une orgie lesbienne entre femmes libertines
Julie sort pour la première fois en solo dans un club échangiste. Après avoir fait la rencontre de deux couples mélangistes, elle va découvrir les plaisirs d’une orgie lesbienne avec trois autres femmes.
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Les clients du club échangiste
J’aime arriver assez tôt dans les soirées des clubs. Ça me permet de prendre un verre, de visiter les lieux si je connais pas… Et surtout, je peux voir arriver les différents convives, que je sois à la recherche de quelques hommes ou plutôt d’un couple. Ce soir-là, étonnamment, je suis loin d’être la première. Se trouvent là une demi-douzaine de mecs seuls, qui donnent l’impression d’une certaine misère sexuelle. Messieurs, demandez des conseils à Marco, notre libertin célibataire, sur la bonne attitude à avoir pour draguer en club libertin.

Mais mon attention se porte sur deux couples, qui se connaissent manifestement, et qui sont installés à une petite table au bord de la piste de danse. Je les regarde tout en sirotant mon gin tonic*, en ne me cachant absolument pas : les regards échangés, dans les endroits libertins, constituent bien souvent une première approche. Ils sont jeunes et assez beaux. Le premier couple : une beurette assez grande, très fine, une poitrine aussi menue que la mienne ; lui un mec grand également, athlétique, brun, mignon. Ils doivent avoir à peine la trentaine. Le second couple semble à peine plus âgé : elle est blonde, assez fine également, mais arbore une poitrine ronde et appétissante ; il est roux, petit, un sourire éclatant, le genre de type qui ne doute jamais de ses charmes.
Rencontre avec deux couples mélangistes
Ils me regardent également. J’aime assez ces jeux de début de soirée où libertins et libertines tentent de se signaler auprès de celles et ceux qui pourraient leur plaire. J’apprécie nettement moins la drague lourde. Un type, une chope de bière à la main, vient m’aborder en me proposant un verre. J’ai déjà ce qu’il me faut. Non merci. A peine ais-je éconduit mon prétendant maladroit que la blonde aux gros seins se lèvent. Sa robe ne dissimule rien de son opulente poitrine. Je me rince l’œil. Elle vient commander quatre verres, souriante. Elle se tourne vers moi et me propose de les rejoindre à leur table. Je réponds par un autre sourire, me lève et la suit.
On fait les présentations. Djamila et Antonin me font la bise, Loïc et Sarah, elle a déjà posé sa main sur ma cuisse. On discute. Ils ont une certaine expérience. Ils coquinent ensemble – et avec d’autres, me précisent-ils – depuis des années. Tous les quatre se revendiquent mélangistes, « mais du genre très cochons ». A en juger par la main de Sarah qui remonte jusqu’à mon string, je veux bien les croire. J’en profite d’ailleurs pour peloter ostensiblement les deux obus de la blondinette. Ça m’a l’air naturel. J’adore.
Et si on se faisait une orgie lesbienne ?
Sans être tout à fait « m’as-tu vu », les deux couples mélangistes ne montrent aucune discrétion dans leur discussion. Leurs voix couvrent même la musique , pas encore très forte en ce début de soirée. Alors quand Sarah propose une orgie lesbienne, tout le club est au courant : « ça me dirait bien un plan juste entre filles, pour commencer. Cette coquine (en me regardant) me donne des envies de manger de la chatte ». Les autres se montrent enthousiastes à cette proposition. « Une partouze entre nanas, et après, on verra si on veut bien que ces messieurs nous rejoignent » renchérit-elle !
Nous nous levons en direction des coins-câlins. Nous ne faisons que quelques pas, le temps pour moi de reluquer le cul parfait de la maghrébine, quand un couple mûr, la cinquantaine je dirais, nous aborde. Monsieur nous demande poliment : « excusez-nous. Nous avons entendu votre conversation. Ma femme voudrait découvrir les relations saphiques. Pouvons-nous nous joindre à vous ? ». Sarah regarde la dame de la tête au pied. Elle est plutôt mature, certes, mais carrément sexy ! Une très jolie femme brune, un corps parfait : « évidemment! Plus on est de gouines, plus on rit ! ».
