une orgie mélangiste dans un spa libertin

Yann a décidé de nous raconter une histoire. Mais c’est une aventure vécue dont il veut nous faire part. Notre libertin accompli fréquente avec sa compagne un sauna de Dijon. Ce soir-là, l’ambiance est à l’orgie mélangiste. Bienvenue dans le hammam torride d’un spa libertin.

Ce n’est pas la première fois que nous allons ensemble dans ce spa libertin, tous les quatre. Ou que nous nous y retrouvons pour faire quelques galipettes sexuelles, à deux couples, ou avec celles et ceux qui veulent participer à nos ébats. Depuis deux ans que nous nous connaissons, que nous nous fréquentons et que nous « libertinons » ensemble, ce sont devenus des amis. Sans me vanter, je peux dire qu’elle est tombée sous mon charme. Allez savoir pourquoi. Et je dois bien avouer qu’elle me plait beaucoup avec son corps de déesse africaine, toute en rondeur et toute en force.

Le hammam du spa libertin

C’est toujours un peu le même rituel. Quelques dizaines de minutes dans les bulles du grand jacuzzi de ce spa gay et libertin de Dijon, histoire de voir qui est là. De voir si d’autres couples seraient susceptibles – plus que d’autres – de nous plaire à tous les quatre. Puis nous faisons les quelques pas qui nous séparent du hammam, le centre névralgique et érotique de l’établissement échangiste.

Je suis assis sur un banc, entouré de vapeur d’eau et d’une certaine pénombre. Elle s’est mise à genoux devant moi, ma queue dans la bouche. Elle me suce avec l’enthousiasme de quelqu’un qui aurait convoité trop longtemps un éclair à la vanille. Je n’ai qu’à me pencher un peu pour caresser sa peau moite de sueur et de vapeur, pour triturer ses gros seins noirs. J’adore toucher son corps. Ma moitié et son mari doivent être quelque part à l’autre bout de la pièce. Ils ne sont pas très loin, c’est sûr. Mais l’obscurité m’empêche de les trouver du regard. Déjà, on s’agite ça et là. Un parfum d’interdit se mêle à l’odeur de l’eucalyptus qui s’échappe du hammam à chaque fois qu’un nouveau couple y fait son entrée.

La jeune fille ronde

Je m’abandonne à la fellation de ma belle africaine. Elle me prend maintenant en fond de gorge. On est de plus en plus serrés dans le hammam du spa. C’est le cas tous les dimanches soirs. Les nouveaux arrivants cherchent à se faire une petite place sur les bancs. Un nouveau couple arrive et la jeune femme, un tout petit peu ronde, se pose discrètement, presque timidement, à ma droite. Elle a bien vu que j’étais en train de me faire sucer. Elle parait gênée. Et la proximité de son corps nu, sa peau qui effleure presque la mienne, alors que je bande comme un fou dans la bouche d’une femme qui n’est pas la mienne, m’excite au plus haut point.

Je tente une approche. Une main sur sa cuisse, prête à être retirée au moindre geste de refus. Mais non, elle se laisse peloter, tandis que la langue de ma suceuse vrille autour de mon gland. C’est pour ce genre d’instant que je suis devenu – que nous sommes devenus – accroc au libertinage. La peau blanche de cette fille dodue contraste avec la silhouette noire et presque fantomatique de ma suceuse. Elle regarde ma queue se faire dévorer par la bouche goulue de celle-ci. Ma main passe à l’intérieur de sa cuisse. Elle ouvre les genoux pour faciliter mes caresses. Ma bite a disparu dans la gorge de ma déesse africaine et ma main entre les cuisses humides de la fille dodue.

Orgie mélangiste au hammam

C’est ça l’ambiance du sauna libertin. Moi qui suis d’habitude plutôt timide, je m’autorise presque tout. Je suis certain du fait que les couples présents savent bien ce qu’ils sont venus chercher ici. Je suis plutôt fier de ma réussite, tandis que je commence à caresser le clito de ma voisine de droite. Certes, je suis fier, mais, quand je me tourne vers le reste du hammam, je ne peux que constater que les attouchements entre couples ont déjà gentiment glissé vers la partouze.

