partouze géante dans un club de province
De retour en province, Audrey et Seb n’ont aucune intention d’abandonner le libertinage. Alors, en ce samedi soir, quand ils débarquent tard dans un club échangiste de leur région, ils tombent sur une partouze géante, dans une grande salle surnommée « le baisodrome ».
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Libertinage en province
Je rembobine un peu le film. Nous sommes donc enfin installés dans notre région d’origine, en province. Nous coulons des jours tranquilles et aucun de nos proches ne soupçonne notre libertinage. Et pourtant : nous multiplions les rencontres privées et quelques sorties en club ou en sauna. Le samedi soir, très souvent, c’est partouze au menu. Mais, ce samedi soir là, nous avons été invités par une cousine de Seb à venir dîner chez elle et chez sa petite famille. Pas de chance pour nous sur la date : le club échangiste le plus proche, dans lequel nous nous sommes rendus une ou deux fois auparavant, organise une soirée qui s’annonce des plus coquines. Qu’à cela ne tienne, le dessert avalé, nous prenons la route et débarquons dans l’établissement libertin.
Nous qui aimons arriver tôt… Il doit être une heure et demi du matin, la piste de danse se trouve totalement désertée. Le bar n’accueille que quelques hommes manifestement laissés pour compte. Et les différentes alcôves qui peuvent fermer à clé sont occupées. Nous décidons d’aller voir s’il reste un peu de monde dans le « baisodrome », la grande salle coquine qui accueille parfois les orgies les plus nombreuses. Et c’est là que nous tombons sur le spectacle insensé dont je vous parlais plus haut. L’ambiance y était indescriptible. Il devait se trouver là une bonne douzaine de couples, et à peu près autant de messieurs conviés par eux (cette salle est réservée aux couples et aux trios).
Partouze générale au « baisodrome »
Seb et moi, nous nous sommes regardés. Puis, nous avons été pris d’une sorte de fou-rire, ponctué par un baiser langoureux. Après tout, on ne vit qu’une fois. Nous nous sommes trouvés une petite place sur un grand lit, déjà occupé par quatre couples échangistes et deux mecs qui les accompagnaient. Il n’a pas fallu deux minutes aux mecs seuls pour venir se coller à moi. J’ai repoussé le premier : pas à mon goût. Le second, en revanche, je l’ai trouvé plutôt mignon. Et il a su me mettre en confiance. Il m’a embrassée sur la bouche, dans le cou, sur les seins. Et a descendu petit à petit vers mon nombril… et la suite ! Il m’a déshabillée sensuellement, tandis que je balourdais mes vêtements un à un au pied du lit.

Et Seb ? Je le vis tout occupé à masturber une dame plutôt mûre, aux airs de couguar, qui lui a donné ses seins lourds à téter. Et, alors que disparaissait le visage de mon nouvel amant entre mes cuisses, j’assistais à une autre scène, aussi rigolote qu’excitante. Seb se trouvait donc en train de sucer la poitrine généreuse d’une MILF, quand une autre dame, d’un physique et d’un âge comparable, s’est approchée d’elle pour lui rouler une pelle. Si bien que, les deux enlacées autour de lui, Seb se retrouva le visage coincé entre quatre gros seins mûrs. Il devait être aux anges, mon chéri. Alors, j’ai pu me consacrer à mon propre plaisir sans avoir peur de laisser tomber ma moitié.
Drôle de jalousie
Et mon amant s’y prenait plutôt bien. Il y allait un peu trop fort, un peu trop vite, mais il savait lécher une chatte, le cochon ! Trop vite, monsieur ! J’ai du le faire se redresser pour éviter de jouir trop tôt. Il avait une belle queue, alors je l’ai sucé. Et c’est là que l’incident s’est produit. Libéré de l’étreinte des quatre gros nichons, Seb s’est faufilé vers moi pour me caresser. A l’époque, nous nous interdisions de nous éloigner l’un de l’autre au cours d’une partouze. Croyez-le ou non, mais mon amant, que j’étais en train de sucer, s’est mis en tête de le repousser. Mon propre mec ! Seb, bien entendu, s’est rebiffé, alors que je n’avais pas encore vu ce qui se tramait, trop occupée à ma turlutte. Ces deux cons ont bien failli en venir aux mains ! Quand je me suis redressée, j’ai mis les choses au clair, croyant pouvoir poursuivre ma pipe. Et tout ce qui s’en suivait…
Peine perdue. Trop énervé par l’incident, Seb était déjà en train de se rhabiller, sous le regard déçu des deux libertines matures, qui avaient manifestement envie d’en faire leur quatre-heures. A mon tour, je me suis levée, et je me suis rhabillée sans mot dire. Mon amant du soir (enfin, le premier de ce soir-là !) ne comprenait apparemment pas ce qui venait de se passer. Nous sommes partis au bar. Un verre nous ferait le plus grand bien.
Incident dans un club échangiste de province..
Et devinez qui rappliqua alors ? Dudule, le gars du grand lit, qui s’est alors adressé à moi comme si Seb n’existait pas ! « Moi, je veux bien que tu fasses des trucs avec d’autres mecs, mais pas en même temps qu’avec moi », me dit-il. Je n’en croyais pas mes oreilles, Dudule était en train de me faire une crise de jalousie ! J’étais hilare. Seb, beaucoup moins. Mon homme s’est donc levé de son tabouret et a pris Dudule entre quat’-zyeux. Le type a enfin compris que c’était mon mec. Alors, il s’est fait tout mielleux. Trop tard Dudule ! Nous sommes un couple, nous agissons toujours en harmonie, il fallait être moins con.
