ma découverte du saphisme et du gangbang

Troisième épisode de la vie libertine de Samira : la jeune femme se rend dans un sauna libertin. Là, accompagnée par ses deux amants, elle compte bien découvrir le gangbang. Mais c’est aussi une initiation au saphisme qui l’attend dans cet antre du vice.

=> lire l’aventure précédente de Samira

Paul avait eu l’idée le premier. Comme à l’habitude, Alex s’était montré réticent. Quant à moi, j’avais sobrement répondu :
Je vais y réfléchir.
Réfléchir à quoi ? s’était emporté Alex. Tu te rends compte ce que ça signifie ?
Je me sentis comme piquée au vif. Comme si Alex affirmait que je n’en était pas capable.
Tu te rends compte qu’il y a dix minutes, tu étais en train de me baiser pendant que Paul m’enculait ?
Il resta muet un long moment. Pendant ce temps, Paul scrutait mon regard comme pour y deviner mes pensées. Vous l’avez compris, un nouvel épisode de mes aventures libertines allait bientôt se dérouler. Paul avait vu sur internet que, tous les mercredis soirs, un sauna échangiste organisait une soirée gangbang. Curieux de découvrir les établissements coquins, et pensant sincèrement que je pourrais être intéressée par la perspective d’un vrai gangbang, il avait proposé. Il me restait à disposer. Ou pas.

Soirée gangbang en sauna libertin

Je n’avais nullement l’intention de faire durer le suspens. Mais autant je prenais un réel plaisir à jouir de deux hommes rien que pour moi, autant l’idée d’une meute de mâles avait de quoi m’inquiéter. Depuis quelques semaines, pourtant, je rêvais régulièrement de pénis inconnus, d’armées de phallus au garde-à-vous pour moi. Par ailleurs, je n’ai jamais considéré qu’une femme qui se donne ces plaisirs là soit en rien une « salope » ou une femme soumise. Alors que mes deux amants attendaient fébrilement ma réponse, une image me vint à l’esprit : celle d’un flot ininterrompu de sperme qui viendrait se répandre sur mes seins. Ce dernier fantasme emporta ma décision. J’ignorais alors que j’allais découvrir, le même soir, à la fois le saphisme et le gangbang.

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Ainsi, nous nous retrouvions dans le 20ème arrondissement de Paris, à sonner à la porte d’un établissement qui allait bientôt nous révéler tous ses mystères. Un grand mec, costaud, noir comme l’ébène, nous ouvrit. Il eut un sourire.
Vous êtes un trouple ? Vous êtes majeurs ?
Paul répondit par l’affirmative. Le vigile ne nous laissa pas sur le trottoir. Mais à peine nous avait-il fait entrer qu’il contrôla nos pièces d’identité. Cela ne suffit pas à le rassurer complètement.
Vous êtes très jeune, mademoiselle. Vous êtes vraiment consentante ?
Ses préventions me firent un peu peur. J’eus du mal à manifester l’enthousiasme qui était pourtant le mien quelques minutes auparavant. Mais je parvins tout de même à le rassurer.
Bien. De toute façon, rappelez-vous, tous les trois, mais surtout vous mademoiselle, que rien n’est jamais obligatoire dans un sauna libertin. Sentez-vous libre, à tout moment, de refuser. Je vais vous avoir à l’œil, ce soir. N’hésitez pas à faire appel à moi, au besoin.
Il nous indiqua la caisse, qui faisait également office de vestiaire. Il indiqua à la demoiselle qui nous souriait que, pour nous, ce serait le tarif d’un couple. Alors, elle nous remit trois serviettes et un paréo, puis nous laissa pénétrer dans l’antre du vice.

