différentes expériences libertines à Paris

On le sait (voir les épisodes précédents), Audrey et Seb ont découvert le libertinage à Paris, avant de partir s’installer dans le Grand-Est, leur région d’origine. Mais leurs premiers pas échangistes dans la capitale ont été l’occasion de faire de nombreuses expériences libertines, que nous raconte ici Seb.

=> lire l’aventure précédente d’Audrey & Seb
=> tous les récits libertins d’Audrey & Seb

Toujours installés en région parisienne, pour quelques mois encore, nous avions décidé de profiter de la ville-lumière pour approfondir (sans jeu de mots) nos premières aventures échangistes. D’un côté, nous continuions à fréquenter Lara et Emile, de l’autre, nous visitions différents clubs échangistes de la capitale, avec toujours en tête l’idée de trouver notre licorne libertine. Dans le même temps, nous nous étions inscrits sur différents sites de rencontres coquines, sans toutefois trop y croire. Qui n’a jamais essayé – surtout dans ces années-là – les « tchats » échangistes et libertins ne peut pas savoir à quel point les mythomanes de tout poil rendent les choses particulièrement pénibles.

Expériences libertines au Quai 17

Il n’en reste pas moins que c’est dans cette période de quelques mois, qui a précédé notre départ pour « la province » que nous avons vécus quelques-unes de nos plus marquantes expériences libertines. Par laquelle de ces aventures très coquines vais-je commencer ? Allez, je vais me laisser tenter par celles (oui, j’ai utilisé un pluriel) qui nous sont arrivées lors d’une sortie au Quai 17, un célèbre club libertin de Paris. Comme à notre habitude, nous sommes arrivés assez tôt. Cela nous permet de découvrir les lieux. Et de voir arriver les différents convives. Mes souvenirs des lieux en eux-mêmes ont un peu disparu, je le dois l’avouer. Je me souviens d’un établissement bien tenu, sans beaucoup plus de précision.



vidéo-reportages sur le libertinage

Nous avons donc vu les couples arriver. La clientèle était plutôt jeune, constituée en grande partie de trentenaires, et même de quelques vingtenaires. Dans un premier temps, il nous a semblé que tout le monde se connaissait déjà plus ou moins. Et il est vrai que le Quai 17 bénéficie d’un public d’habitués assez conséquent. J’utilise le verbe « bénéficier » sans trop savoir pourquoi. En effet, quand un club échangiste s’appuie trop sur ses habitués, il a parfois du mal à trouver une nouvelle clientèle. Même en matière de libertinage, l’esprit de groupe ne favorise pas spécialement l’ouverture à l’autre, et aux nouveaux venus. Nous sommes donc restés ainsi, pendant quelques dizaines de minutes, à siroter notre verre sur un canapé situé non loin du dancefloor.

Découverte d’un club échangiste

Sur la piste s’ébrouaient quelques couples. A vrai dire, il s’agissait surtout d’assez jeunes coquines, qui nous semblaient plus prêtes à s’exhiber ainsi qu’à vraiment passer aux choses sérieuses. Alors, nous avons décidé de nous lever, et de refaire un tour du club. Par une porte, on pouvait accéder à une espèce de cinéma porno : se trouvaient là quelques hommes célibataires dans l’attente d’une libertine un peu téméraire. En vain, manifestement. Puis j’ai voulu prendre une autre porte. Là, un employé de sécurité m’a stoppé net. « Ici, c’est réservé aux couples, monsieur ». Voyant arriver Audrey à ma suite, le type s’est déridé. Dans un sourire et un geste amical de la main, il m’a fait signe de passer.

C’était donc là que les vraies choses coquines se passaient. Nous nous trouvions effectivement à une bonne dizaine de couples. Tous se frottaient les uns aux autres dans une sorte de couloir qui distribuait plusieurs alcôves. Alors que je m’engageais dans l’une d’entre elles, déjà occupée par un couple maghrébin très séduisant. Audrey, à son tour, m’arrêta. Ma chérie avait déjà entrepris des caresses plus poussées avec une petite brune aux airs de gitane et son mec, lui aussi sans doute d’origine tsigane. La nana me souriait quand son homme se mit à embrasser ma femme, les mains sur ses deux beaux seins. Nous les imitions. La gitane (appelons-la ainsi, je n’ai jamais su son prénom) porta directement ses doigts jusqu’à ma braguette. Quant à moi, je caressais ses deux petits seins fermes, et un cul à l’avenant.

Caresses érotiques entre couples

En moins de temps qu’il ne fallut pour le dire, nous nous trouvions tous les quatre, debout au milieu du couloir, à nous embrasser et à nous masturber réciproquement. Les bites, branlées par les femmes, sortaient des braguettes, les seins débordaient des soutiens-gorge pour se trouver dans les bouches des messieurs, dont les mains filaient sous les jupes des dames. Nous en étions là quand une autre main s’empara de ma queue. Il s’agissait de la beurette (là aussi, je l’appellerai comme ça, ignorant son prénom) qui, sans crier gare, s’empara également de ma bouche pour me rouler une pelle. Son homme avait gobé l’autre sein d’Audrey, qui roucoulait de plaisir.

