entre les cuisses d’une jeune femme perverse

On retrouve Alex entre les cuisses d’une jeune libertine beurette. Qui l’eut cru ? Celle-ci, malgré son âge, se montre particulièrement perverse. Ce qui a le don de faire jouir Véro d’une étrange manière.

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Jamais je n’aurais pu imaginer qu’une jeune femme aux allures aussi douces et à la voix si innocente puisse être en réalité une véritable perverse. Et pourtant, je m’acharnais là, entre ses cuisses ouvertes, limant du mieux que je pouvais sa chatte humide et chaude, tandis qu’elle s’ingéniait à lécher les couilles de son homme en même temps que le clitoris de Véro. Rien ni personne ne pouvait être assez vicieux pour faire peur à la beurette que je baisais comme un forcené.

Jouir entre ses cuisses

Le vagin pris par la queue de Karim, le clito littéralement avalé par la bouche de Nour, ma chérie allait jouir. Elle jouissait déjà en fait. Mais elle jouissait d’une façon que je ne lui connaissais pas auparavant. Des petits cris, très courts, très stridents, sortaient de sa bouche. Dans le même temps, sa gorge émettait un son grave, presque inquiétant. Puis ce fut au tour de Karim de gicler en elle*. Et enfin à moi. Je m’effondrais de tout mon long sur le corps gracile de la beurette. Vaincu. Littéralement épuisé de plaisir.

Karim et Véro se dégagèrent comme ils purent, car la bouche avide de Nour avait encore envie de sexe. Elle me dit alors : « reste en moi. Je veux une bite en moi ». J’obtempérais d’autant plus facilement que je n’arrivais pas à reprendre mon souffle. La beurette perverse tortillait encore du postérieur pour sentir mieux dans son sexe le mien, déjà mou. Finalement, je parvins à rouler sur moi-même, libérant le buste fin de la libertine. Elle se mit à se masturber. De son regard doux et serein, Karim appréciait le spectacle de son épouse possédée par le démon du vice.

Il décida alors de l’aider. Il prit son petit téton entre deux doigts. Et pinça très fort. De l’autre main, il claqua les cuisses de sa moitié, puis son sexe. De plus en plus fort. La perverse appréciait le traitement, et remuait d’une façon frénétique sous les coups et les maltraitances. Pour, enfin, se libérer : « putain oui, c’est bon. Je jouis ! Je jouis ! Putain, je jouis ! ». Son dos se cambra. Puis elle retomba sur le lit. Enfin satisfaite. Enfin libérée.

Rencontre d’une jeune femme perverse

Véro et moi avions fait la connaissance de Nour et Karim sur un site de rencontres échangistes. Très vite, ils nous plurent. Mais leur jeune âge (ils n’avaient ni l’un ni l’autre atteint les 25 ans) nous inquiétait un peu. De plus, la photo de cette jeune fille fluette, si elle me plaisait beaucoup physiquement, ne me rassurait pas. Je me trouvais trop vieux pour elle. Et m’imaginait trop expérimenté. Je ne pouvais pas deviner quelle perverse elle était en fait.

Rendez-vous fut pris. Nous nous retrouvions chez eux. Nous racontions notre premier apéro échangiste, puis la suite de nos aventures libertines. Ils nous écoutaient avec un certain amusement. A un moment, j’ai cru que le récit de nos exploits coquins les mettait mal à l’aise. Je me trompais. Quand fut venu leur tour, Nour prit la parole. Elle raconta par le menu leurs différentes expériences de sexe libre. Et nous ne pouvions en croire nos oreilles. Surtout que cette litanie d’orgies toutes plus incroyables les unes que les autres sortait de la bouche d’un petit brin de fille à qui on aurait donné le bon dieu sans confession.

Elle nous raconta pourtant comment elle avait vécu, en compagnie de son homme, des gangbangs ahurissants, des partouzes phénoménales et même quelques expériences SM véritablement effrayantes. Mais surtout, je compris, à voir son regard quand elle nous expliquait par le détail ses histoires hautement pornographiques, quelle jeune femme perverse elle était. Elle n’utilisait pourtant que très peu de mots crus. Mais le contraste entre son vocabulaire sobre et la crudité des orgies qu’elle nous narrait semblait l’exciter.

Confessions vicieuses et échangisme

Quand elle eut fini, je m’aperçus que Karim avait posé sa main sur le haut de la cuisse de Véro, tout près de son entrejambe. Je m’aperçus aussi que je bandais. Et que mon regard ne quittait les yeux noirs vicieux de Nour que pour filer vers ses seins menus, qui pointaient indécemment à travers le tissu de son chemisier. La main de la jeune femme fila alors, à son tour, vers mon intimité. « J’aime quand un homme bande bien pour moi », me dit-elle de façon à être bien entendue par son homme et ma chérie.

La suite, vous la connaissez. Ou presque. Alors, comment nous sommes-nous retrouvés dans la position que je vous expliquais précédemment ? Tout simplement parce que, au cours de nos ébats échangistes, Nour se déclara frustrée de n’avoir pas goûté à (je cite) « la belle moule de ta femme ». Alors, la jeune perverse s’est installée entre les cuisses non seulement de Véro, mais aussi de Karim qui prenait ma chérie en levrette. De sorte qu’elle pouvait lécher non seulement le clitoris de ma moitié, mais aussi les couilles de son gaillard.

Ecartant les cuisses vicieusement, elle me fit comprendre que, ainsi installée, elle voulait que je la baise. Comme vous vous en doutez, je ne me suis pas fait prier. Caressant ses petits nichons pointus, je me suis introduit en elle. Et je l’ai prise jusqu’à ce triple orgasme (Véro, puis Karim, puis moi) qui la laissa chancelante, mais pas encore repue. Véro m’a, par la suite, expliqué que l’attitude vicelarde de Nour, ainsi que ses caresses buccales, avait provoqué en elle une jouissance d’une autre nature que celles qu’elle avait connu jusque là.

* dans une capote

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