à la piscine naturiste et dans le petit bois libertin
Toujours en vacances à Terre de Soleil, Julie découvre la piscine naturiste du camping, ainsi que le fameux petit bois où la partouze s’annonce particulièrement chaude.
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Piscine naturiste… et libertine!
Je me décide à les rejoindre, notamment dans le but de me cacher de la vue des couples qui – en tout cas en ais-je l’impression – m’observent. Sabine m’accueille par un baiser fougueux, suivi d’un « alors, cochonne, on partouze dans les douches du camping ? ». Puis, c’est Léonard qui me roule une pelle, la main sur mes fesses. Sitôt notre baiser terminé, je suis de nouveau en feu. Comment vais-je pouvoir survivre à ce séjour ? Mon couple préféré me présente leurs interlocuteurs. Il s’agit de Barbara et Philippe. Elle est blonde, aux yeux bleus, la vingtaine, petite, et ses gros seins ronds et fermes flottent à la surface. Il a l’air nettement plus âgé – quarante, peut-être même cinquante ans – les cheveux poivre-et-sel, beau mec, très grand, si grand qu’on voit presque sa bite dépasser au dessus de la surface.
Ils m’embrassent l’un et l’autre, sur la bouche. Je regarde Léonard. Il ne semble pas peu fier d’être venu avec deux femmes. Sa main reste sur mon cul. Et maintenant sa queue. Il bande, tout comme Philippe, d’ailleurs, que Sabine a pris discrètement entre ses doigts, sous l’eau. En effet, le sexe est interdit dans la piscine naturiste. Mais je peux vous dire que, à observer de plus près, les mains baladeuses pelotent et caressent parmi les couples baigneurs. Je sens que Léonard est excité. Il a une main sur mes fesses, donc, et une autre posée sur la belle poitrine de la jeunette. Tout le monde autour de nous a compris ce qui se jouait ici. Et d’autres couples se rapprochent déjà. Les mains se promènent encore. Des baisers langoureux sont échangés. Le surveillant de baignade nous rappelle à l’ordre.
Sortie difficile de la piscine naturiste
Alors, Philippe nous propose de nous rendre au petit bois, un endroit un peu spécial bien connu des clients de l’Extasia, juste à côté. Les deux femmes ont l’air assez enthousiastes. Pour les hommes se pose tout de même un problème. Comment sortir de la piscine sans montrer à toutes et tous leur érection ? Qu’à cela ne tienne, Philippe ne s’embarrasse pas de pudeur. Il sort de l’eau, dévoilant une gaule impressionnante aux couples ici présents. On entend une libertine siffler d’admiration. Le « vieux beau » nous précède, nous, les femmes, suivies finalement de Léonard, qui lui aussi obtient un sifflet de la même coquine.
Là, tout s’emballe. A l’inverse du surveillant de baignade, les couples assis autour de la piscine ou trempant dans l’eau rigolent de l’état des deux mecs. Il faut vous dire que la direction du camping se veut très claire : il s’agit d’un lieu naturiste, pas libertin. Même si tous les campeurs et toutes les campeuses sont, de fait, libertins et libertines. Pire, des nanas de tous âges entourent maintenant Léonard et Philippe, les allumant ostensiblement. Et les empêchent de retrouver un peu de repos, si vous voyez ce que je veux dire. Il faut filer, en direction du petit bois, si possible en ne se faisant pas trop remarquer en passant devant l’accueil du camping.
Vers le petit bois de l’Extasia
Finalement, nous arrivons tous les cinq à nous extirper de cette « mauvaise » passe. Comme je vous l’ai expliqué dans l’épisode précédent, le club échangiste jouxte directement le camping. Et son fameux « petit bois » reste accessible toute la journée aux campeurs et aux couples venus simplement déjeuner au bord de la piscine naturiste. A cette heure de la journée, le soleil est un peu descendu, et l’ombre portée des arbres donne une atmosphère un peu frisquette pour qui est nu. Heureusement pour moi, à peine arrivés sous une tente de type militaire, disposant des lits à l’avenant, Barbara se met en tête de me réchauffer. Elle m’enlace dans son petit corps, et ses deux gros seins en pomme viennent caresser ma peau, juste en dessous de ma poitrine bien plus menue.

J’embrasse la libertine à pleine bouche. Quand ce baiser se termine, je constate que Sabine et Philippe se sont installés en 69, sur l’un des lits. Léonard, de son côté, a collé sa grosse queue entre les fesses de la blondinette, ce qui semble exciter au plus haut point cette dernière. Sans trop savoir comment, je me retrouve allongée à côté du 69, la chatte offerte à la langue intrépide de Barbara, qui se fait copieusement baisée en levrette par Léonard. Et, tandis que j’apprécie la caresse, je vois un couple s’approcher de la tente où nous partouzons. Je n’ose y croire : il s’agit du couple de tout à l’heure.
Partouze devant un couple voyeur
Ces derniers ne semblent pas décidés à participer. Ils sont sans doute déjà repus de notre partie de jambes en l’air. La libertine mûre me sourit, alors même que je m’empale sur la bite de Philippe, libérée par Sabine, qui s’amuse désormais avec Barbara et Léonard. Le sexe du « vieux beau » est moins épais que celui de mon Léo, mais semble, du coup, beaucoup plus long. Et, de fait, j’ai l’impression qu’il pénètre au plus profond de moi. Quand on apprécie comme moi, les gros membres virils et les fortes poitrines, partouzer avec ces deux couples apparaît comme une bénédiction. Et, quand on se sent un peu exhibitionniste, comme c’est parfois mon cas, le faire devant un couple voyeur s’avère d’autant plus excitant.
Le sexe de Philippe me ramone le vagin. Et je tortille du bassin pour mieux sentir ses coups de boutoir. Lui, il s’est emparé de mes petits tétons. Il les travaille avec juste ce qu’il faut de fermeté et de douceur. Je suis aux anges. A tel point que j’ai perdu de vue le trio entre Barbara, Sabine et Léonard, pourtant juste à côté de moi. Je suis sur le point de jouir. Lui aussi. C’est le moment que choisit la libertine scandinave pour s’approcher encore un peu plus. Alors, d’autorité, elle pose son sein droit, lourd et appétissant, dans ma bouche. C’est comme si je le happais. Son nichon enfoncé dans ma bouche, je jouis, provocant, de mes ondulations de reins, l’orgasme de mon baiseur.