Mais nous ne devions pas rester longtemps à six dans ce couloir, à se peloter et à se faire du bien. Car un autre couple arriva, la quarantaine, qui se mêla à nos jeux érotiques. Puis un autre couple se joignit à nous, de sorte qu’Audrey et moi nous trouvions désormais séparés par une foule de corps libertins en émoi. Il faut nous comprendre : nous n’en étions qu’à nos premières expériences libertines, et nous nous étions fait la promesse de ne jamais nous séparer. Alors, nous nous sommes extirpés de la mêlée, pour aller voir plus loin.

Une libertine à l’aveugle

Nous nous retrouvions donc dans les parties communes du club, là où les hommes célibataires avaient droit de citer. Ce dont profitait allégrement un couple. Elle s’était allongée les yeux bandés, entièrement nue, sur une des nombreuses banquettes disposées là. Elle devait avoir 45 ans, peut-être 50, et une masse de types en rut l’entourait. C’était monsieur qui décidait de qui avait droit de toucher la belle aveuglée. Et même de qui avait le droit de la pénétrer. Il contrôlait le port de la capote. Il se montra surpris de nous voir approcher. Vérifiant l’accord de monsieur d’un regard échangé, Audrey caressa la poitrine généreuse de la libertine, tandis qu’un grand mec métis la faisait couiner du plaisir d’une pénétration. Le mari nous fit signe de ne pas parler. Je caressais à mon tour les seins de la jolie brune.

Audrey sortit à nouveau ma queue de sa braguette. Et la dirigea vers la bouche de l’inconnue, qui s’en empara. Le mari était aux anges. Et son épouse aussi, qui devait avoir compris que c’était une autre femme qui, désormais, jouait avec son clitoris. Elle eut un orgasme bruyant, qui contrastait avec le silence imposé à tous par son complice et mari. Sans dire mot, nous décidions d’aller voir plus loin, si d’autres expériences libertines nouvelles nous attendaient. La soirée a duré ainsi, à vrai dire toute la nuit. Nous picorions du plaisir d’un point à l’autre du club Quai 17. Je ne sais plus ni où, ni comment, ni même avec qui, nous avons fini par rendre les armes. Par contre, je me souviens que nous avons appelé cette façon de vivre une soirée en club : « la maraude ».

Autres expériences libertines nouvelles

Cette façon de vivre plusieurs expériences libertines, plutôt mélangistes, nous l’avons conservée au fil des années. Nous n’agissons pas toujours de la sorte, mais de temps à autre, quand c’est l’envie du jour. Il n’en est bien sûr pas de même lors de rencontres privées, entre deux couples. Et c’est l’histoire suivante que je voulais vous raconter ici. Celle-ci se déroule donc à la même période, lors de nos dernières semaines à Paris. Et résulte de nos recherches sur internet.

échangisme en France
vidéo-reportage XXX

Ils avaient 20 ans de plus que nous, et étaient arrivés chez nous en moto, un soir de pluie. Trempés jusqu’à l’os, ils nous ont demandé s’ils pouvaient se mettre à l’aise. Ils se sont donc mis en sous-vêtement. Comme ça, sans presque prévenir. Et Chantal en soutif, je peux vous dire que ça vaut le détour ! Une belle blonde, avec d’énormes nichons (je saurai plus tard qu’elle avait subi, quelques années auparavant, une réduction mammaire !) qui débordaient presque du soutien-gorge. Thierry, quant à lui, ne pouvait cacher le gourdin que dissimulait mal son caleçon, et l’érection déjà bien avancée que lui suscitait la situation pas banale.

Leçon de branlette espagnole

Quand je repense à nos différentes expériences libertines, je me souviens très souvent de ce moment suspendu, nous encore habillés, eux à moitié nus, nous racontant par le menu leurs vies libertines respectives (ils étaient tous les deux divorcés, chacun de leur côté). Autant vous dire que cela n’a pas duré très longtemps. Nous avons rejoint notre lit pour une partie de jambes en l’air qui, elle aussi, mérité d’être racontée. Comment vous décrire avec précision la leçon de branlette espagnole prodiguée sur ma queue par Chantal à Audrey, qui l’imitait sur le sexe de Thierry ? Difficile. A notre grand étonnement, ce couple expérimenté s’en tenait au mélangisme : pas de pénétration en dehors du couple. Mais les caresses digitales et buccales que nous nous sommes prodigués ce soir-là s’avérèrent plus poussées et plus cochonnes que bien des coïts.

Finalement, Thierry entreprit sa compagne en levrette, au dessus du corps offert d’Audrey, que je baisais également. Cette double étreinte, avec les deux femmes entremêlées, constitue sans conteste l’un de nos meilleurs souvenirs de sexe en groupe. Pour Audrey comme pour moi. Les deux libertines se léchaient l’une l’autre, parvenant de temps en temps à saisir nos bites dans la bouche. Quant à moi, je pouvais me régaler des énormes seins de Chantal, qui ballottaient au rythme de la saillie de son homme. Pour revenir ensuite à ceux, à peine plus petits, de ma chérie. C’est au cours de cet ébat hautement érotique que nous avons été tous les deux convaincus des vertus du mélangisme.

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