première rencontre avec un couple trioliste
Marco, notre libertin célibataire, nous raconte sa première fois avec un couple trioliste. Donc il s’agit d’une histoire érotique qui vous prodiguera aussi quelques conseils, messieurs, pour séduire les couples libertins en quête d’amants pour madame.
A la recherche d’un couple trioliste
Après une première expérience catastrophique en club échangiste, lors de laquelle j’ai confondu tout simplement échangisme et libertinage, je me suis inscrit sur un site de rencontres libertines. Non pas que j’étais un « mort-de-faim », comme disent avec mépris certaines libertines. Mais je me trouvais vraiment attiré par ce monde du sexe libre. Certes, j’avais quelques « copines », mais je souhaitais rester célibataire. Donc, le fait d’approcher cet univers de l’échangisme m’apparaissait particulièrement compliqué.
Une fois inscrit, j’aborde quelques couples, sans beaucoup de réponses. Je tombe finalement sur des gens de la cinquantaine, qui m’expliquent que je fais fausse route. Ils m’expliquent alors la différence entre un couple trioliste et un couple échangiste. Ils m’expliquent surtout que si certains échangistes pratiquent parfois le triolisme, c’est loin d’être le cas de tous. Sans doute charmé par ma politesse, une petite dose d’humour et un certain souci de la syntaxe, ils m’orientent très gentiment vers un couple trioliste, un vrai. Deux de leurs amis plus intéressés par les relations à trois que par les rencontres à quatre.
Les maladresses d’un libertin célibataire
Là encore, échec. Pourtant, je crois comprendre que je plais plutôt à madame. Mais pas à monsieur. En fait, je m’adresse à elle par internet interposé, comme si lui n’était pas là. Grave erreur ! Si monsieur n’est pas en confiance, je n’ai aucune chance de rencontrer madame. Qui dit triolisme dit couple. C’est au duo, comme une entité, auquel il faut s’adresser. Puis, je discute un peu avec un couple cando. Je trouve leur recherche un peu bizarre. Je ne suis pas prêt à ça. Enfin, je découvre le profil de « trio6969 ». Et là, je tombe sous le charme. Elle, c’est une belle femme, auburn, des tâches de rousseur parsemant un corps élancé. J’adore les tâches de rousseur. Je tente ma chance.

C’est monsieur qui est au clavier, de l’autre côté de l’internet libertin. Il m’apparaît affable, jovial et nous partageons le même sens de l’humour. Tout ceci me semble presque trop beau pour être vrai, d’autant qu’il me dit qu’il n’a pas encore parlé de moi à son épouse. Il attend de voir si je peux convenir. Je reste calme, même si je dois bien avouer que ce petit jeu m’énerve un peu. Puis, un jour, il me demande mon numéro de téléphone. Elle va m’appeler. Effectivement, quelques minutes plus tard, une voix féminine, très douce, très sensuelle, me demande ce que je recherche dans une rencontre avec un couple trioliste.
Premier rendez-vous avec un couple trioliste
Je sens évidemment venir la question piège. Dans ces moments là, le meilleur moyen de ne pas se tromper est de dire la vérité : « je cherche des expériences nouvelles. Je suis très attiré par le libertinage. Et très attiré par toi ». Elle laisse passer un ange. J’ignore si je l’ai perdue ou si elle apprécie le compliment. Je vais bientôt avoir la réponse. « Tu es disponible vendredi soir ? ». En réalité, je ne le suis pas. Mais je vais m’arranger. Le soir dit, j’arrive donc avec un bouquet de fleurs et une bouteille de vin. Je me suis sapé correctement. Elle ouvre. Elle est splendide. Le couple trioliste me reçoit dans des tenues tout ce qu’il y a de plus correctes. Mais sans chichis. Moi qui m’attendais à quelque chose de très affriolant !
