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Julie est une femme célibataire, plutôt prude. Pourtant, depuis quelques temps, elle fait des rêves érotiques qui l’obsèdent. Elle décide de rencontrer un couple libertin dont la femme serait bisexuelle comme elle.

Malheureusement pour moi, j’ai été élevée par des parents très puritains, qui m’ont donné une image assez sordide de la sexualité. Autant vous dire, dès lors, que ma vie sexuelle d’adolescente, puis d’adulte, s’est limitée à quelques relations d’abord sentimentales, pour ne pas dire sociales, et quelques expériences érotiques pas franchement concluantes. Ainsi, j’ai vécu en couple quatre longues années avec un certain Christophe, un jeune homme bien propre sur lui et qui ne faisait guère d’étincelles au lit, c’est le moins qu’on puisse en dire.

Toujours est-il que Christophe m’a quittée, prétextant notamment ma faible appétence pour les choses de l’amour. Comme l’aurait dit ma mère quand j’étais petite, c’était un peu l’hôpital qui se foutait de la charité. Quand on n’est pas soi-même fichu de satisfaire sexuellement sa compagne, on évite d’aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Je ne vais pas me plaindre plus avant : cette rupture fut sans doute la meilleure chose qui m’arriva dans ma vie. Et dans ma vie sexuelle notamment.

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Les fantasmes d’une femme célibataire

Quoi qu’il en soit, tout s’est passé comme si mon célibat avait bousculé en moi des fantasmes enfouis. Plusieurs matins de suite, je me suis réveillée moite de sueur, l’entre-jambes humide et la libido en feu. Et toujours les mêmes images affreusement érotiques dans la tête : moi en train d’embrasser une autre femme, de la caresser et même de la lécher. Pensez, quand on a reçu une éducation comme la mienne, comme cela peut être choquant. Et comme si cela ne suffisait pas, ces images comportaient invariablement un pénis aussi turgescent qu’incongru.

Cela a duré une semaine, puis deux. Chaque matin me trouvait trempée d’excitation. Et chaque journée, je regardais les poitrines de mes collègues pour tenter de deviner laquelle avait pu déclencher en moi une telle fascination pour les gros seins. Car, dans mon rêve, mon amante sans visage était dotée d’un buste aussi impressionnant que, pour une sainte-nitouche comme je l’étais, menaçant. Il me fallait me rendre à l’évidence, à la réalité la plus crue : j’avais des penchants bisexuels.

D’abord, je suis allée à l’église, où je n’ai trouvé aucun salut. Puis, chez un marchand de journaux loin de chez moi, où je me suis procuré un magazine spécialisé dans les femmes à fortes poitrines. Dire que je me suis masturbée longuement devant ces femmes nues exhibant de gros seins ? Oui. Mais cela ne m’a pas satisfaite. Alors, me suis-je dit : « je suis célibataire. Je ne dois de comptes à personne. Essayons ».

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N’écoutant que mon courage, et reléguant aux enfers mon éducation pudibonde, je me suis inscrite sur un site de rencontres échangistes. J’ai posté une photo de ma silhouette, sans visage, de peur, bien entendu, que quelqu’un me reconnaisse. Puis, j’ai rédigé mon profil ainsi : « jeune femme de 28 ans, grande, cheveux longs et noirs, filiforme, complexée par une poitrine menue, pas encore libertine, recherche pour expérience de bisexualité féminine un couple bien sous tout rapport ». Et j’ai validé.

Que n’avais-je pas déclenché là ? Une foule de profils se sont connectés au mien : « comment va tu ? », « koi 2 9 ? », « tu t’apl coment ? » (les fautes de syntaxe sont volontaires, à cet instant précis du récit). J’ai cru devoir fermer le site avant de comprendre que je pouvais d’ores et déjà empêcher les hommes célibataires de me contacter. Cette manœuvre ne m’a permis que de limiter le nombre de contacts. De nombreux couples libertins cherchent une relation avec une femme célibataire bisexuelle. Je ne l’ai appris que plus tard.

Au bout de quelques dizaines de minutes employées à trier les profils intéressants et les autres, je remarque un message mieux orthographié que les autres : « Bonjour, comment allez-vous ? Nous sommes Sabine et Léonard, 27 et 28 ans. Votre profil nous intéresse. Seriez-vous, par bonheur, intéressée par le nôtre ? ». Je jetais un coup d’œil rapide au profil en question. Elle est blonde, petite, à forte poitrine. Tout l’inverse de moi. Il est grand, assez mince et athlétique. Elle se déclare bisexuelle. Je ne vois pas pourquoi je perdrais du temps. Et si on organisait une rencontre ? On fixe une date et une heure : vendredi, 20 heures, chez eux.

