je suis la vraie salope du cinéma porno

Manon et Nathan passent un séjour à Paris. Ce couple cando va en profiter pour visiter un sexshop et un cinéma porno où Manon va se montrer très salope. C’est elle qui nous raconte cette aventure érotique assez hardcore.

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Ce n’est ni pour le libertinage, ni pour le sexe que Nathan et moi nous sommes rendus à Paris quelques temps après notre rencontre avec mon amant black, mais pour des raisons strictement professionnelles. N’empêche que nous voici en train de nous promener entre les peep-shows et les boutiques érotiques de Pigalle. Il va être bientôt minuit. Les quelques parisiens qui vaquent à leurs occupations quotidiennes croisent sur le trottoir des touristes en goguette et pas mal de vicelards qui laissent leurs yeux traîner sur les nombreuses entraîneuses qui vous draguent pour que vous pénétriez dans l’établissement pour lequel elles bossent.

La salope de Pigalle

Cette cohorte de pervers m’excite. Je mouille pour les gros cochons. C’est ainsi, que voulez-vous ? Les regards concupiscents de mecs en manque de baise me rendent toute chose. Nathan le sait bien. Il a passé sa main sous ma jupe, puis dans ma culotte, et me pelote le cul aux vues et aux sus de tous les passants. Certains groupes de touristes se montrent choqués de l’attitude de mon homme. Mais les mecs qui sont là pour le sexe me reluquent comme si j’étais la pire salope de Paris. J’adore !

En parlant d’entraîneuses, en voici une qui a remarqué notre manège. Et qui nous propose, avec quelque chose de troublant dans la voix, d’entrer dans sa boutique, un vaste sexshop qui a ici pignon sur rue. Elle dit : « un cocktail de bienvenue offert aux couples les plus coquins ». Je suis en feu. La manière qu’elle a eu de dire ça. Elle m’inclue dans la communauté des filles de mauvaise vie. Je kiffe. Elle, c’est une grande rousse, très fine, de petits seins mis en valeur par un soutif push-up et un fessier ferme et musclé. Sans doute une danseuse qui n’a pas percé. J’adresse un regard à Nathan. Il a l’air partant et matte la jolie rouquine avec un air cochon que je ne lui connais pas. Le cocu, ici, c’est toi, il s’agirait de s’en souvenir !

Allumeuse dans un sexshop

L’entraîneuse nous précède, laissant le temps à Nathan et moi d’admirer son cul rebondi. Elle nous adresse directement à la caissière du sexshop, une blonde à forte poitrine qui me ressemble assez : « tu mettras un cocktail à ces deux cochons » rigole la rouquine. La main de mon homme reste posée sur mes fesses, ce que la caissière semble approuver avec un certain enthousiasme. Tandis qu’elle prépare nos boissons, je jette un coup d’œil à la boutique. A mon grand étonnement – et peut-être avec une pointe de déception – le lieu n’a rien de glauque. La clientèle, constituée d’hommes célibataires et de quelques couples tout à fait classiques, se promène dans une boutique propre, bien tenue.

clubs libertins

La bimbo à la caisse nous tend deux verres d’une sorte de punch. « Vous pouvez visiter, n’hésitez pas » nous lance-t-elle en même temps qu’un clin d’œil. Nathan lâche un instant mes fesses pour siroter sa boisson, tandis que je m’avance vers le rayon des godes. Il y en a de toutes sortes, des petits, des gros, des blancs et des noirs. « Je préfère quand même les bites ! ». C’est moi qui ai dit ça ? Oui. Et tout le monde m’a entendue. Bizarrement, des hommes se rapprochent du rayon où nous nous trouvons désormais, à savoir la lingerie fine. Je décide de faire encore plus la salope. J’ouvre en grand mon chemisier : « tu as vu, mon chéri, j’ai le même soutien-gorge ».

