première expérience échangiste dans la mousse libertine

Il n’y a pas d’âge pour vivre sa première fois en libertinage. Pour Anne et Jean-Michel, 59 ans et 61 ans, l’expérience de la mousse libertine est venue sur le tard. Mais après une vie d’aventure, il fallait bien que ce couple s’essaie à la partie-fine et au sexe libre.

Je me prénomme Anne et j’ai 59 ans. Mon mari, Jean-Michel a deux ans de plus que moi. Et si je me permets de vous écrire, c’est que nous avons vécu cet été une aventure érotique dont je me souviendrai bien longtemps. Cela fait aujourd’hui trente années que mon mari et moi sommes mariés. A ma connaissance, aucune tromperie n’est jamais venue entacher notre bonheur. Bref, nous sommes un couple sage. Rangé. Enfin, pas tout à fait. Depuis des décennies, mon mari et moi avons vécu toutes sortes d’aventures.

Une vie d’aventure

Je vous vois venir. Mais non, je ne parle pas de sexe. Nous avons, par exemple, traversé la Méditerranée en voilier. Nous avons fait du trekking dans l’Himalaya. J’en passe et des meilleures : saut à l’élastique, en parachute, en parapente, exploration de grottes, ascension du Mont-Blanc. Mon mari et moi raffolons de sensations fortes. Et nous aimons aussi le sexe, mais entre nous. Mais, depuis quelques temps, nous nous apercevons que la douce folie qui existait s’estompe un peu. Nous relevons moins de défis sportifs. Et nous nous amusons moins au lit.

Il y a quelques temps, nous avons lu un article sur le Cap d’Agde et son quartier naturiste. Nous y avons appris qu’il s’en passait de belles là-bas. Alors, l’idée nous est tout simplement venue de nous y rendre. En nous faisant une promesse : celle de jouir de toutes les occasions qui pourraient se présenter. Là, évidemment, je parle bien de sexe. Soyons honnêtes, nous avons quelques heures de vol et l’idée de séduire quelqu’un – un couple si possible – nous semblait un peu farfelue. L’histoire libertine que je vais vous raconter nous a prouvé le contraire.

Cap d’Agde, quartier naturiste

Toujours très organisés quand il s’agit de voyages, même très proches – nous sommes de Montpellier – nous avons réservé notre « pass » pour entrer dans le village naturiste directement sur internet. Nous sommes arrivés en début d’après-midi. A peine garés, nous nous sommes mis à poil. Si nous n’avons aucune expérience du libertinage, l’un et l’autre, nous ne connaissons guère la pudeur. Nos différentes expériences dans le monde nous ont appris à vivre la nudité sans trop de problèmes. Mais, à cet instant précis, je ne peux pas dire que je me sente particulièrement désirable.

Je suis plutôt grande, blonde, un corps de sportive, avec néanmoins des seins tout à fait respectables. Les années n’ont pas trop nuit à la tenue de ma poitrine. Jean-Michel lui, est plutôt bien musclé, très bien conservé pour son âge. Mais tout de même ! Il y a là des couples de trente ans, parfois même vingt, qui se promènent nus, sans complexe. Personnellement, je me rince l’œil aussi bien sur les filles que sur les garçons. Aucune culpabilité, comme nous nous l’étions promis. Et je vois bien que mon mari n’est pas en reste. Passe une beauté rousse, un corps de rêve, une allure de reine, et je vois mon homme cacher sa virilité en enroulant sa serviette autour de la taille. Il a une érection, ce cochon !

La partouze, c’est où ?

