séjour au Cap d’Agde (2) l’Extasia de Pinet

Après nous avoir fait visiter la célèbre Baie des Cochons, la plage libertine du Cap d’Agde, Alexia nous emmène un samedi soir à Pinet. Situé non loin du fameux quartier naturiste où se retrouvent libertines et échangistes épris de liberté, le club l’Extasia va être le théâtre d’une fabuleuse partouze.

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Tous les ans, lors de notre séjour au Cap d’Agde, Manu et moi nous rendons dans l’un des plus célèbres clubs échangistes de la région. Histoire de prendre l’air, de sortir un peu du village naturiste, véritable prison dorée pour tous les obsédés sexuels qui y résident. Direction Pinet, donc, à un quart d’heure de route environ du Cap d’Agde.

Le restaurant libertin de l’Extasia

Manu et moi avons réservé au restaurant libertin du club, réservation qui comprend l’accès à l’établissement. On y mange plutôt bien, pour pas si cher. Et si les spectacles érotiques n’ont pas grand chose de réellement affriolants pour les échangistes ici présents, c’est toujours l’occasion de faire connaissance avec un ou plusieurs autres couples. Ça tombe bien, le couple qui partage notre table s’avère plutôt sexy. Et coquin. Louisa porte sa cinquantaine de façon rayonnante. Un peu maigre à mon goût, elle exhibe pourtant un décolleté plutôt généreux sous le nez de Manu. Son compagnon, Francis, est un bel homme, la cinquantaine également. Ils nous demandent directement si nous ne nous trouvons pas un peu jeune pour eux. Non, pas du tout ! Bien au contraire !

clubs libertins

Le repas avance. On parle de notre passion commune pour la partouze. Eux résident au camping naturiste de Pinet, à deux pas. Au dessert, Francis s’inquiète de ma tenue en skaï. Suis-je une maîtresse dominatrice ? Non, qu’il se rassure. Pendant ce temps, je vois que madame n’a pas perdu de vue son objectif premier, elle qui est en train de masser la bosse qui s’est formée sous le pantalon de mon mec. Ses doigts à lui glissent sous sa jupe trop courte et je devine que ces deux-là sont déjà aux portes de l’extase. Le moment est donc venu de rejoindre le club. Louisa veut passer aux toilettes pour se rafraîchir un peu (tu parles !). Nous entrons donc seuls, Manu et moi, dans l’un des plus célèbres établissements libertins de France.

Le petit bois de Pinet

L’Extasia de Pinet présente la particularité de bénéficier à la fois d’un grand espace intérieur, comme dans beaucoup d’autres clubs, mais aussi d’un espace extérieur, surnommé le petit bois. C’est là que nous pénétrons, après avoir contourné la large piste de danse. Bientôt, nous arrivons à destination. Devant nous se dressent deux grandes tentes, de type militaire. L’une, éclairée de rouge, semble désertée. L’autre, plongée dans la pénombre, s’avère, au contraire, pleine comme un œuf. Impossible d’y faire un pas sans se faire peloter. Ici par deux grosses paluches masculines qui me caressent le cul, là par dix doigts féminins qui me titillent les tétons.

Impossible de discerner qui est qui dans ce magma humain. Mais c’est le jeu. Et je l’accepte, toute excitée d’être la cible de plusieurs pervers et perverses, dont l’une a englouti mon nichon gauche dans sa bouche gourmande. Je sens maintenant que c’est un monsieur bedonnant qui vient de coller sa grosse pine entre mes fesses et qui y coulisse, sans me pénétrer. La queue de Manu a, elle, trouvé deux bouches féminines qui se la partagent avec gloutonnerie. Nous nous laissons faire. Et participons. Les jeux de mains et de bouches, mélangistes à souhait, vont durer pendant une heure, pour autant que je puisse en juger.

L’Extasia de Pinet

Finalement, nous nous extirpons de la mêlée. A l’extérieur de la tente, quatre couples échangistes partouzent joyeusement, installés sur des canapés en forme de boite de camembert. Nous décidons de prendre le chemin de la partie en dur du club. A l’étage, seuls les couples sont autorisés. Ces dames se doivent de porter, tout au plus, une jupe. Je dis « tout au plus », parce que c’est le cul nu que nous retrouvons Louisa, en train de lécher goulûment une jeune nana blonde et un peu ronde. Le mec de celui-ci baise notre amie en levrette, tandis que la jeune plante gironde suce la belle teub de Francis.

Nous les observons un moment. Jusqu’à ce que Louisa nous remarque. Sans demander leur avis à la gourgandine et à son plus âgé amant, elle nous propose de les rejoindre. D’un coup d’œil, nous comprenons que nous sommes les bienvenus. Bien sûr, je voudrais vous raconter cette partouze dans les alcôves de Pinet. Mais il me faudrait pour cela plusieurs chapitres. En effet, d’une orgie à trois couples échangistes, nous sommes passés à huit participants. Puis de nouveau à six, puis à dix, douze… A vrai dire, je ne sais ni combien d’hommes m’ont pénétrée ce soir-là (avec capote !). Ni combien de paires de seins j’ai embrassées.

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