Alors on boit un verre, on discute. Il rit à mes plaisanteries. Elle aussi. « Femme qui rit à moitié dans ton lit » ?. Pas sûr. A un moment, elle se lève pour aller vers la cuisine, chercher quelques chips ou cacahuètes. Une minute plus tard, Sandra appelle Yann, pour venir l’aider. Bien sûr, je ne suis pas dupe. Et je sais bien qu’ils tiennent conseil pour savoir « si ça le fait ». Je les regarde donc revenir vers le salon, avec la boule au ventre. Il me dit : « alors, qu’en dis-tu ? On reste un peu ensemble ? ». Je suis ravi. Je bredouille. Et, évidemment, je dis oui. Elle s’approche de moi, qui suis encore assis sur le canapé. Puis elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses, approche son visage et ses belles tâches de rousseur et dépose un doux baiser sur ma bouche.
Sexe à trois dans la chambre conjugale
Je lui réponds par un « french kiss » enflammé. Ses mains caressent mes cheveux. Les miennes parcourent son corps fin et sexy. J’ai les deux paumes lovées contre ses fesses musclées quand il dit : « on passe dans la chambre ? ». Je suis donc le couple trioliste dans la chambre conjugale. Elle nous fait asseoir tous les deux sur le bord du lit. Et elle exécute pour nous un strip-tease qui nous révèle à la fois son corps de rêve et ses qualités athlétiques. « Elle fait de la pole-dance », me chuchote-t-il à l’oreille. Ses seins sont plus gros que je les imaginais. Pas énormes, non, mais elle a vraiment une belle poitrine. Ses fesses, elles, sont encore plus belles que dans mon imagination. Elle vient s’asseoir à nouveau à califourchon, mais cette fois sur Yann. Je caresse son dos nu, appréciant la douceur de sa peau, pendant qu’ils s’embrassent. Etrangement, la situation me paraît non seulement très excitante, mais aussi assez naturelle. Alors, elle se penche vers moi, m’embrasse à mon tour, sous le regard approbateur de son mari.
Puis Sandra s’allonge entièrement nue sur le lit conjugal. Elle se laisse aller à nos caresses. Enfin, elle murmure : « je veux vos sexes ». Yann quitte le lit le temps de se déshabiller entièrement. Il est bien monté. Mieux que moi en tout cas. Je l’imite, un peu craintif de décevoir la belle par mon anatomie. Il se place près d’elle, la bite au niveau de son visage. Elle le suce, tandis qu’il caresse son clitoris de la main gauche. Je me place de l’autre côté. Elle tourne la tête. Et elle me prend en bouche. Je caresse son sexe de la main droite. Elle suce incroyablement bien, mieux que toutes mes copines précédentes.
Une nuit entière de triolisme
J’ignore pourquoi, mais, dans mon souvenir, le lit est à baldaquin. Ce qui est entièrement faux. Je le sais pour être revenu dans cette chambre plusieurs fois. Mais je n’arrive pas à m’enlever cette impression de la mémoire. En tout cas, elle retourne vers le membre de son mari, qu’elle lèche délicatement. Moi, je me penche vers ses seins, deux jolis globes bien ronds et parsemés de tâches de rousseur. Elle miaule un peu, tout en passant sa langue sur le gland de Yann. Elle veut que je la prenne tout le suçant. Puis me sucer pendant qu’il la baise.
J’ai l’impression que, ce soir-là, nous avons essayé toutes les positions sexuelles possibles entre deux hommes et une femme. En réalité, nous en avons « oublié » une, je vous en reparlerai plus tard. Le triolisme a, en autres bienfaits, la qualité de permettre aux hommes de redescendre régulièrement en pression. Notre partie de sexe à trois va durer des heures. Pendant lesquelles Sandra jouira trois fois, si je me souviens bien, d’orgasmes discrets, sans ostentation. Pourtant, à un moment donné, comme possédée par un démon, la belle va s’extirper de la mêlée. Je la vois s’agenouiller au sol.
Elle se masturbe devant nous
Elle se masturbe ainsi, à genoux, et réclame du regard que nous la rejoignions. Debout à côté d’elle, nous nous branlons à notre tour. Yann est le premier à partir. D’un jet puissant, il inonde le visage de sa femme. Elle pousse des cris de joie. De véritables cris de joie ! Elle qui n’en rajoute pas quand elle jouit, je suis surpris. Alors, comme je l’ai fait depuis le début, j’imite Yann. Et j’éjacule sur la joue de la belle. Elle part. Son dos bascule en arrière. Elle saisit son sexe à pleine main et jouit en hurlant : « salissez-moi. C’est trop bon ! Salissez-moi ! ».