« Je préfère les vraies bites ! »

La caissière s’amuse de mon déballage de nichons, mais s’approche de moi. Elle me chuchote à l’oreille : « vous êtes très excitante. Mais il ne faudrait pas que vous créiez une émeute. Si vous voulez, je vous offre deux places dans notre cinéma porno ». Ah bon ? Il y a un cinéma porno ici ? La blonde m’indique un panneau lumineux, agrémenté d’une flèche vers le bas, qui indique des escaliers vaguement dissimulés derrière un rideau. Pourquoi pas ? Nathan, comme toujours, semble plus que prêt à tenter l’aventure.

C’est parti. Nous descendons une à une les marches qui mènent jusqu’au ciné X du sexhop de Pigalle. Nous arrivons dans un petit couloir. Sur notre gauche se trouvent les chiottes, d’où émane une sale odeur. Un peu plus loin, un nouveau panneau indique la salle « hétéro », puis, en continuant, la salle « homo ». Nous entrons dans la première. A l’écran, une star du porno se masturbe en gros plan, devant une foule d’hommes TTBM, qui vont bientôt lui offrir une tournante. Dans la salle, de nombreux hommes sont installés, les uns dans des banquettes assez confortables, les autres sur de petits bancs sans charme. Ils sont plutôt sages. Seul l’un d’entre eux se branle ostensiblement. Les autres se cachent sous leur manteau posé sur les cuisses, d’autres encore se contentent de regarder la jolie brune se faire sauter par une tripotée de hardeurs.

Une libertine au cinéma porno

Ils ne m’ont pas encore vue. Qu’à cela ne tienne. D’autorité, Nathan nous fait une place sur l’un des canapés, coincés entre deux bonhommes arabes d’un certain âge. Globalement, les spectateurs ne sont pas de la première jeunesse. Sans doute des retraités victimes de la misère sexuelle. Mais, je vous l’ai dit, ça m’excite assez. Et Nathan aussi, qui ouvre à nouveau mon chemisier et fait jaillir mes gros seins du soutif. Les deux vieux rebeus n’en croient pas leurs yeux. L’un d’eux, malgré tout, le plus proche de moi, tente une avancée. Il pose sa main sur mon nibard gauche. Cette fois, il abandonne toute pudeur. Sa petite bite dépasse du manteau posé sur ses cuisses. Tandis qu’il approche sa bouche de mon téton, je prends sa queue en main. Il est raide. Je le branle. Il suce mes seins.

Une armée de papys, de mecs entre deux âges et bedonnants, de naufragés de la vie sexuelle, s’approche de nous. Un type s’est installé derrière la banquette du canapé, et me pelote le seins droit à pleine main. Je me retourne. Il arbore une belle teub noire, bien droite, sous un bide tout aussi impressionnant. Nathan me dit, à haute et intelligible voix : « suce-le, salope ». Il sait que j’aime me faire traiter de salope en pareille situation. Alors je suce. Désormais, je sens des dizaines de mains qui parcourent mon corps. L’un des voyeurs s’attaque à ma chatte trempée. Il me masturbe. J’ai une grosse bite noire dans la bouche. Et deux petites bites arabes entre les doigts. Et des mains, des bouches, qui me déshabillent.

Bukkake au cinéma porno

Le gros black grogne, proche de l’orgasme. Je sors sa queue d’entre mes lèvres. Je dirige son gland vers mes nibards. Il éjacule à gros jets sur ma poitrine, bientôt imité par plusieurs des branleurs. En moins de cinq minutes, ils vont tous me couvrir de sperme, tandis qu’un papy blanc me lèche la chatte, m’offrant un orgasme sombre, profond et un peu glauque. Je suis une salope. Je suis couverte de foutre. Les hommes quittent la salle les uns après les autres. Je m’aperçois que je n’avais rien prévu pour m’essuyer. Les seins à l’air, je me dirige vers les chiottes du cinéma porno, où je trouve un jeune minet en train de pisser. Lui aussi a du sucer des bites, il a encore du sperme sur le torse.

Je lui demande s’il a de quoi m’essuyer. Il saisit une large bande de PQ et s’applique à me nettoyer. Le petit pédé prend plaisir à retirer le foutre de ma poitrine. C’est fini. Il a retiré tout le sperme poisseux qui collait à mes seins. Je lui fais un bisou sur la bouche pour le remercier. « Entre salopes, on doit s’entraider », me répond-il.

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