exhibition de 2 couples au sexshop et au café

Après cette première escapade libertine sur un parking de routiers, nous avons retrouvé de nombreuses fois Valérie et Patrick, cet incroyable couple mélangiste exhibitionniste. Le plus souvent, les deux coquins nous proposaient des délires érotiques dans la nature. Mais, cette fois, Patrick avait repéré un sexshop de quartier dans lequel ces dames pourraient s’amuser à affoler le chaland.

Nous voilà donc partis tous les quatre dans la grande berline de Patrick. Celui-ci est tout émoustillé et pelote la cuisse de ma chérie à l’avant de la voiture. Valérie, quant à elle, aime bien ma façon de rouler des pelles. Elle passe tout le trajet à m’embrasser à pleine bouche, tout en caressant ma bite à travers le tissu de mon pantalon. J’ai d’autant plus la gaule que je joue avec ses deux gros seins lourds.

Mais nous parvenons à destination, sans encombres, malgré la conduite plutôt erratique du libertin, plus concentré sur le peau douce de ma femme que sur la route. Nous descendons de la voiture. Nos deux femmes sont vêtues de manière plutôt sexy, mais sans plus. En réalité, leurs tenues sont pensées pour l’exhib : elles peuvent à tout moment retirer qui un haut qui dissimule des seins nus, qui une jupe qui cache un string provocant en diable.

Deux couples dans un sexshop

Valérie pousse la porte. Elle est déçue. Elle devait s’attendre à un magasin plein à craquer. Il ne se trouve là qu’un petit papy qui consulte mollement une pile de DVD de la collection « jeunes étudiantes en chaleur ». Pour moi, la surprise est bonne. La boutique est tenue effectivement par une étudiante, qui a adopté un dress-code plutôt coquin. Cette petite rousse menue et fine porte un microscopique top blanc qui laisse deviner ses tétons nus et une jupe dévoilant tout de cuisses musclées et sportives. Elle nous accueille avec un grand sourire.

« Si je peux vous renseigner, n’hésitez pas ! » nous lance la rouquine, le regard amusé. « Nous cherchons des nouveautés en matière de sextoys » répond Valérie, qui tombe le gilet. Ces deux gros seins en poires jaillissent d’un soutien-gorge ajouré, provocant la surprise de chacun d’entre nous. Le papy, lui, a les yeux qui lui sortent de la tête. Elle est plus que nue, et se laisse entraîner par la petite vendeuse au rayon « jouets pour adultes ». Et tandis que l’étudiante nous explique sans pudeur les différentes caractéristiques des nouveautés, la libertine exhib joue avec la jupe de ma femme, dévoilant son beau cul rond, mis en valeur par un string parfaitement conçu.

Sexshop : lieu d’exhibition

L’étudiante rousse ne se laisse pas perturber. Au contraire, elle fait des compliments aux deux libertines sur leurs dessous : le soutif qui montre les seins, le string qui valorise les fesses, elle adore ! Et elle a même quelques propositions à faire à ces dames, si celles-ci en ont fini avec les sextoys. Qu’à cela ne tienne. Voici nos trois gourgandines en train d’admirer les tenues les plus provocatrices qui soient, sous l’œil éberlué de notre papy pervers. Une fois une sélection de dessous libertins opérée, la vendeuse indique : « les cabines d’essayage, c’est par ici ! ».

Bien entendu, Valérie convie ma femme à partager la même cabine d’essayage, dont les deux nanas exhibitionnistes laissent le rideau largement entrouvert, de sorte que papy puisse se rincer l’œil. Et ça y va ! Ici, je frôle ton téton du bout des lèvres, là, ma main passe langoureusement entre tes cuisses : « la cabine est étroite » ! Tu parles ! S’il n’était pas aussi timide, le papy serait déjà en train de se palucher devant le spectacle lesbien amateur de ma femme et de mon amante. Et comme si ça ne suffisait pas, l’étudiante vient leur proposer de nouvelles idées, ouvrant encore un peu plus le rideau.

Jouir dans un café

A ce stade, je pourrais vous inventer une histoire qui se termine en trio de lesbiennes au milieu du sexshop. Libre à vous de vous la raconter dans votre tête. Mais en réalité, les trois filles se sont un peu tripotées, et nous en sommes restés là. Nous ne trouvions pas dans un club échangiste, après tout. La vendeuse a du s’en retourner à ses clients, non sans nous avoir laissé un numéro de téléphone. Alors, nous avons décidé d’aller boire un verre dans un café du quartier. Je ne vous dis pas l’état d’excitation dans lequel nous nous trouvions, tous les quatre. Certes, les deux femmes avaient eu chacune leur petit orgasme dans la cabine du sexshop, mais elles restaient en grande forme, si j’ose dire. Et nous, les mecs, je ne vous en parle même pas.

Ainsi, nous nous installons sur une table un peu à l’écart, au fond du café. Et les femmes entreprennent de nous soulager un peu. Ma chérie fait jouir rapidement Patrick entre ses doigts. Quant à moi, c’est un peu plus compliqué. A chaque fois que je suis prêt à venir, la serveuse passe et Valérie interrompt le mouvement. Comme si ça ne suffisait pas, ma femme s’approche, me donne son sein à sucer et me caresse les testicules, sachant parfaitement que ça peut m’aider à jouir.

Et là encore, la serveuse se pointe. Stop ! Il faut tout cacher. Et reprendre dès qu’elle s’en va. Ce petit jeu va durer comme ça près d’une heure. L’exhibitionnisme laisse des souvenirs impérissables.