première partouze dans un sauna mixte
Après avoir vécu un trio HFF dans le jacuzzi du sauna mixte, Julie et ses initiateurs prennent la direction du hammam, où une partouze incroyable attend la libertine débutante.
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La chaleur moite du hammam
Sur des bancs disposés le long des murs du hammam se prélassaient des couples, vautrés les uns sur les autres. Sabine n’eut aucun mal à se faire une place tandis que Léonard me cédait volontiers la sienne, à côté d’un monsieur antillais, lui-même assis auprès de celle que j’imaginais être son épouse, une belle femme noire longiligne. J’étais gênée par la situation. Léonard ne trouvait nulle part où s’asseoir et résolut finalement d’opter pour le sol carrelé de la pièce. De là, il caressait nos jambes, celles de Sabine et les miennes, d’une façon que je trouvais plutôt tendre.

Tout occupée à tenter de discerner ce qui se passait de l’autre côté du cube, en face de moi, je n’avais pas remarqué que Sabine embrassait déjà à pleine bouche une grande blonde aux seins siliconés, sous l’œil ravi du mari, un quadragénaire plutôt bien fait de sa personne. Poussée par un désir et une curiosité qui ne m’avaient pas quittée de la soirée, je caressais les seins des deux libertines, quand je le sentis s’immiscer entre mes cuisses. A genoux sur le carrelage, Léonard plaça sa tête à hauteur de mon sexe, qu’il caressa d’abord du bout des lèvres, puis de la langue.
Caresses sensuelles
Je me laissais faire, toute au plaisir que ce cunnilingus me procurait, blottie contre la généreuse poitrine de la femme de mon lécheur qui, elle-même, n’en finissait pas d’embrasser une superbe bimbo blonde. Comment pourrais-je vous expliquer ce que je ressentis quand, en plus de tout ce qui se déroulait déjà, je sentis une bouche s’emparer de mes petits tétons ? C’était le grand antillais qui suçait désormais mes seins. C’était donc ça, une partouze. Des bouches, des seins, des fesses et des sexes qui dansaient à l’unisson dans un gigantesque capharnaüm de peaux et de plaisirs !
Je restais ainsi, à la frontière de l’orgasme, tandis que la belle libertine noire aux formes athlétiques trouvait une place à mes côtés, me séparant un court instant de Sabine, trop occupée à « coquiner », comme on dit dans le milieu libertin, avec les deux quadragénaires, pour s’offusquer de la prise de pouvoir de la jolie blackette. Quelques caresses plus tard, je me retrouvais avec un magnifique pénis d’ébène dans la main, puis la bouche, alors que l’antillaise s’occupait du sexe de Léonard, tout aussi tendu et gonflé. Ce fut lui qui décida que « nous serions mieux dans un coin-câlin ». Il est vrai que la chaleur ambiante devenait inconfortable.
Les couples chauds du sauna mixte
Ainsi, Sabine et Léonard, le couple antillais, le couple de quadra et moi-même sortions du hammam quand une jeune femme brune aux seins en pommes que je n’avais pas repérée jusqu’alors, demanda, le chibre de son petit copain collé à ses fesses fermes : « on peut venir avec vous ? ». Sabine l’embrassa sur les lèvres : « plus on est de fous, plus on rit ! ».
Mes amants connaissaient parfaitement les lieux et s’emparèrent de la plus grande chambre du sauna mixte. Il fallait bien ça, puisque nous étions neuf à nous presser et à prendre possession d’un vaste lit, où le couple noir me poursuivit de ses assiduités. Je n’étais pas spécialement attirée par sa poitrine, presque aussi menue que la mienne, mais très curieuse de goûter sa vulve. Je me penchais donc, à quatre pattes, les fesses tendues impudiquement, sur son sexe, que je dégustais en tentant de lui procurer autant de plaisir que possible. Alors que je m’appliquais sur le clitoris de son épouse, le grand black me demanda, presque timidement, en me montrant l’étui d’un préservatif : « tu veux que je te prenne ? ».
Ma première vraie partouze
Un simple sourire signa mon accord. Une minute plus tard, je sentais un pieu merveilleux me pénétrer. Dans un fantastique va-et-vient, je sentis son sexe m’emplir délicieusement, heurtant le fond de mon vagin avec autant de douceur que de vigueur. J’appréciais sa danse syncopée en moi et rendait, je l’espérais, ce plaisir à sa femme, qui semblait apprécier mes caresses buccales. D’ailleurs, tout à coup, son corps musclé se crispa, ses mains appuyèrent sur ma tête comme pour l’enfoncer dans son sexe. Son bassin s’ébranla en tout sens, et on entendit dans toute la pièce que j’avais atteint mon but. La pression de ses mains sur mes cheveux se relâcha. Elle avait joui. J’étais heureuse.
Une sorte de pause dans la partouze s’en suivit. Sabine vint vers moi, me demandant si j’appréciais ce moment. Un regard pervers éveilla mes soupçons : « j’ai quelque chose à te montrer ». Elle fit venir le quadra près de moi. Celui-ci arborait fièrement une érection comme je n’en avais pas vue auparavant. Son sexe était énorme, aussi long qu’épais. « Tu veux l’essayer ? », me demanda Sabine. En réalité, elle ne me laissa guère le choix. Elle m’installa allongée presque sur elle, la tête entre ses deux fantastiques obus. Je faisais face au danger. Le quadra eut recours à sa femme, l’air tout aussi vicieux que Sabine, pour lui enfiler un préservatif grande taille. Je l’avoue, j’ai eu peur.
Jouissance au sauna mixte
Mais monsieur n’arborait pas le même visage presque menaçant que les deux libertines. Sa femme, les faux seins tendus, dirigea sa monstrueuse érection entre mes cuisses. Et il me pénétra. Je n’eus pas mal. Au contraire. J’eus la sensation que la place de son sexe se trouvait précisément dans le mien. Il m’occupa littéralement, m’emplit entièrement puis commença à bouger en moi. Je pris le mamelon droit de Sabine dans la bouche, tout en laissant l’énorme membre viril s’agiter dans mon vagin. Il remua de plus en plus fort, de plus en plus vite, sous les encouragements de son épouse, de Sabine, et sous les regards de tous les occupants du coin-câlin. La partouze était terminée. Le spectacle d’une frêle et timide débutante se faisant saillir par un vit presque animal occupait chacune et chacun.
Il ne se montra ni brutal, ni précautionneux. Il s’était emparé de mes petits seins, et les caressait délicatement tout en s’agitant de toutes ses forces en moi. Bientôt, il râla, il grogna puis hurla de plaisir alors que sa femme criait aussi : « vas-y mon loulou, prends ton pied, petit salaud ! ». Il se retira. Je sentis seulement à ce moment que mon sexe était meurtri. La bimbo n’en avait cure, qui caressa mon clito de ses doigts et de sa langue jusqu’à ce que je jouisse à mon tour. Au moment même où un puissant et intense orgasme s’empara de mon corps, le libertin libéra son énorme pénis du préservatif et éjacula en longues ondes de sperme chaud sur mon corps brûlant.
Sabine, puis Léonard, m’embrassèrent sur la bouche. Puis ils me proposèrent une bonne douche réparatrice. J’étais épuisée. Littéralement. Je me souviendrai longtemps de cette première sortie en sauna mixte. Vous pouvez me croire.