mon bukkake sur la plage libertine du Cap

Mon mari et moi sommes échangistes. Comme beaucoup de couples libertins, nous passons tous les ans quelques jours au Cap d’Agde, en général une semaine. Cela fait désormais de nombreuses années que nous y fréquentons les clubs pour adultes, bien sûr, mais aussi les soirées échangistes privées et la plage libertine. C’est là que nous avons institué, juste pour nous, une tradition qui choque même quelques-unes de mes copines les chaudes.

Tradition sur la plage libertine

Je m’explique. Tous les ans, lors de notre dernier jour au village naturiste, nous nous rendons sur la plage libertine, ce coin situé après le camping où se draguent et s’amusent les couples coquins et les hommes célibataires en quête de sexe facile. Là, quand la cabane de surveillance de la baignade ferme, nous commençons un petit jeu. Je me mets à genoux, nue évidemment, dans le sable. Mon mari, debout, me donne sa bite à sucer.

J’adore le sexe de mon mari. Pas très épais, mais assez long, j’adore le prendre en fond de gorge alors que je suis en train de me masturber. Ça m’excite terriblement. Et encore plus si des voyeurs me reluquent. Car c’est là tout l’intérêt de ce jeu. Assez vite, des hommes seuls s’approchent pour assister au spectacle. Certains, plus téméraires que les autres s’approchent un peu. Je les encourage. Généralement, en caressant les couilles qui passent à ma portée.

C’est parti pour le bukkake

Cette fois, on y est. Je me retrouve littéralement encerclée par les mecs qui se branlent pour moi. On commence à me peloter les seins et les fesses. Je vois une belle bite bien large passer à ma portée. J’abandonne mon mari pour sucer une autre queue. Les mecs deviennent dingues. J’entends mon mari dire : « si vous giclez, giclez sur elle ». Il ne faut pas dix secondes pour qu’une première éjac vienne me fouetter la joue. Le type que je pompe grogne. Je dirige sa bite vers mes seins. Il jouit dessus.

Je reprends mon mari en bouche. Certains essaient de caresser ma chatte humide, mais je les en empêche. Ce n’est pas ça que je veux. Je sens un gland frotter contre mes tétons. Ça oui, j’adore ! Du foutre gicle sur mon dos. Je me sens sale. Et ça m’excite. Je suce une nouvelle bite. Un mec noir avec une queue plutôt petite. Des dizaines de mains parcourent mon corps, me caressent, des types frottent leurs bites contre ma peau.

Je me masturbe sur la plage libertine

Il faut que je me branle. Je bascule en arrière, les fesses posées sur les talons. « Salissez-moi, je veux du foutre ». Les gars se rapprochent de moi. Certains visent mon visage. Heureusement, j’ai prévu les lunettes de natation, pour ne pas en prendre dans les yeux. C’est parti ! Trois ou quatre éjaculations puissantes atteignent ma poitrine, d’autres me font comme un maquillage sur les joues. Le bukkake est parti et les hommes vont se vider les uns après les autres sur la salope que je suis.

Je me masturbe toujours quand mon homme m’honore à son tour. Là, je vois une femme en face de moi, qui se laisse peloter tout en me regardant. Elle doit trouver que je ne suis qu’une traînée. J’ai honte. Et c’est bon la honte. Alors que de nouveaux flots de sperme inondent ma peau, je jouis comme une tarée. Le séjour au Cap d’Agde se termine, comme tous les ans, dans un immense bukkake. Je n’ai plus qu’à aller me laver dans la mer. A l’an prochain, mes cochons.