Congédié, il a voulu repartir vers le baisodrome. Sauf que, tout seul, il ne pouvait plus entrer. Se montrer possessif dans le milieu échangiste, ça n’attire que dans des ennuis. Alors, Dudule est reparti la queue entre les jambes. De son côté, Seb avait repris du poil de la bête. Et nous pouvions repartir vers la partouze géante. Sur le lit, les deux femmes matures se trouvaient têtes-bêches, dans un 69 lesbien particulièrement excitant. Leurs deux maris – ceux que je pensais être les leurs, en tout cas – étaient occupés à tringler une jeune femme très fine, pas très sexy à mon goût, en levrette : un dans la bouche, l’autre dans la chatte. Et le grand lit ne désemplissait pas. D’autres femmes et d’autres hommes s’y livraient de concert à la suite de la partouze.
Retour vers la partouze géante
Quand la couguar aux seins lourds a vu, en redressant la tête de la chatte qu’elle léchait, mon chéri s’approcher, elle a eu un sourire vicelard. Non seulement à l’adresse de mon mec, mais aussi à mon endroit. Elle s’est extirpée de son étreinte avec l’autre femme mûre, et s’est dirigée, à quatre pattes sur le lit, dans notre direction. Immédiatement, de sa bouche, elle a pris la mienne. Sa langue caressait ma langue, et ses doigts glissaient vers mon entrecuisse. J’étais déjà nue, ainsi que Seb, bandé comme un taureau, que la seconde libertine mature a pris au fond de sa gorge. Je sais que mon chéri aime me voir me gouiner avec une autre femme. Et s’il peut me reluquer, la tête entre deux gros seins, tout en se faisant sucer par une troisième cochonne….
C’est à ce moment-là que, intrigués par la scène qui se jouait de l’autre côté de ce grand lit par rapport à eux, les deux maris se sont approchés de nous. La jeune coquine qu’ils tringlaient trente secondes auparavant les accompagnait, ainsi que son petit ami à elle. D’un geste d’épaule assez brutal, elle se fit une place auprès de la queue de mon homme, qu’elle lapa comme une petite vicieuse.
Mœurs libertines de province ?
Je me souviens m’être demandé si ces étranges mœurs de partouze correspondaient à des us et coutumes de province. C’était ridicule, j’en conviens, mais nous n’avions pas été habitués, à Paris, à de tels débordements : la crise de jalousie de Dudule, la nana qui se bat presque pour pouvoir sucer le zob de Seb…
vidéo-reportages sur le libertinage
Nous occupions désormais plus de la moitié du grand lit du baisodrome. Nous étions sept : trois couples, plus cette jeunette qui, désormais, avait pris la queue de Seb au fond de sa gorge. La seconde mature lui appuyait sur la nuque en cadence, pour que la bite de mon chéri lui baise la glotte. En même temps, elle avait donné ses seins à manger à mon homme, qui ne se faisait pas prier. Les deux maris m’entouraient. Je les branlais, pendant que la première libertine mûre me chatouillait le clitoris du bout de la langue. L’un d’entre eux fit mine de mettre une capote sur son sexe. Je lui ai soufflé à l’oreille : « nous sommes mélangistes ». Le monsieur n’eut pas l’air plus déçu que ça, et plongea son visage entre mes seins, comme pour se consoler. Sa femme (celle que je supposais être sa femme) eut en revanche une moue de déception et abandonna un instant mon clito.
Mélangisme vs échangisme
Je crus qu’elle voulait m’embrasser sur la bouche. En réalité, elle me murmurait à l’oreille : « j’ai trop envie de la bite de ton mari. Je veux qu’il me baise, s’il-te-plaît ». J’eus du mal à croire ce que j’entendais. Au milieu de cette partouze géante, elle allait bien trouver une queue pour la satisfaire, non ? Ben non, c’était la teub de mon mec qu’il lui fallait ! J’ai même cru, à un moment, qu’elle allait quitter le lit pour marquer son mécontentement, mais j’ai su retenir son mari par… la bite ! Vous vous souvenez de la leçon de branlette espagnole prodiguée par Chantal ? Et bien, je me suis bien appliquée à branler entre mes seins son chéri, tout heureux d’alterner entre mes nibards avec le second mari. Tant et si bien que la couguar s’est radoucie, et a trouvé une place sous moi, entre mes cuisses, pour me lécher à nouveau la chatte. Et elle s’y prenait bien ! J’étais d’ailleurs proche de l’orgasme quand mon chéri est venu collé sa bite en moi. Il devait sentir la langue de la libertine mature sur ses couilles.
Quand les deux maris se sont répandus de concert entre mes seins, j’ai joui. Alors, Seb s’est retiré. La couguar en a profité pour fourrer sa belle queue dans sa bouche et a tout avalé. Quant à elle, elle se faisait lécher la chatte par la jeunette et sa copine mature. Elle ne fut pas longue à partir. Autour de nous, la partouze géante s’était calmée.