gangbang dans les dunes de la Baie des Cochons
Sur la Baie des Cochons, au Cap d’Agde, la star, c’est la libertine gourmande. Celle qui apprécie la pluralité masculine. A l’instar de Manon, notre libertine candauliste, dont le mari Nathan nous raconte ici les exploits sur la plage naturiste.
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Il demeure néanmoins des lieux qui se prêtent plus que d’autres à des aventures érotiques hors-du-commun. Et s’il en est un parmi ceux-là, c’est vraiment la Baie des Cochons, au Cap d’Agde. Si la plage naturiste s’étend sur plusieurs kilomètres, il existe une partie de cette plage où se concentrent tous les libertins et libertines, nombreux, qui vivent une partie de leur été au Cap d’Agde.
La Baie des Cochons
Quand Manon et moi nous rendons au Cap d’Agde pour la journée et la soirée, nous commençons toujours par la Baie des Cochons. Il s’agit là d’une façon unique de profiter à la fois de la plage et de la mer, comme n’importe où ailleurs, mais aussi de la sexualité débridée et du libertinage qui ont cours ici. Dans ce coin de nature connu pour ces « singes » (les mecs en train de se branler en mattant les libertines), ma chérie peut laisser libre-cours à son exhibitionnisme.

Inutile de vous dire que son corps de déesse érotique fait des envieux. Et, comme vous le savez, Manon n’aime pas provoquer trop longtemps la frustration chez les hommes. Alors, quand un monsieur de la cinquantaine, sa bite moyenne à la main, s’approche d’elle en reluquant ostensiblement ses beaux seins, ma femme n’hésite pas à passer dessus des couches de crème solaire… et le plus langoureusement possible, s’il-vous-plaît ! Le quinquagénaire se branle. Elle l’allume comme la pire des dépravées. Quand il gicle finalement, laissant jaillir une éjac dans le sable chaud ; il lui dit : « merci ». Elle se contente d’un : « de rien ! ».
Voyeurs et libertines
La Baie des Cochons présente également la particularité d’attirer des voyeurs « textiles » qui viennent de la plage de Marseillan, non loin. Il n’est pas rare que quelques-uns d’entre eux rappliquent en slip de bain, que la communauté naturiste ne tarde pas à leur retirer, de gré ou de force. Là, ce sont trois jeunes hommes, la petite vingtaine, qui sont venus manifestement se rincer l’œil. Au moins jouent-ils le jeu : ils se sont déssapés. Et je vois dans le regard lubrique de ma chère et tendre qu’ils ne la laissent pas indifférente.
Il faut dire que les trois garçons sont « tracés », comme on dit. Et plutôt bien membrés, surtout l’un d’entre eux. Ils regardent, tentent de trouver des spectacles érotiques comme il s’en improvise régulièrement sur la Baie des Cochons. Manon m’adresse un clin d’œil. Quelle vicelarde ! Elle agrippe ma queue, qui durcit instantanément. Je ne résiste pas au désir de ma femme. Puis elle me suce, tendant son magnifique cul vers les trois lascars. Les gars restent là, fascinés par le spectacle. Pendant qu’elle me pompe, je les regarde moi aussi : ils bandent comme des ânes !
Manon s’en est bien sûr aperçue elle aussi. Je sais ce qu’elle veut. Je vais le lui offrir. Alors, je me lève sans chercher à dissimuler mon érection. Je vais à leur rencontre. Ils baissent les yeux. Ils ont sans doute peur que je les engueule de reluquer ma femme. « Salut les gars. Ça vous dirait d’aller faire un tour dans les dunes* avec ma femme ? ». Les deux premiers bredouillent. Le troisième, le mieux équipé des trois, répond, enthousiaste : « ah oui ! Avec plaisir ! ».
Gangbang dans les dunes
Ni une, ni deux, nous voilà tous les cinq partis vers les dunes, à l’arrière de la plage. Prévoyant, je prends la boite de capotes que nous avions apportée avec nous. Les trois jeunes hommes ne débandent pas. Quand nous arrivons enfin à l’abri des dunes de la Baie des Cochons, ils affichent une gaule qui me rappelle mes jeunes années. Manon se laisse peloter, me demande de m’allonger sur le sable. Là, elle se met à quatre pattes et recommence à me sucer. Ses fesses sont tendues vers les trois loustics, ainsi que vers un public de plus en plus nombreux de voyeurs. Je tends un préservatif vers les jeunes. Le mieux membré s’en saisit.
Il a vite fait d’enfiler la capote sur sa belle teub, puis d’enfiler ma femme. Tandis qu’il la baise en levrette, il lui saisit les seins, sous le regard médusé de ses deux complices. Mais, autour de nous, s’est formée comme une ronde. Ils doivent être vingt, peut-être trente, à regarder Manon me sucer en prenant une jeune bite en levrette. Et les commentaires s’avèrent élogieux : « quelle belle chienne ! une magnifique salope ! regarde-moi ses nibards splendides ! ». Elle entend. Et elle adore. Je le sais.
La belle salope de la Baie des Cochons
Finalement, c’est sous les applaudissements d’une quarantaine d’hommes et cinq ou six libertines que le jeune se libère et jouit dans la chatte de ma femme. Ils s’effondrent tous les deux sur le sable. Moi, je bande encore. Et je sais que Manon en veut encore. J’adresse un regard aux deux jeunes gars. Ils bandent encore, mais ils sont trop timides pour baiser devant une telle foule. Alors je repère un mec bien gaulé, et je lui tends l’étui d’une capote. A son tour, il va piner Manon tandis que celle-ci me suce comme une véritable experte. Puis c’est un autre mec, jeune lui-aussi, qui va baiser ma chérie sous les yeux de sa petite-amie à lui, qui m’offre ses seins à sucer.
Je jouis dans la bouche de Manon, qui avale tout. Un à un, je désigne les hommes qui vont avoir le droit de la prendre en levrette. Tout le monde reste bien sage, et aucun mec ne tente de s’incruster dans le gangbang. Ah si, un type tente sa chance sans mon autorisation. Mais se fait vite rabrouer par la foule mécontente. Je me suis relevé. J’admire ma salope qui prend un huitième homme en elle. Ils viennent vite. C’est la règle. Elle est superbe. Quel bonheur d’être le cocu d’une si belle salope.