Nous nous promenons dans le village naturiste un long moment. Je prends beaucoup de plaisir à me promener nue dans la ville. Jean-Michel, lui, reluque des jeunes femmes manifestement libertines, qui ne semblent pas toutes insensibles à ses charmes. Il y en a même une qui lui fait carrément du gringue ! Une petite brune, 30 piges maximum, avec des nichons en pomme qui défient la gravité universelle et qui l’allume du regard, tranquillement assise à la terrasse du café où nous nous sommes installés. Elle passe sa langue sur ses lèvres pulpeuse en le regardant. Et maintenant, elle écarte ses cuisses pour qu’il regarde sa fente ! Je rêve ! On va se le dire : je suis un peu jalouse. Mais, à la vérité, cette petite nana m’excite aussi.

Je n’ai jamais vraiment couché avec une femme, si ce ne sont quelques expériences plutôt sages au lycée. Mais elle, je me verrais bien coller mon corps contre le sien, sentir ses nibards toucher les miens, peut-être même goûter son sexe, qu’elle est en train d’exhiber à mon mari. Mais ne rêvons pas trop, elle se lève. Sans doute une allumeuse. Non, elle s’approche de nous, et me demande avec un charmant accent italien : « vous allez à la mousse libertine, cet après-midi ? ». Je la regarde interloquée. « Non. Qu’est-ce que c’est ? ». La petite nana s’exprime dans un Français assez direct : « c’est une partouze géante, dans la mousse, c’est vers le Glamour. Si ça vous dit, on pourrait s’y retrouver. J’aimerais bien t’initier à la baise entre filles, pendant que ton mari me prend ».

La queue devant la mousse libertine

Sur ce, la belle brune tourne les talons, ou plutôt les tongs, nous laissant voir son cul parfait se balancer tandis qu’elle s’éloigne. Jean-Michel est dans tous ses états. Je vais le refroidir : « attends, c’est trop beau pour être honnête. Cette fille est sûrement payée pour appâter le chaland ». Il me donne raison, mais demande tout de même à la serveuse ce qu’il en est de cette fameuse « mousse libertine ». Celle-ci nous répond que c’est « the place to be, un endroit où on s’amuse vraiment ». Alors, c’est décidé. Nous allons nous rendre à cette partouze géante, et nous verrons bien.

A l’heure dite, effectivement, nous trouvons déjà une file d’attente devant le lieu où se tient la « mousse party ». Les gens sont nus, parfois les fesses cachées sous une serviette, comme mon mari. On trouve de tout. Des vingtenaires canons jusqu’aux quinquagénaires débordant de vitalité. Mais pas de couples de nos âges. Je commence à m’inquiéter. Et si on nous refoulait ? Notre tour arrive. Nous payons l’entrée, nous laissons nos affaires aux vestiaires. Ici, pas d’hommes seuls, c’est la règle, mais quelques femmes célibataires, essentiellement des quadras, qui semblent vouloir s’amuser plus que de raison.

Mousse Party au Cap d’Agde

Finalement, nous entrons dans la « mousse party » du Cap d’Agde, sans savoir à quel point cette fête permanente est devenue culte pour tous les libertins et libertines de France, et même d’Europe. La musique est forte, les corps sont nus, mais apprêtés pour mettre en valeur les peaux, les seins, les fesses, les sexes. Nous nous sentons à la fois comme deux vieux cons au milieu d’un public relativement jeune, et comme des débutants, totalement néophytes en matière de libertinage.

Déjà, de jeunes couples ont investi les banquettes et matelas sur notre droite et sur notre gauche. « Une partouze géante », nous a dit la petite brune. C’est bien de ça dont il s’agit. On est à peine plus sage dans l’immense jacuzzi à notre gauche, où des couples de tous âges se pelotent, s’embrassent et même plus. Et, au fond, la mousse. Là, des dizaines de couples s’ébrouent, se frôlent et s’adonnent à un sexe ludique et joyeux. C’est le moment pour nous de plonger dans cette foule de partouzeurs rigolards.

