gangbangueuse : une femme à hommes

Décidément, les libertines ont du talent ! J’en veux pour preuve les nombreux textes érotiques que nous recevons de votre part, mesdames. Aujourd’hui, c’est Rachel, une coquine qui se définit comme une gangbangueuse, qui nous explique les débuts d’une femme à hommes dans le milieu libertin. A suivre.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours préféré la compagnie des hommes à celle des autres femmes. Petite déjà, j’aimais jouer au docteur avec les garçons. Plus grande, étudiante, je sautais d’un amant à l’autre avec une gourmandise qui ne s’est jamais démentie. Et depuis que je suis mariée à l’homme de ma vie, je ne me suis pas calmée. Je suis toujours une femme à hommes, une dévoreuse de mâles, toujours en quête de nouvelles bites, de nouveaux corps de mecs pour assouvir ma libido insatiable. Qu’on se rassure, mon mari est parfaitement au courant de ma passion pour les hommes. Il a épousé une femme chaude, et il l’accepte. Mieux, il participe ! Lui et moi formons un couple libertin. Nous allons régulièrement dans les clubs à partouze, mais aussi dans les parkings louches qui accueillent des couples avides de dogging. Et mon homme me prête à d’autres hommes.

Celle qui aimait les hommes

Femme à hommes j’ai toujours été, gangbangueuse invétérée je suis devenue, sous la férule d’un mari candauliste qui n’aime rien tant que de me voir prendre mon pied dans les bras d’autres mâles, pinées par d’autres bites, couverte de sperme par d’autres baiseurs que lui-même. J’ai aujourd’hui cinquante-cinq ans. L’âge de faire un premier bilan de ma vie, et de ma vie sexuelle, puisque c’est, de loin, ce que je préfère parmi tant d’autres choses. Je ne passe pas mon existence à baiser. Non. Mais j’y pense presque constamment. Au boulot, dans mes loisirs et même quand je dors, je pense au sexe. Et au sexe des hommes en particulier. Bien sûr, j’ai déjà eu quelques expériences libertines avec d’autres femmes. Et ça ne m’a pas déplu, loin de là. Mais il n’y a rien à faire : je suis une femme à hommes comme certains sont des hommes à femmes. J’adore les bites : leur raideur, leur rigidité. J’aime toutes les bites.

Certaines libertines – dont quelques copines, partouzeuses comme moi – fantasment sur les gros vits, les membres de plus de 20 centimètres, les queues très épaisses ou celles qui tapent bien au fond. Moi non. J’aime les petites zézettes et les gros mandrins, les belles queues bien longues et les engins plus courts, j’aime quand elles déchargent dans ma bouche, sur mon visage ou sur mes seins. J’aime sentir le foutre chaud sur ma peau. J’ai été jolie. Les années passant, je le suis un peu moins. Mais, à en croire les bousculades d’hommes que je provoque en arrivant dans quelque lieu libertin que ce soit, je plais toujours. Je suis plutôt petite, brune avec les cheveux légèrement bouclés, ronde mais pas trop. Quelques kilos en trop sans doute, mais qui me font une poitrine généreuse et un beau boule rebondi.

Femme à hommes et gangbangueuse

Je pense que les mecs ne s’y trompent pas. Ils me voient débarquer, ils sentent la femme avide, la dévoreuse de bites, la mangeuse de mâles que je suis. Les jeunes, les vieux, ils veulent tous me baiser et j’adore sentir leur désir. Dans leurs yeux, sur leurs lèvres et bien sûr à la rigidité de leurs queues. L’histoire que je vais vous conter à travers les chapitres qui suivront cette introduction est une histoire vraie. C’est mon histoire. Celle d’une femme éprise de sexe, une gangbangueuse comme on dit aujourd’hui, une partouzeuse, qui est tout sauf une victime. Car les hommes m’utilisent, c’est vrai. Comme un fantasme vivant pour certains, comme un vide-couilles pour d’autres. J’en ai conscience. Mais, rassurez-vous, moi aussi je sais utiliser les mâles comme des jouets sexuels. Cela ne veut pas dire que je ne les respecte pas. Cela veut juste dire que nous nous échangeons nos corps, le temps d’un moment de plaisir. Entre adultes consentants.

