invitation échangiste et douche collective (3)

Alexia nous gâte. Avec cette longue histoire vécue d’échangisme et de douche collective, la coquine nous offre un long texte gratuit aussi excitant que motivant.

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Ce week-end, pas très envie de sortir… Le bruit des clubs échangistes et le boum-boum de la musique, bof. L’humidité d’un sauna, pas d’humeur. Et pourtant, l’envie de « coquiner » se faisait sentir. Après une semaine de boulot stressante, on avait bien mérité un peu de détente. Nous avons donc décidé de faire un tour sur notre tchat libertin préféré pour voir si un gentil couple un peu marrant aurait envie de venir prendre l’apéro et plus si affinités. Après avoir éconduit quelques hommes seuls (pas envie d’un trio ce week-end), nous avons jeté notre dévolu sur un jeune couple qui semblait parfaitement à notre goût. Lui, beau métis sculpté au millimètre, elle jolie blondinette assez fine.

Drague échangiste avec un couple mûr

Hélas ! Au bout de quelques échanges, ponctués d’une demi-douzaine de fautes d’orthographe (par mot !), la discussion tourna court : ils semblaient ne vraiment pas savoir ce qu’ils voulaient… Pire, ils ne savaient même pas savoir ce qu’ils ne voulaient pas. Dans l’intervalle, nous avions été contactés par un autre couple, lui 56 ans, elle 52, à qui nous avions répondu plus par politesse qu’autre chose. Je n’éprouve aucune attirance pour les hommes mûrs et même si Manu n’a rien contre les femmes d’un certain âge, nous limitons notre recherche aux moins de 45 ans.

Malgré tout, nous avons échangé quelques photos et vraiment, monsieur ne me plaisait pas du tout physiquement. Manu, lui, était intéressé par la poitrine plus qu’opulente de la dame. Quoi qu’il en soit, j’affranchissais très vite le couple sur nos intentions, en l’occurrence sur le fait que nous n’en avions aucune à leur égard. Qu’à cela ne tienne, le monsieur, Gérard, n’en prit pas ombrage et répondit avec beaucoup d’humour. Un dialogue très sympathique s’en suivit. On parlait des rencontres les plus étranges que nous avions faites dans les clubs, de notre boulot, de politique, d’arts, de la pluie et du beau temps… Gérard avait, je l’avoue, quelque chose de charmant. Le verbe facile, la plume aiguisée, un côté pince-sans-rire qui transparaissait de cette conversation numérique et qui le rendait, finalement, assez séduisant. De son côté, Manu insistait sur son envie de goûter les belles mamelles de Chantal, la dame.

Invitation échangiste à domicile

J’avais de plus en plus envie de me laisser tenter. « On leur propose de venir boire l’apéro samedi soir, s’ils sont ok, ça marche, sinon, tant pis pour eux » proposa Manu. Il adorait mettre nos rencontres libertines sous le signe du hasard. Banco ! Je proposais donc à nos interlocuteurs le fameux rendez-vous. Gérard se montra surpris de l’invitation. Je lui avais bien fait comprendre qu’il y avait incompatibilité physique. Je ne sus quoi répondre. Manu s’empara du clavier : « ta conversation fait mouiller ma chérie. Que veux-tu : c’est une cérébrale » indiqua-t-il. J’étais morte de honte et morte de rire (MDR, pour reprendre l’expression numérique consacrée) à la fois.

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L’invitation fut acceptée. Quand nous recevons, nous aimons mettre les petits plats dans les grands, y mettre un peu les formes. Le champagne est au frais, les toasts faits maison par Manu sont prêts, la chaîne hi-fi joue des classiques de la musique de strip-tease. J’ai enfilé une magnifique robe, celle que m’a offert Manu pour mon anniversaire, une robe moulante très courte en lurex brillant, qui, je crois, me rend très sexy. La sonnette retentit. J’adore et je déteste ces moments-là, juste avant la rencontre. L’excitation m’envahit, l’emportant de peu sur le trac. J’ai toujours peur de ne pas être à la hauteur de l’événement, surtout quand il se déroule chez nous.

Préliminaires torrides

Le couple entre dans la pièce. Ils ont tous les deux un sourire un peu tendu, crispés qu’ils sont, sans doute comme moi, par l’événement. Elle me tend un bouquet de fleurs, lui une bouteille de champagne à Manu. Je ne sais plus pourquoi nous les avons invités. Il ne me plaît pas. Son crâne est très dégarni, il est un peu ventru… Pas mon genre. La soirée suit son cours, comme la conversation. Les minutes passant, je lui retrouve son charme étrange : une belle conversation, de la culture qui ne s’étale pas, un sourire timide mais franc… Chantal a déjà entrepris Manu, la main sur sa cuisse. Ces deux-là ont déjà commencé à se tripoter allégrement, je ne l’avais même pas remarqué.