Jeux de mains et jeux de bouches

A peine sommes-nous dans la mousse que Jean-Michel et moi sentons des mains nous caresser. Une trentenaire potelée a pris la bite de mon homme entre ses doigts et le branle tout en l’embrassant à pleine bouche. De mon côté, ce sont deux hommes bien plus jeunes que moi – peut-être ont-ils quarante ans – qui m’enlacent et me caressent les tétons, les fesses, la fente. Un mouvement de foule se produit, et me voici maintenant dans les bras d’une femme arabe aux formes généreuses. Elle m’excite. Je l’embrasse, nos langues se mélangent. Je me baisse un peu pour prendre en bouche ses deux gros seins. Hélas, le goût du savon sur sa peau me dérange.

porno-reportage

Je cherche à convaincre Jean-Michel d’aller nous rincer, et de tenter de rejoindre les « coins-câlins » avec un couple, celui de la grosse arabe. Mais mon homme est aux prises avec deux femmes, elles-mêmes accompagnées de leurs époux. Ils ont sensiblement le même âge que nous, peut-être à peine moins. Ils m’incluent dans la danse. Je commence à être vraiment excitée. Je sens que ma libido se réveille en tenant le sexe tendu de l’un d’entre eux dans ma main, tandis qu’il agace mon clitoris du bout des doigts.

Première expérience d’échangisme

« Tu veux que je te prenne ? » me demande-t-il. Oui, j’en ai envie. Je ne sais comment, il parvient à mettre un préservatif que lui tend celle que je pense être sa femme. Il me place debout contre le mur du fond. Je suis submergée de mousse. Par derrière, il pénètre mon sexe. Je le sens me baiser. J’adore ça. Mon regard file vers les couples qui batifolent autour de nous. Personne ne semble trouver cette étreinte incongrue. Mieux : une femme se place à côté de moi, dans la même position. Elle me roule une pelle. Un homme s’approche d’elle et la baise à son tour. C’est mon mari.

Cette fois, on peut le dire : nous sommes échangistes. Cette première pénétration ne va durer que quelques minutes. Pour excitante qu’elle soit, la position n’est vraiment pas confortable. J’ai des bulles partout sur le visage, j’ai envie de me rincer. Tout le monde semble d’accord pour rejoindre une banquette, pour y partouzer. Mais un tour à la douche s’impose. L’eau est froide. Et je suis chaude. J’y passe rapidement le corps, juste pour retirer le savon qui colle à ma peau.

Partouze échangiste à la « mousse party »

Nous rejoignons finalement une banquette assez vaste pour accueillir trois couples, et peut-être plus en se serrant bien (et c’est le but !). Pour la première fois, je réalise vraiment qu’un autre homme m’a pénétrée. Et que mon mari en a prise une autre. Mais je n’ai pas le temps de me prendre la tête que la troisième femme plonge entre mes cuisses pour me lécher. Ce n’est pas son premier cunnilingus. Elle sait y faire. Si elle continue, je vais bientôt jouir. J’ai attendu presque 60 ans pour qu’une femme me procure un orgasme avec sa langue ? Pourquoi ? Jean-Michel, lui, l’a entreprise en levrette. Et plus il la baise, mieux elle me chatouille le clitoris avec ses lèvres.

C’est donc ça, l’échangisme ? Mon homme me procure du plaisir par l’intermédiaire d’une autre femme ? Je pars pour le septième ciel. Un orgasme terrible, violent, qui me rappelle des expériences, bien moins saines, de paradis artificiels.

Quand je reprends finalement mes esprits, un des deux hommes, celui que je ne connais pas, à approcher sa bite de ma bouche. Je le suce. Pour la première fois depuis des années, j’ai un autre sexe que celui de Jean-Michel dans la bouche. C’est là, à cet instant précis, que j’entends une petite voix italienne à mon oreille. Je me tourne vers elle. Elle est là, superbe, sexy, bandante… La jeune libertine brune du café. Elle me sourit, caresse mes seins et le torse de Jean-Michel. Puis, d’une voix timide mais décidée, nous demande : « je peux me joindre à vous ? ».

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