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Encouragé par l’ambiance d’orgie mélangiste que je distingue des ombres chinoises que forment les corps mêlés au beau milieu du hammam, je m’enhardis et commence à me contorsionner pour parvenir à embrasser les cuisses bien pleines de ma voisine, tout en continuant à offrir mon vit bandé à ma suceuse. Sans succès.

Rencontres et jouissances

Alors, cette dernière abandonne sa fellation et se relève, pour rejoindre les bras du petit ami de la jeune femme dodue. Après quelques baisers savoureux sur la bouche, c’est à mon tour de me retrouver à genoux sur le carrelage de la pièce, la tête plongée entre les cuisses de ma nouvelle amante. Il fait une chaleur intenable dans le hammam. Et la porte s’ouvre de plus en plus souvent pour laisser s’échapper quelques couples terrassés par l’atmosphère torride de cette orgie mélangiste. Il ne me faut pas bien longtemps pour parvenir à mes fins. Le jeune femme ronde accueille mon cunnilingus avec cette espèce d’impatience qui fait le sel des rencontres impromptues dans les lieux échangistes. Elle reste assise sur son banc, avançant juste un peu le bassin pour offrir à ma bouche sa chatte dégoulinante de vapeur d’eau et d’excitation. Et il ne me faut que quelques mouvements de langue pour obtenir un orgasme de la libertine, déjà passablement excitée par nos timides préambules.

Je me redresse. De son côté, ma beauté noire, à son tour, parvient à faire jouir le petit ami entre ses mains expertes. Il faut bien dire qu’elle a un certain talent pour branler les queues des hommes entre ses gros nichons fermes. J’en sais quelque chose. Alors, le couple se prend par la main et se dirige vers la sortie. Il est temps pour nous de nous mêler à l’orgie mélangiste qui mélange les corps et les couples. Certains sont sur les bancs. D’autres se caressent, s’embrassent et se dévorent debout. D’autres encore sont affalés sur le sol humide du hammam. De petits groupes se sont formés, au hasard des affinités et des caresses prodiguées. Il ne reste plus là aucun couple qui ne soit pas actif.

L’orgie mélangiste se poursuit

Je tente de localiser ma moitié. Je la trouve affairée avec un homme et une femme, un autre couple à leur immédiate proximité. Abandonnant un court instant mon amante africaine, je me dirige vers ma chérie. Mais je n’ai pas le temps de reprendre contact physique avec elle qu’une grande femme, de dix ans au moins de plus que moi, aux petits seins et à la peau douce, m’a attiré vers elle. Son homme – du moins celui que j’identifie comme tel – a le visage plongé entre les gros seins d’une amie à nous, que je n’avais pas encore vue de la soirée. La grande gigue blonde s’est pendue à mon cou. Elle m’embrasse fougueusement. Elle prend mon chibre à pleine main et, debout, le dirige vers sa motte qui s’agite déjà en tout sens.

Elle colle mon engin entre ses jambes. Très vite, mon gland commence à glisser sur son petit bouton, qui n’est d’ailleurs plus si petit que ça. Ses caresses durent un bon moment, me faisant – comme à elle d’ailleurs – frôlé l’orgasme une bonne demi-douzaine de fois. Mais il fait trop chaud. Je sors du hammam, dégoulinant de transpiration. Heureusement, les douches collectives sont à deux pas et je m’y engouffre précipitamment. J’ai encore la queue tendue en arc-de-cercle. A peine le jet de l’eau commence-t-il à me rafraichir qu’une jolie brunette de vingt-cinq ans maximum sort à son tour du hammam. Direction les douches pour elle aussi, toute décoiffée par l’orgie mélangiste qui se joue ici. Voyant mon érection, elle a un sourire pervers et vient me rejoindre sous la même douche, où nous échangeons quelques baisers fougueux.

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