Mon regard croise celui de Gérard. Il a un sourire gêné. Il cherche une ouverture. Je m’approche de lui et l’embrasse. Au début, il est pris de court, il est un peu gauche. Puis c’est sa bouche qui s’empare de la mienne, sa langue est douce sur ma langue, ses lèvres caressent mes lèvres, il embrasse terriblement bien. Manu et Chantal se sont rapprochés de nous. Manu embrasse Chantal, j’embrasse Gérard, Gérard embrasse Chantal et moi Manu. Puis c’est Chantal qui prend ma bouche. J’adore ces moments-là. Les vêtements volent. Les caressent aussi. Je sais qu’il ne faut pas mêler libertinage et sentiments, et pourtant, je trouve que ces moments de grâce érotique ont quelque chose d’amoureux. C’est intense, c’est chaud, c’est tendre, et pourtant, c’est une partouze.

Jouissances et échangisme

J’ai la tête posée entre les magnifiques seins de Chantal, qui suce mon homme avec passion. Gérard nous doigte toutes les deux, tout en tétant mes seins avec une fougue que j’ai rarement connue. Sa bouche passe de ma bouche à mes seins, et s’attarde de plus en plus longuement sur mes tétons. Il continue à branler nos deux clitos. J’ai la main posée sur la cuisse de mon chéri qui est déjà tout près de jouir. Gérard avale littéralement mes seins. Je le branle avec toute l’énergie dont je peux encore faire preuve.

C’est Chantal qui part la première. Les caresses de son homme mêlées à l’excitation de pomper la grosse queue de mon chéri ont eu raison d’elle. Elle est suivie de Manu, qui se répand dans sa bouche avide. Je sens que mon tour approche. Mes seins me font presque mal d’être ainsi sucés, mais cette légère douleur est bonne. Je pars, je le sens, je jouis comme une damnée. J’ai l’impression que mon orgasme part de mes seins. Quand je reviens à moi, j’ai toujours la bite raide de Gérard au creux de ma main. Je l’attire vers moi, et le branle contre ma poitrine, toute menue à côté de celle de sa femme, qui, elle, lui caresse vigoureusement les couilles. Et Gérard gicle sur mes nibards, et les couvre d’un foutre chaud qui me ravit.

La soirée ne fait que commencer, et je suis encore loin de me douter de tous les prodiges d’érotisme dont est capable ce couple que je ne voulais pas, au départ, rencontrer. Rien que la douche commune qui a suivi cet épisode mérite d’être racontée par le menu.

La douche collective

Dont acte. Il faut que je vous raconte l’épisode de la douche collective qui a suivi notre apéro très chaud. Nous étions tous les quatre nus, essayant de reprendre nos esprits après avoir bien joui. Alors, une douche s’impose. Nous filons à la salle de bains et nous nous serrons les uns contre les autres dans la petite cabine. Les corps sont collés les uns aux autres, la douche renforce l’impression de moiteur. Déjà, Manu s’applique à bien savonner Chantal, en insistant sur son énorme poitrine. Gérard est plaqué derrière moi, coincé entre le mur et mon corps tout trempé. Il me passe du gel douche sur les épaules, le ventre, les seins, les cuisses, la chatte. Mais je ne rêve pas, c’est une gaule monumentale que je sens contre mon dos. Il a la forme papy !

Donc, Gérard se fait de plus en plus entreprenant. Pourquoi se gênerait-il ? Manu a déjà englouti les beaux nibards de Chantal dans sa bouche. Par quelques génuflexions, il a réussi à faire glisser sa queue dans le sillon de mes fesses. Ma raie est pleine de savon, il va et vient et ça glisse parfaitement. J’adore la sensation de l’eau qui coule sur mon corps mêlée aux caresses de mon amant d’un soir. J’ai l’impression que sa queue est énorme entre mes fesses. Pourtant, je sais que Manu est mieux doté, mais peut-être que l’excitation a exercé un pouvoir particulier sur son sexe. Ou sur mon imagination.

Après la douche collective, la baise !

Manu et Chantal quittent la cabine de douche. Chantal n’hésite pas, elle est déjà à quatre pattes sur le tapis de sol, tandis que mon homme fonce vers l’armoire à pharmacie pour y prendre une capote. Je lui fais signe que ça pourrait nous être utile également. Gérard a passé sa queue entre mes cuisses, sa tige coulisse à proximité de mes lèvres et son gland chatouille de temps à autre mon clito gonflé. Après quelques caresses et léchouilles pendant qu’il enfile son préservatif, Manu entreprend Chantal en levrette.

