premier gang-bang chez mon nouvel amant

Julie n’a pas l’habitude de s’adonner au gang-bang. Et pourtant, la rencontre d’un nouvel amant va lui donner l’occasion de s’essayer aux plaisirs de la pluralité masculine.

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Je me retrouve à quatre pattes, l’énorme sexe de Denis planté au fond de moi, secouée par ses assauts virils et harcelée joyeusement par une forêt d’érections tendues vers ma bouche. Je ne peux y résister. Je prends un pénis assez court, mais bien raide, dans ma bouche, tout en profitant au maximum de la pénétration de mon amant, qui m’encourage à tous bien les sucer. Son énorme engin occupe tout mon vagin et, j’en ai la sensation, tout mon corps. Un gland turgescent se colle à ma joue, comme pour me demander de le prendre à son tour dans ma bouche. Et moi, j’obtempère. Me voici avec deux bites entre les lèvres et une autre qui frappe le fond de ma chatte. Désolée pour la vulgarité, mais c’est ainsi que je le vis. Je me sens salope. Et je le suis.

Le dragueur des clubs libertins

Comment en suis-je arrivée là ? Vous vous souvenez de ma première sortie solo en club échangiste ? La partouze lesbienne avec les trois autres libertines ? Et bien, je suis retournée dans le même établissement, toujours dans l’idée de trouver quelques couples pour m’amuser. C’est là que j’ai fait la rencontre de Denis, un type assez étrange, avec des méthodes de séduction vraiment particulières. D’abord, il me faut vous dire que Denis n’est pas précisément un Apollon. Certes charmant, il arbore un physique tout à fait banal. Pourtant, on le connaît dans le milieu libertin comme un véritable tombeur.

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Alors, quelle est la recette de ce libertin célibataire ? Elle tient en deux points : un culot énorme et un pénis à l’avenant. En effet, dans tout ce que ma ville compte de couples triolistes, de libertines éprises comme moi de « grosses bites », on sait que Denis possède le plus fabuleux pénis de la région. Quant au culot, je vous laisse juges. Je vous ai déjà parlé des maladroits qui vous proposent un verre au bar du club alors que vous êtes déjà en train d’en siroter un ? Denis, lui, s’est approché de moi et m’a demandé : « puis-je vous proposer ma bite, mademoiselle ? ». J’ai trouvé la tactique amusante. Alors j’ai dit oui. Ce n’est que plus tard que j’ai eu ouïe-dire de la réputation du bonhomme dans les clubs échangistes du secteur.

Mon amant m’organise mon premier gang-bang

Quoi qu’il en soit, Denis m’a tellement bien baisée ce soir-là qu’il est devenu mon amant régulier. Assez souvent, il m’a emmenée en club ou en sauna libertin pour y rencontrer des couples. Je suis passée de la femme solo à celle en couple et cela n’a pas été une expérience désagréable. Puis, un jour, après m’avoir fait jouir de son énorme engin, il m’a proposé, comme ça, de but en blanc : « tu veux que je t’organise ton premier gang-bang ? ». J’ignore encore pourquoi, mais j’ai dit oui. Il m’a demandé mes critères de sélection pour les hommes. Je lui ai répondu que je n’étais pas non plus une bombe sexuelle. Il a insisté. J’ai dit : « propres sur eux, sympas, pas brutaux.

Ainsi me suis-je retrouvée en tenue sexy, mes petits seins à l’air, devant une demi-douzaine de messieurs en tenue de soirée. Je me suis sentie laide, vulgaire, j’ai eu envie de tout annuler. Denis a facilement trouvé les mots, le ton et le regard justes, pour me rassurer. Alors, j’ai laissé les hommes s’approcher. Certains ont commencé à caresser ma poitrine. Mais les plus nombreux se sont attardés sur mes fesses. J’en ai l’habitude. Denis, le premier, s’est emparé de mon sexe. Et de mes yeux. Il a plongé son regard dans le mien. Il a su que j’étais partante. Il a dit : « baisez-la, messieurs ».

Premier gang-bang et orgasme impossible

Au début, les hommes se sont montrés très prévenants. Ils me caressaient doucement, langoureusement, et j’ai senti le désir grandir en moi. Denis m’a léchée, tandis que, un à un, ils sortaient leurs sexes pour que je le leur suce. Il y en avait des gros, des plus petits. C’était assez amusant de les prendre chacun leur tour en bouche. Puis, de plus en plus excités, ils sont devenus plus rudes, sans être brutaux. C’est à ce moment que Denis m’a proposé de me prendre en levrette. J’étais alors au bord de l’orgasme, sous l’effet de son cunnilingus. Je me suis installée à quatre pattes, ainsi que vous m’avez trouvée au début de cette histoire.

Je reprends, donc. Je me retrouve avec deux membres virils dans ma bouche, limée – le mot est juste – par un Denis en pleine forme. Un vrai premier gang-bang. C’est là que j’entends un des hommes dire, sûr de lui : « à mon tour, maintenant ! ». Je sens Denis qui se retire. Il laisse « sa » place à cet inconnu, qui m’enfile sous les encouragements de ses complices. Je sens qu’il est moins gros que mon amant, mais pas moins vigoureux. « Elle a un cul ! Un cul ! » s’extasie-t-il. Moi, je suis toute proche de jouir. Je suce et je lèche toutes les bites qui me sont offertes. Mais rien…

Du sperme sur tout le corps

Pendant des heures, les hommes vont me prendre, me caresser, me masturber. Moi, je reste à la frontière de l’extase, sans jamais « prendre mon pied », comme ils disent. Celui qui a pris la place de Denis en moi est sorti, a retiré sa capote, et a éjaculé sur mon dos. Un autre, alors que je m’étais allongée pour en accueillir un autre en missionnaire, a déserté ma bouche pour se répandre sur ma poitrine. Les uns et les autres jouissent. Pas moi.

Je termine ce tout premier gang-bang le corps maculé de sperme. J’ai pris beaucoup de plaisir, mais pas d’orgasme. Les hommes se rhabillent tranquillement. Pas Denis, qui s’allonge à côté de moi. Il effleure à peine mon clitoris, du bout des doigts. Je sens un vertige me prendre. Il me chuchote tout simplement à l’oreille : « tu es une salope. Une vraie salope ». Je jouis enfin.

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