reportage sur un lieu de drague échangiste
Notre rédactrice en cheffe, Julie, a envoyé Véro et Alex en reportage libertin. Le couple se retrouve donc sur un lieu de drague, réputé échangiste. C’est sur ce parking isolé qu’ils vont vivre des aventures un peu spéciales. Un reportage en forme de récit érotique.
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un parking comme lieu de drague ?
Nous avions entendu parler de cet endroit par des amis libertins. Il s’agit en réalité d’un parking, le long d’une route nationale, qui se trouve un peu isolé de l’axe principal par un petit bois qui le masque aux regards extérieurs. On dit qu’il s’agit donc d’un lieu de drague. Et qu’on y trouve des homos, mais aussi des couples exhibitionnistes, des amatrices de gangbang et parfois même des couples échangistes. Or, Véro ne pratique pas la pluralité masculine et nous ne sommes pas plus que ça portés sur l’exhibition publique.

Alors, qu’allons-nous faire dans cette galère ? La réponse tient dans les explications de Manon, une copine mélangiste, par ailleurs habituée des lieux : « le plus souvent, nous rencontrons d’autres couples. Nous y coquinons devant des voyeurs. Personnellement, c’est ce qui m’excite le plus. Et sinon, on trouve un deux gars pour un trip plutôt candauliste« . Donc, dans le pire des cas, s’il n’y a que des mecs célibataires, nous partirons. Et sinon, qui sait ce qui peut bien arriver dans un tel lieu de drague ?
reportage sur un parking étrange
Véro se montre partante, mais me précise qu’elle ne veut pas « un plan dogging ou un truc dans le genre ». Voilà qui me va très bien. Nous profitons donc des premiers rayons du soleil d’avril. Nous arrivons sur le fameux parking. Il se trouve là pas mal de voitures garées, une bonne dizaine. C’est vrai que les arbres nous cachent bien du reste de la route. Véro se montre un peu tendue, d’autant plus qu’elle a enfilé une de ses robes les plus coquines. Elle sort tout de même de la voiture, exposant ses belles jambes et son cul, dont le dos nus laisse apparaître la naissance. Quelques hommes qui discutent tranquillement à l’arrière d’une bagnole reluquent. Sans plus.
Mais où sont tous les autres ? Si on compte, au minimum, un conducteur par voiture, il en manque cinq ou six ! N’écoutant que notre courage (!), nous décidons d’aller dans le petit bois qui sépare justement le lieu de drague de la route. Là, nous sursautons. Un mec est à genoux, sa propre bite à la main, et la bite d’un autre gars dans la bouche. On savait qu’on se trouvait là dans un endroit où se croisent les gays, mais ça surprend quand même. On décide donc de faire demi-tour. Et de retourner sur le parking.
le couple libertin du bois
Quand nous faisons notre réapparition, une bagnole est en train de se garer. En descend un couple. Lui, c’est un homme d’un certain âge, probablement la soixantaine. Bedonnant, assez chauve, arborant une moustache grise qui lui donne un drôle d’air. Elle, c’est une grosse femme, sans doute à peine plus jeune que lui. Elle n’est pas du tout habillée de façon sexy. Sans doute sont-ce là des voyageurs qui font simplement une halte sur un parking. Pas sur un lieu de drague. Et pourtant…
Pourtant, sans même s’être aperçus de notre présence, ils filent dans l’autre sens, vers le reste de la forêt, à l’opposé de la route. Les gars qui discutaient à l’arrière de la voiture leur emboîtent le pas. A distance, nous décidons de les suivre, sur un petit chemin de bois. Ils bifurquent à gauche, nous laissant à une minute, tout au plus, derrière eux. Quand nous parvenons finalement à les rejoindre, madame est déjà en train de se faire peloter les seins par une demi-douzaine d’hommes.

Certains ont déjà sortis leurs queues. Et madame les branle les uns après les autres. Personnellement, je n’ai pas du tout envie de les rejoindre. Véro, qui me tire par la manche en me demandant de partir, n’en a manifestement pas envie non plus. Ils ne sont pas du tout à notre goût. Et il semble bien que nous ne les intéressons pas non plus. Ils sont là pour un gangbang. Laissons-les tranquilles.
retour sur le lieu de drague
Le week-end suivant, nous retrouvons Manon, lors d’une soirée multicouple. Elle veut tout savoir de nos aventures. Bien sûr, nous lui faisons part de notre déception. « Mais vous y êtes allés un dimanche ! C’est le jour où il ne faut pas ! », proteste-t-elle. Selon elle, c’est le samedi, éventuellement le vendredi après-midi ou en début de soirée, que le parking devient un lieu de drague échangiste. Véro n’a pas l’air d’être convaincue.
Néanmoins, nous voulons en avoir le cœur net. Alors, le vendredi suivant, à la sortie du boulot, nous nous retrouvons à nouveau sur le dit parking. Il y a là le double de voitures de la fois précédente. Et pas âme qui vive, ni à l’extérieur ni à l’intérieur des bagnoles. Nous empruntons donc une nouvelle fois le chemin qui s’enfonce dans les bois. Là, au même endroit où nous avons assisté à l’exhibition de la grosse dame, un cercle s’est formé. Au centre de celui-ci, deux femmes seins nus s’embrassent tendrement.
trio lesbien devant des voyeurs
La plus âgée des deux, une belle femme mûre à forte poitrine, colle ses nichons contre ceux, plus petits mais bien ronds, d’une jeune femme trentenaire. Se faisant, elle lui caresse les fesses, tout en soulevant sa jupe, dévoilant un fessier splendide. Les conjoints veillent au grain. Mais personne ici ne semble vouloir casser le charme en s’approchant trop près des deux lesbiennes. Le plus jeune des deux mecs, occupé à surveiller les voyeurs, ne nous remarque pas. A l’inverse de l’autre, qui nous fait signe de nous approcher.
Je n’ai pas le temps de demander son avis à Véro, qui fend la foule des mateurs. Ceux-ci, pour la plupart la bite à la main, s’écartent pour nous laisser passer. Et je vois ma chère et tendre s’approcher des deux gouines. Et les rejoindre avec un enthousiasme non-feint. Après quelques caresses saphiques, une véritable orgie lesbienne se donne à voir à tous les voyeurs, qui n’en reviennent pas plus que moi.
Puis, ces dames vont nous inviter à nous mêler à la partouze, nous, leurs époux. Durant ce moment de mélangisme intense, aucun des mecs célibataires n’aura l’outrecuidance de tenter de nous rejoindre. Je veux remercier ici Manon, pour ses bons tuyaux. Mais aussi Julie, de nous avoir demander ce reportage. Nous retournerons dans ce lieu de drague. Je vous raconterai.