecteurs, vous explique une bonne raison de tenter l’aventure libertine. Entre petits seins et cravate de notaire, vous comprendrez tout.
Amoureux de ma femme
Sandra est une femme superbe. Vraiment, je l’ai toujours pensé. Durant les dix premières années de notre relation, où nous ne pratiquions pas l’échangisme, où nous restions fidèles l’un à l’autre, j’ai été parfaitement heureux de pouvoir faire l’amour avec elle aussi souvent que nous le voulions. Elle a un visage d’ange, de magnifiques yeux bleus qui soulignent sa chevelure blonde. Sa longue silhouette svelte est dessinée par la belle cambrure de son cul ferme. Ses tout petits seins qui m’ont toujours terriblement excité. Alors, quand nous sommes allés pour la première fois dans un club échangiste, au bout de dix ans de vie commune, je n’étais pas peu fier de la beauté de ma femme, sur laquelle se retournaient presque tous les hommes. Et la cravate de notaire, dans tout ça ? J’y viens, mais il faut bien que je pose le décor.
J’attribue ça à la beauté irradiante de mon épouse. Ce soir-là, nous avons reçu pas mal de sollicitations de couples, dans ce club échangiste où nous mettions les pieds pour la première fois. Nous avons finalement craqué pour un couple, beaucoup plus jeune que nous. Le mec arborait les biceps saillants que je n’ai jamais eu, un torse imberbe et puissant et des cuisses en béton armé. La nana, quant à elle, était une petite brune pétillante, à peine 1m60, à la peau très mate, au regard vif et coquin. De plus, elle promenait devant elle une paire d’obus moulés dans un haut trop serré pour eux.
La brune libertine et la cravate de notaire
Après quelques regards complices entre Sandra et moi, nous nous sommes décidés à les suivre dans un coin câlin. Là, de longues et sensuelles caresses entre elle et moi, entre lui et Sandra, nous ont laissés nus comme des vers. Alors, Carole, la jeune femme, s’est lancée dans une cravate de notaire dont je me souviendrai toute ma vie. Ses gros seins très fermes avaient été lubrifiés, si j’ose dire, par l’effet conjugué de sa transpiration (on mourait de chaud dans cette cabine) et ma salive, déposée au cours de longs baisers sur ses deux gigantesques doudounes. Elle savait bien ce qui attirait irrémédiablement le mâle hétérosexuel vers elle.
Mieux, elle en avait parfaitement conscience et usait de ses charmes avec l’insouciance de sa jeunesse. Ma bite fichée entre ses deux globes, elle entama une douce et profonde branlette espagnole. Comprimant mon sexe entre ses seins, imprimant à la caresse un long va-et-vient qui me laissait extatique, incapable de réagir. Puis, elle accéléra, réussissant même à laper du bout de la langue mon gland à chaque fois qu’il émergeait de sa prodigieuse poitrine.
Le libertinage, ma femme et moi
Quand je fus sur le point de jouir et de me répandre sur ses seins, elle stoppa net la cravate de notaire. Elle voulait sa part de plaisir. Evidemment, j’étais ravi de pouvoir la lui apporter. Je l’ai de nouveau léchée, caressée, masturbée, tout en gardant un œil sur Sandra et sur le jeune mec. Ces deux-là semblaient s’amuser comme des petits fous. Puis Carole me prit à nouveau contre sa poitrine. Où elle me fit jouir à grands jets.

Ce soir-là, j’ai compris que le peu que ma femme ne pouvait m’apporter sur le plan sexuel, je le trouverais dans le libertinage. Et que, elle aussi, elle pourrait y trouver d’autres plaisirs, d’autres physiques, d’autres façons de faire.