Ça m’excite comme une folle de voir mon homme pénétrer une autre femme, d’autant plus que les caresses de la queue de Gérard sur mon sexe m’émoustillent au plus haut point. Lui aussi d’ailleurs. Il attrape la capote que Manu a laissé sur le rebord de la douche. Je vais me faire baiser tout en mattant mon chéri. J’adore ! Je prends appui comme je peux, pendant que Gérard, encapoté, se place derrière moi. Nous sommes debout sous cette douche qui coule toujours sur nos corps. Il place sa queue entre mes cuisses et cherche du gland ma petite chatte brûlante. Il est un peu moins dur que tout à l’heure. Pas de panique ! La pose du préservatif a souvent cet effet sur ces messieurs. Je saisis son sexe d’une main et lui rend sa vigueur. Il a envie de mon minou et retrouve sa dureté très vite.

Le vieux m’encule

Mais j’ai une autre idée derrière la tête. Peut-être est-ce mon cul tout glissant de gel douche qui m’a fait penser à ça. J’ai envie qu’il me sodomise. Je guide sa verge vers mon petit trou. Il comprend vite et appuie son gland tout contre. Je m’ouvre facilement et, malgré la position inconfortable, il parvient à entrer tout entier en moi. Fiché au plus profond, Gérard fait une pause. Il est intelligent, il sait que j’ai besoin de m’habituer à sa virilité dans mon cul. Mon anus s’est ouvert facilement, mais je suis tout de même loin d’être une pro de la sodomie. Il commence par de petits coups de reins qui me rendent toute chose. Je le sens qui halète dans mon cou, une main sur un sein, l’autre qui me saisit la hanche. Ses mouvements deviennent plus lents et plus amples, tandis que je reluque Manu qui baise Chantal avec enthousiasme. Ses gros seins un peu tombants bougent en cadence.

Je me retourne parfois vers mon enculeur et par un miracle de souplesse que je ne soupçonnais pas, j’arrive à l’embrasser à pleine bouche. Il m’encule maintenant comme un sauvage, tandis que ses doigts agacent avec habileté mon clito. Je manque de tomber plusieurs fois. C’est en pâmoison que tombe Chantal qui jouit bruyamment dans cette pièce qui résonne terriblement. Elle hurle comme une dingue, je n’ai jamais entendu ça. Et pourtant, personne ne l’égorge. La scène est d’autant plus chaude que la queue de Gérard en moi me procure des sensations terribles. Chantal s’extirpe de l’emprise de mon chéri et se retourne pour une turlutte salvatrice. Car il était temps, Manu éjacule quasiment instantanément dans la bouche de cette coquine. Je prends moi aussi mon pied.

Nouvel orgasme après la douche

Mais j’en veux encore. Et Gérard aussi. Il beugle son plaisir à mes oreilles tout en me limant comme je pensais qu’il n’était pas possible. Jamais je n’aurais cru pouvoir supporter une sodomie aussi vigoureuse. Quand Chantal et Manu reprennent leurs esprits, ils assistent incrédules à la scène. Ils me regardent tous les deux dans les yeux, comme s’ils cherchaient dans mon âme quels sentiments, quelles sensations dominent en moi. Je jouis une deuxième fois, manquant de tomber sur le sol glissant de la cabine de douche. Chantal se lève, elle qui était restée interdite sur le tapis, et prend position près de son mari. Je devine à ses gestes qu’elle lui caresse les couilles. L’imitant, Manu s’approche de moi, et me soutient pour m’éviter la chute. Il titille mes tétons du bout des lèvres. C’est pas vrai ! Je vais encore partir ! Les coups de reins de Gérard se font de plus en plus violents, j’ai l’impression qu’il va me déchirer, mais j’en redemande.

Flanqués de nos deux « assistants », nous prenons tout deux un plaisir extrême. Je sens sa queue dans mon cul qui durcit encore. Il va jouir, moi aussi. Lui d’abord : ses soubresauts me défoncent littéralement. Ses mouvements désordonnés l’ont éjecté de moi après son orgasme, mais Manu, en amant parfait, a compris ma situation, il coince mon clito avec deux doigts, et, d’une branlette parfaite, parvient à ne pas laisser retomber mon excitation. Et me voilà qui gesticule comme une folle furieuse, soutenue par les trois compères, Manu, Gérard et Chantal… Quatre orgasmes dans la soirée, il faut que je me calme. C’était samedi dernier, j’espère que ce week-end sera aussi chaud.

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