Rencontre avec un vrai couple libertin

Vendredi arrive. Mon impatience cède la place au trac. Je sonne. C’est elle qui vient ouvrir. Elle est vêtue d’une robe blanche qui moule ses formes généreuses à la perfection. C’est proprement indécent. Et ça me plaît beaucoup. Lui, il est au fourneau. Il vient tout de même me saluer, habillé simplement en jean et T-shirt : « pardon pour la tenue. Quand je cuisine, je préfère me mettre à l’aise. Mais j’irai me changer dès que tout sera prêt, si tu veux ». Je me doute bien qu’il n’a pas très envie de sortir le costume du dimanche. Je lui souris : « non, non, ça ira très bien ». Pour ma part, je porte une robe noire fuseau, dont tout le monde me dit qu’elle me fait un joli fessier.

Sabine me propose de m’asseoir sur le canapé. Elle me sert un verre, un autre pour lui et enfin un jus d’orange pour elle. « Je ne bois jamais d’alcool avant la gaudriole ». Je suis estomaquée par l’aplomb de cette femme à qui je présume que personne ne résiste. Elle n’est pas aussi jolie que je l’espérais, à vrai dire. Mais je la trouve terriblement désirable, « bandante », diraient certains. Elle s’installe à côté de moi. Je sens son parfum, je ressens sa chaleur. Je suis terriblement troublée.

Finalement, nous passons à table. Léonard a préparé un succulent plat de coquilles Saint-Jacques. Nous ne parlons d’échangisme, mais d’art, de littérature, de voyages. J’en arrive presque à oublier la raison de ma présence ici, tant la conversation ressemble à toutes celles que j’ai pu connaître lors de dîners entre amis. Je finis par me résoudre à l’évidence. Je ne leur plais pas. Sans doute mes seins trop petits. Ils seront des amis, peut-être, mais cela s’arrêtera là.

On partage ma femme ?

Et puis, alors qu’il a débarrassé la table sans l’aide de sa chérie, elle me propose un dessert. Je refuse poliment. Elle insiste, un peu lourdement. « Tu devrais accepter », me dit-il dans un sourire. Qu’à cela ne tienne, j’accepte. Là, face à moi, la jolie blonde entreprend de descendre le haut de sa robe. Deux merveilles en jaillissent, prodigieuses. Elle n’a pas seulement de gros seins, ils sont absolument sublimes ! Je reste comme hypnotisée par l’incroyable spectacle de ses deux prodigieuses mamelles nourricières, ses deux aréoles, comme des yeux, qui me fixent érotiquement.

« On partage ? » me demande-t-il d’une voix coquine. Joignant le geste à la parole, il s’agenouille au pied de la chaise de sa femme et commence à sucer son téton gauche. Je le regarde faire un moment. Je suis humide d’excitation, pardonnez-moi de le dire ainsi. Puis, n’écoutant que mon courage et ma libido perverse, je décide de l’imiter. Je m’approche de ces deux fantastiques pommes d’une beauté indécente et, pour la première fois de mon existence, je prends le sein d’une femme en bouche.

Et c’est extraordinaire. Ses tétons pointent, que ma langue agace, tout en appréciant le satiné de la peau de son mamelon. Je suce, je lèche, tandis que Sabine se donne à moi, à nous. Sa tête bascule en arrière. Léonard prend ma main et la glisse sous la robe de sa femme. Mes doigts caressent ses cuisses et remontent petit à petit jusqu’à son sexe, qui s’avère aussi trempé que le mien. Je la masturbe, et je gobe autant que je le peux ce sein fascinant qu’elle me donne à sucer.

Je veux qu’il me baise

Désormais, son mari caresse mes petits tétons, puis me déshabille, tout en douceur. Maintenant, vingt doigts parcourent mon corps bouillant de désir, alors que je ne lâche pas le sein prodigieux. Il me touche à peine le clitoris, et je sens mon ventre s’allumer. Je jouis ! Je jouis comme jamais je n’ai joui, un sein de femme entre mes lèvres.

Puis je reviens à moi. Ils sont en train de se déshabiller entièrement. « Tu as encore envie ? » me demande-t-elle timidement. Je regarde le sexe de Léonard. Il est beau, raide, excitant. « Tu sais », ajoute-t-il, « c’est rare de trouver une libertine célibataire qui souhaite rencontrer un couple. On fera ce que tu voudras, à ton rythme ». Moi, je veux qu’il me baise. Et je veux lécher la chatte de cette créature de rêve tout en prenant sa superbe bite en moi. Ce sont ces mots crus qui me viennent à la bouche en guise de réponse : « je veux qu’il me baise pendant que je te lèche ».

Nous allons sur le canapé. Ou plutôt, Sabine s’y installe. Je suis à genoux devant elle et je plonge ma langue dans son vagin, je caresse son clitoris, tandis que son mari enfile un préservatif. Elle jouit. Et moi aussi, à nouveau. Je ne sais combien de temps durera cette étreinte à trois, mais je ne veux pas que ça s’arrête. Jamais.

=> la suite des aventures de Julie

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