reportage porno

Je me suis mariée à vingt-cinq ans. Nous avons donc passé, avec mon mari, six ans à vivre une vie sexuelle à peu près comme celle de tous les couples mariés. Fidèle, je l’étais, même si je fantasmais déjà sur des saillies brutales, attachée, ligotée et baisée à la chaîne par des dizaines de queues anonymes, toutes différentes, le plus souvent irrespectueuses de ma volonté. Ce n’est donc qu’au bout de six ans que nous avons décidé de vivre notre première expérience échangiste. A l’époque, les clubs libertins n’avaient pas la même image qu’aujourd’hui. A l’heure actuelle, bien des couples ont essayé au moins une fois, juste pour voir, une première expérience échangiste.

Femme à hommes, forcément libertine

Mais, à cette période, il fallait une certaine forme de courage pour se lancer, quand tout le monde vous expliquait – sans en savoir quoi que ce soit – que l’univers du libertinage était glauque et malsain. Pour cette première expérience échangiste, nous nous sommes décidés pour Le Prélude, un club qui se trouvait pas très loin de chez nous, à Paris. Y était organisées des soirées pour débutants, idéales dans notre cas. J’ai choisi pour l’occasion une robe coquine, mais pas trop, sans mettre aucun sous-vêtement. Il me faut préciser qu’à l’époque, mes seins tenaient tout seuls.

Une fois sur place, nous avons visité les lieux, qui me semblaient bien plus vastes que dans mon imagination. Après une longue soirée à se tourner autour, nous nous sommes finalement isolés avec un autre couple, dont c’était également la première expérience échangiste. « Isolés » est un bien grand mot, puisque le seul coin encore disponible était une sorte de canapé, coupé de l’extérieur par une simple vitre et éclairé d’une lumière d’un rouge cru, qui laissait tout loisir à quiconque de venir nous mater. Tous les quatre, nous étions sans doute les plus jeunes des clients du club, ce soir là. Ce qui nous valut, à Susanne et à moi, les attentions des très nombreux hommes célibataires en quête de proies faciles.

Une première expérience échangiste

Susanne était une grande femme, aux longs cheveux roux, à l’allure athlétique, aux épaules carrées. Elle n’était pas très belle de visage, des lunettes affreuses gâchant les quelques charmes de sa frimousse au demeurant sympathique. Mais elle avait un corps qui, tout entier, invitait au sexe. De lourds nichons surplombaient sa taille de guêpe, qui s’ouvrait ensuite sur un cul rond et ferme lui donnant des allures d’amazone. Ce soir là, donc, j’ai pris un plaisir incroyable à sentir la bonne queue de son mari, Daniel, me défoncer en levrette, tandis que je reluquais Susanne qui chevauchait, telle une walkyrie, mon cher mari. Celui-ci avait une vue imprenable sur les deux gros globes laiteux de la rouquine, qui balançaient avec impudeur au dessus de son visage.

De l’autre côté de la cloison en verre, des dizaines d’hommes, mais aussi quelques couples, se pressaient pour ne rien rater du spectacle de notre partouze, de nos quatre corps agités de spasmes et mêlés les uns aux autres dans une orgie d’une pornographie sans égale. Quelques-uns des mateurs se branlaient, collaient leurs bites à la vitre et, tandis que Daniel me ramonait comme un beau diable, je matais ses queues tendues vers moi, avec une insatiable envie de les toucher, de sucer chacune d’entre elles, d’être traitée comme la dernière des catins, toute prête à faire jouir chaque membre de ce public improvisé.

Susanne n’aimait pas le sperme. Alors, à la fin de cette première expérience échangiste, ce sont les deux mecs – Daniel et mon mari – que j’ai eu le plaisir de recevoir entre mes seins. Tout deux ont déchargé de longs jets de foutre sur mes nibards, qui ont fini englués par toute cette semence. C’était magique. Mais, déjà, j’en voulais plus.

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