Puis elle se calme, un sourire vicieux aux lèvres. Cette femme d’une classe infinie, intellectuelle bourgeoise, « bobo » diraient certains, et sans doute assez féministe, reste là devant nous, le visage maculé de sperme, qui dégouline maintenant le long de son corps nu. « C’était trop bon, merci » dit-elle en s’adressant autant à moi qu’à son mari. « Merci » ? Mais c’est à nous de la remercier, elle qui nous a donné tant de plaisir. Elle se relève enfin, soutenue par son homme. Et nous invite à la rejoindre sous la douche. Nous allons la savonner, la nettoyer, la masser. Elle en fera autant avec nous. Et me gardera auprès d’eux, tendrement, calmement, jusqu’à l’heure du premier métro.
Recommandé par un couple trioliste
Les semaines qui suivirent, je me suis rendu régulièrement chez ce couple trioliste magnifique. Mieux : ils m’ont entraîné avec eux, un soir, dans un sauna libertin, celui-là même où j’ai coquiné avec une star du porno. Notre complicité allait grandissant. Je fus d’autant plus surpris alors qu’il me recommande à un autre couple trioliste. En quelques semaines, donc, je suis devenu la coqueluche d’une petite communauté de triolistes lyonnais, parmi d’autres hommes célibataires, qui se conseillaient leurs amants respectifs.
De ma vie, je n’ai jamais autant fait l’amour que lors de cette période. Nos rendez-vous avec Sandra et Yann se sont espacés. A ma grande tristesse. Ils demeuraient pour moi LE couple trioliste parfait. Alors, quand, un soir, Sandra m’a téléphoné en me demandant si je pouvais venir, je n’ai pas hésité. Toutes affaires cessantes, je me suis rendu à leur appartement. Comme à l’habitude, nous avons pris l’apéritif. Comme le plus souvent, nous avons fait l’amour à trois dans la chambre conjugal. Et comme quelque fois, je m’attendais à ce qu’elle nous réclame, à la fin, un bukkake.
Retrouvailles érotiques
Mais la libertine avait autre chose en tête. A un moment, alors que je la baisais en missionnaire, devant Yann qui se reposait un peu, elle lui dit : « tu sais ce que je veux ? ». Il répondit par l’affirmative. Il s’allongea sur le lit. Elle vint s’empaler sur sa grosse bite. Je ne savais pas quoi faire. Moi qui imitais les faits et gestes de Yann, je ne voyais pas bien comment participer. Elle se pencha sur lui, relevant ses sublimes fesses musclées. Qu’il écarta des deux mains.
Elle tourna la tête vers moi. Et, dans un sourire parfaitement candide, elle me demanda : « tu veux bien me prendre par derrière ? ». Surpris, j’eus un temps de latence. Mais que pouvais-je refuser à ma belle amante qui me demandait de l’enculer ? Alors, je suis venu. Ses fesses étaient humides de sueur. Mon gland passa la frontière en douceur. Elle grommela un peu. Puis chuchota : « continue… viens… ». Mon sexe, plus petit que celui de Yann, s’engouffra entièrement dans son cul. « Ne bouge pas tout de suite. Laisse-moi le temps de m’habituer ».
Double-pénétration avec son mari
Je sentais la queue du mari, presque contre la mienne. C’est elle qui remua des fesses la première, nous donnant le signal. Elle était prête. Elle respirait profondément, semblant apprécier chacun de nos mouvements en elle. C’était un peu comme si le sexe de Yann branlait le mien. Et réciproquement. Et elle, elle commentait, le souffle court : « vous me remplissez bien. Je me suis entière, complète ». D’un coup, elle s’agita. La caresse sur ma queue était telle que je me retenais de jouir. Puis, de la même façon qu’elle avait un orgasme quand nous éjaculions sur elle, elle se transforma en démon. Elle jouissait. Et nous aussi.
J’appris par la suite que j’avais été le premier – et à ce jour le seul – à vivre cette expérience avec ce couple trioliste. Une question de confiance. D’intimité. D’un rapport presque amoureux. Aujourd’hui, Sandra et Yann sont parents et se sont un peu calmés sur le libertinage. Mais ils me convoquent encore une ou deux fois par an pour quelques galipettes érotiques.