partouze et mélangisme à plusieurs couples

Une paire de seins collée à mon visage, ma bouche gobant alternativement le téton droit et le téton gauche, je sens une bouche voluptueuse et habile prendre ma bite jusqu’au fond de la gorge. Alors, c’est ça, le mélangisme ? C’est plutôt plus agréable et plus amusant que ce que je pensais. De notre premier apéro échangiste et de la discussion sur le libertinage qui en avait suivi, j’avais cru comprendre que les couples mélangistes représentaient la partie la plus sage, la plus prude de la galaxie libertine. A sentir une seconde bouche s’emparer cette fois de mes couilles, je comprends qu’il n’en est rien.

Le petite brune qui me donne ses seins se redresse pour aller sucer une pine qui lui est tendue, alors je peux profiter du spectacle : un enchevêtrement de corps en transe, parfaitement pornographique. Mes deux suceuses se partagent littéralement mon service trois-pièces, mes testicules et mon sexe ont totalement disparu dans leurs bouches. L’une d’elle est assise sur la bouche d’un autre mec, la seconde se fait lécher la fente par une jeune femme très ronde que je trouve particulièrement attirante. Ma chérie, quant à elle, est toute occupée à échanger caresses et baisers salaces avec un couple de la quarantaine.

La petite grosse et la partouze

Il faut que je vous raconte comment on en est arrivés là. Après quelques premières rencontres échangistes très concluantes, nous nous sommes inscrits sur un nouveau site de rencontres libertines. Cette appli nous avait été recommandée par un couple échangiste pratiquant, pas du tout branché par le mélangisme. Pourtant, une fois inscrits, nous avons immédiatement été contactés par un couple mélangiste. Au début, je me suis méfié. On m’avait tellement dépeint ces couples comme des indécis…Et puis, j’ai fini par sympathiser avec la jeune femme. Alors je lui ai posé des questions. « Bien sûr qu’on a le droit à la pipe et au cunni ! Moi, j’adore sucer des bites ! », m’avait-elle répondu.

Puis, nous nous sommes échangés nos photos. Son petit ami, Nathan, plaisait à ma femme. Elle, comment vous dire ? Une nana blonde, avec de bonnes joues roses, une forte poitrine, un bon bidon, des hanches larges, des cuisses à l’avenant… Vous voyez ? Je ne vais pas dire grosse, mais le terme « ronde » me semble un peu en dessous de la réalité. Pourtant, son visage charmant, sa conversation sympathique et ses seins plus que généreux me portaient à dire oui à une rencontre. Elle savait bien ne pas être un canon grec, alors elle a proposé : « nous allons à une soirée mélangiste, style partouze à plusieurs couples, samedi. Vous venez avec nous ? Comme ça, si on ne vous plaît pas… ». J’étais convaincu.

Partouze mélangiste à plusieurs couples

C’est ainsi que nous nous retrouvons là, en pleine partouze mélangiste. Mes deux suceuses m’ont un peu laissé tomber tandis que j’admirais le spectacle et qu’elles se sont mises à se rouler des pelles entre elles. Alors, je décide de m’approcher de Manon. Je la trouve vraiment sexy. Elle est en train de prodiguer un superbe cunnilingus à l’une des libertines. Je la caresse, d’abord le dos, puis les épaules, puis les fesses. Son cul est aussi ferme que rond. Elle se laisse faire. Mieux, elle dandine du popotin jusqu’à ce que mes doigts atteignent sa chatte trempée. Elle se redresse, me regarde et, dans un sourire : « alors je te plais ? ». Je lui fais oui de la tête. Elle m’embrasse à pleine bouche. Ses lèvres ont un goût de sexe.

D’une main, ma ronde libertine continue à caresser le sexe qu’elle léchait une minute plus tôt, de l’autre elle branle ma queue, tendue comme rarement. Ma bouche va de sa bouche à ses seins, incroyablement fermes pour une femme aussi ronde. Tout en elle est sexe et sensualité. Elle sait y faire. Elle me fait frôler l’orgasme, puis calme le jeu. Par contre, la femme dont elle s’occupe, elle, ne va pas tenir longtemps. Manon s’en aperçoit et fonce tête baissée vers le sexe de la libertine, lui suce littéralement le clitoris, accompagnant une jouissance violente.

Plusieurs couples et une grosse sexy

Puis elle revient à moi. Elle se pose à califourchon sur moi, de sorte que mon sexe s’immisce entre les lèvres du sien. Sans pénétration. Juste une caresse incroyablement bandante. Il y a quelques minutes, j’avais trois femmes presque pour moi tout seul et là, je suis dingue à l’idée de coquiner avec une petite grosse ! Ce n’est pas une libertine, c’est une déesse du sexe. Chacun de ses gestes, chacun de ses baisers, et même chacun de ses mots me font bander encore un peu plus ! Elle ondule des fesses, de sorte que sa chatte caresse ma bite, la branle pour ainsi dire. Et réciproquement. Je n’en peux plus ! Il faut que je la pénètre.

Je lui dis : « j’ai envie de te prendre ». Elle continue à branler son clitoris sur mon gland : « moi aussi, j’ai envie que tu me baises. Mais on ne peut pas ». Est-ce la frustration qui me rend aussi dingue ? Peut-être. En tout cas elle s’agite maintenant sur moi comme une folle, son énorme sein droit planté dans ma bouche. Je vais jouir. Non, elle d’abord qui crie son plaisir pour mon plus grand bonheur. Puis, toujours agitée de spasmes de jouissance, elle plonge vers ma queue prête à gicler. Elle la prend entre ses lèvres, et même au fond de sa gorge, juste à temps. La petite ronde avale tout, puis se redresse vers moi, un sourire vicieux aux lèvres. « Tu as aimé ? ».