Orgie lesbienne dans les coins-câlins
A peine arrivés dans l’alcôve, Sarah me roule une pelle gourmande et sensuelle. Nous nous chauffons depuis plusieurs dizaines de minutes maintenant. En quelques secondes, nous finissons nues, l’une contre l’autre, sur le lit, corps à corps. Pendant ce temps, Djamila a entrepris la femme mure. Cette dernière s’est assise sur le bord du lit, la tête de la beurette entre les cuisses. C’est peut-être la première fois qu’une femme lui offre un cunnilingus. Elle semble apprécier. Je dévore les seins de Sarah, pendant qu’elle caresse mon clitoris avec une certaine dextérité. Mais la blonde en veut plus, qui pelote maintenant de l’autre main le sein rond et ferme de la débutante.
Je ne sais trop comment mais, après quelques caresses, je me retrouve allongée sur le dos, le sexe de Sarah au dessus de la bouche, la langue de la femme mure caressant mon sexe et je devine que Djamila lui en fait autant. Ma jolie blonde jouit violemment, ainsi que la femme mure, qui hurle son plaisir. Puis, toutes deux demandent une pause. Qu’à cela ne tienne, la beurette se colle à moi, m’embrasse à pleine bouche. Nos petits seins se frôlent. Nos tétons sont tendus. Cette étreinte est formidable, alors que nos cuisses nous servent à caresser le sexe de l’une et de l’autre.
Les hommes regardent une orgie lesbienne
« Vous m’excitez trop, les filles ! » lance Sarah tout en nous rejoignant. Je gobe littéralement ses seins tandis que Djamila se faufile entre mes cuisses pour me lécher. La dame d’un certain âge en veut encore et, après m’avoir embrassée, prend dans sa bouche le sein de la blonde laissé libre par la mienne. Nous sommes là, quatre femmes pleines de désirs et de sensualité, dans une orgie lesbienne assez incroyable. Et ces trois messieurs n’en perdent pas une miette. Ils restent sagement assis au bord de l’autre lit de l’alcôve et nous regardent nous « gouiner », comme dit Sarah. Les yeux leur sortent de la tête. Je les regarde vicieusement alors que la langue de la belle beurette m’envoie au septième ciel. Pour une fois, je jouis la première, le téton de la blonde entre mes lèvres, sous les applaudissements des hommes.
« La première à jouir doit faire jouir toutes les autres » affirme Djamila, dans un sourire pervers. Joignant le geste à la parole, elle écarte les cuisses et me présente son sexe trempé : « lèche, coquine, je vais bientôt venir ». Je trouve le jeu excitant. Je m’exécute et plonge vers les lèvres humides de la demoiselle. En effet, elle ne met que quelques minutes à jouir. Alors je fais un cunnilingus à Djamila, tandis que les deux autres femmes la caressent. Elle jouit fort, manquant de m’écraser entre ses jambes athlétiques.
Au tour de ces messieurs ?
Sarah m’ordonne de m’allonger. Et demande à la femme mature de venir s’asseoir sur ma bouche. Je plante ma langue en elle et saisit ses deux seins à pleines mains. Pendant que je tournicote autour de son clito, la blonde s’est emparée de mon sexe et la maghrébine de mes seins. Alors, quand madame finit par atteindre l’orgasme, je jouis une seconde fois. Quand on me libère, je suis épuisée de plaisir. Et pourtant…
Pourtant, rien n’est fini. Et j’ai encore envie de sexe. De grosses bites, oserais-dire. Tant mieux, car les deux femmes mélangistes invitent les hommes à nous rejoindre dans notre partouze. Et je me retrouve bien vite avec le vit épais et dur de Loïc au fond de ma gorge.
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* l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. L’abus de sexe non.