Visite d’un sauna mixte

Nous nous changions rapidement. Tandis qu’il enroulait sa serviette autour de sa taille, je remarquais que Paul bandait déjà. Cette observation me fit plaisir. Ainsi, il était heureux et excité à l’idée de « m’offrir » à une foule d’inconnus. Il ne nous restait plus qu’à visiter les lieux. Au bar, nous trouvions trois hommes, de tous âges, accoudés au comptoir, ainsi qu’un couple d’âge mûr qui sirotait un soda un peu plus loin. Nous poursuivions notre exploration des lieux. Il était encore tôt. Nous avions le temps avant l’arrivée des convives. Au fur et à mesure de notre visite des alcôves, je découvrais, assez impressionnée, un pilori, une croix de saint-andré et toutes sortes d’instruments plus ou moins sophistiqués. Pourtant, je n’éprouvais plus aucune appréhension. Le videur me l’avait certifié : j’étais en parfaite sécurité en ces lieux.

La soirée avança, au rythme des arrivées dans le sauna. Les hommes étaient bien plus nombreux que les femmes, ce qui ne m’étonna guère. Mais tout de même : ils devaient être pas loin d’une trentaine, alors que seule moi et la dame mûre du bar représentions la gente féminine. Quand arriva finalement, escortée par celui que j’imaginais être son mari, une belle femme blonde de la trentaine, qui semblait connaître à peu près tout le monde dans ce sauna mixte. Elle était blonde comme j’étais brune, les yeux clairs comme j’avais les yeux noirs. Je dus paraître un peu sotte à la libertine, qui me souriait, intriguée manifestement par ma présence en ces lieux. Nous nous disions bonjour d’une bise sur les deux joues, quand la dame mûre s’en alla vers les alcôves, suivie immédiatement d’une ribambelle d’hommes célibataires.

La libertine, le saphisme et le gangbang

Laura me fit des compliments sur mon physique. Je pris d’abord cela pour une simple marque de politesse, sans comprendre quel saphisme se dissimulait derrière ces gentilles remarques. Puis elle poursuivit en m’expliquant par le menu en quoi consistait un gangbang. Je n’ignorais rien de cette pratique, du moins en théorie. Elle semblait impressionnée par ma détermination à passer aux actes. Puis elle me demanda, d’un ton qui se voulait badin :
Tu es bisexuelle ?
A la vérité, je n’avais jamais, contrairement à certaines de mes amies qui s’y étaient essayées plus jeunes, pratiqué le saphisme, d’aucune façon que ce soit. Pour dire les choses plus clairement encore, je n’étais nullement attirée par les femmes.

Pourtant, je ne saurais encore aujourd’hui vous dire pourquoi, et n’ayant jamais éprouvé d’inclination vers le saphisme, je répondais :
Oui.
Mes deux amants n’eurent même pas l’air surpris. Après tout, je devais bien, à leurs yeux en tout cas, avoir tous les vices ! Ce n’était pas le cas. Mais pour des raisons qui m’échappent encore, j’éprouvais une certaine émotion à contempler le corps gracile, mais non dépourvu de courbes, de la blonde libertine.
Tu veux ton gangbang ?
Oui.
Bien. Alors suis-moi.

Vers les alcôves

Laura prit donc la tête d’une véritable petite foule. Je la suivais de près, ainsi que son mari, Paul et Alex, mais aussi une bonne quinzaine d’hommes qui avaient patienté jusque là. Elle nous conduisit vers une assez grande pièce, dans laquelle trônait un lit. Il s’agissait plutôt d’une sorte de banquette, mais qui, je n’en doutais pas, pouvait bien accueillir une dizaine de partouzeurs et partouzeuses. Elle a disposé nos deux serviettes dessus. Puis elle m’a retiré, un grand sourire aux lèvres, mon paréo. Je me trouvais donc nue, devant une petite vingtaine d’hommes, dont les érections de certains débordaient désormais de leurs serviettes. Elle m’a déposé un petit baiser sur les lèvres, puis s’est penchée vers ma poitrine. D’un geste doux, elle a caressé mes seins, puis les a pris en bouche.

Si je ne suis pas spécialement attirée par le saphisme, j’aime, en tout état de cause, donner du plaisir. Et je sentais bien que Laura en éprouvait un grand à sucer mes tétons. Alors, à mon tour, j’ai retiré son paréo, dévoilant un corps qui me laissa stupéfaite d’admiration. Puis, elle s’est lovée contre moi. La vue de nos deux corps de femmes enlacés provoqua un murmure dans toute l’alcôve. Je le sais désormais : le saphisme tient un rôle important dans les relations de libertinage, notamment dans l’échangisme. Il favorise la rencontre entre les couples, car ce sont souvent les femmes qui se draguent l’une l’autre. Mais le saphisme s’avère également un puissant aphrodisiaque chez bien des hommes. C’était le cas ici.

Initiation au saphisme

Devant tous ces hommes, Laura me fit m’allonger, le corps sur la banquette, les jambes basculant vers le sol. Elle s’est agenouillée, puis elle a commencé à me lécher. Certaines femmes libertines m’ont dit, ces derniers temps, que j’étais une bisexuelle passive. Ce n’est pas tout à fait vrai. Si le saphisme, je le répète, ne constitue pas mon principal fantasme, j’aime tellement rendre le plaisir qu’on me donne que je participe toujours. Aussi me suis-je arrangée, cette nuit-là, pour que nous nous installions tête-bêche, en 69. Alex m’a raconté par la suite quel spectacle c’était.



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Et pour parler de spectacle, quel fut celui auquel j’allais assister. Alors que je tournais ma langue du mieux que je le pouvais sur le clitoris de Laura, je vis un phallus large, long et veiné s’approcher de sa vulve. Et la pénétrer. Le mari de la libertine venait de donner le coup d’envoi du gangbang. Quelques contorsions plus tard, je me retrouvais avec ses testicules dans la bouche. Et le vagin pris par un sexe inconnu. Paul s’est penché vers moi et m’a dit :
T’inquiètes pas, il a une capote.
Je ne m’étais même pas posé la question, toute occupée que j’étais à apprécier la caresse buccale sur mon sexe de l’amatrice de saphisme. Laura s’y prenait divinement bien. Bien mieux que tous les hommes que j’avais connus jusque là.

Du saphisme au gangbang

Mais, sous la pression des mâles en rut excités par nos jeux lesbiens, nos deux corps se séparèrent. C’en était fini de mon initiation au saphisme. Ma découverte du gangbang pouvait commencer.

Ce fut le mari de Laura qui me pénétra ensuite. Comme je l’ai dit précédemment, il était particulièrement bien doté par la nature, de sorte qu’il frappait le fond de mon vagin, tandis que je suçais deux pénis anonymes. Laura, quant à elle, se trouvait investie par Paul, alors même qu’elle avait pris Alex au fond de sa gorge. Les hommes s’enchaînèrent en moi. Ils se relayaient comme s’il n’avait pas fallu laisser mon sexe se reposer une seconde. De la levrette, je suis passée au missionnaire. Un vieil homme, plutôt beau, l’air gentil, me pénétrait tandis qu’une armée de mains et de membres virils courait sur tout mon corps, jusque dans ma bouche. Tout à coup, le retraité se raidit. Tout en éjaculant dans le préservatif, il hurla :
Tu es belle, putain ! Qu’est-ce que tu es belle !

Des flots de sperme

Il retomba sur moi, de tout son poids. Je me sentais bien. Déjà, un autre type tentait d’investir mon sexe. Le vieux parvint à se relever juste à temps pour éviter un flot se sperme qui me recouvrit les seins. Une autre éjaculation suivit, qui macula mon ventre.

Bientôt, j’allais avoir le visage couvert de sperme chaud. D’habitude, je n’aurais pas apprécié ce traitement. Mais là, je le vivais comme un hommage que me faisaient ces hommes après m’avoir prise par la bouche ou le sexe. Je ne sais dire combien d’hommes ont joui sur moi ce soir-là. Ni combien m’ont pénétrée ou encore combien j’ai pris en bouche. Ce que je sais, en revanche, c’est que, quand tous ces messieurs avaient rendu les armes, je n’avais pas encore eu de véritable orgasme. Alors, la peau couverte comme la mienne de dizaines d’éjaculations, Laura s’est approchée de moi. Elle m’a embrassée sur la bouche. Puis, d’une simple caresse sur mon clitoris, elle m’a arraché un cri puissant, un cri de jouissance enfin délivrée, dont je ne suis pas prête d’oublier l’intensité. Le saphisme a ceci de supérieur à l’hétérosexualité : les femmes connaissent les femmes, et leur plaisir.

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