en soirée gangbang dans un club échangiste
J’ai demandé à quelques copines libertines de partir en reportage dans le milieu échangiste. Aujourd’hui, c’est Cathy, une coquine qui en connaît pourtant long sur la pluralité masculine, qui découvre la soirée gangbang de son club libertin préféré.
Mon club habituel, version soirée gangbang
Affublée d’une robe très courte, portée évidemment sans culotte, avec un large décolleté sur mes gros nibards, je sonne à la porte d’un club échangiste que je fréquente depuis de longues années. Jusqu’ici, rien ne change : le même gardien aimable à la porte, la même jolie meuf aux vestiaires qui prend mon manteau. De l’entrée, j’entends la musique qui résonne sur la piste de danse : rien que de très habituel. Mais c’est en pénétrant dans la pièce principale que je m’aperçois que les choses ne sont pas tout à fait comme les autres soirs. Personne ne danse. Les hommes seuls, très nombreux, restent accoudés au comptoir ou lovés dans un fauteuil. Tous n’ont d’yeux que pour trois couples installés sur les canapés. Ils essayent d’intercepter leurs regards. Ils font de même avec moi.
Je m’avance, traverse le dance-floor et m’installe sur un tabouret au bar. Cynthia me fait la bise et me demande : « comme d’habitude ? ». Affirmatif, ma belle, et sans doute une tripotée de bites juste après. Les mecs célibataires me dévorent des yeux. C’est plutôt flatteur. A ce stade, je préfère vous faire le topo de mon physique de « tombeuse » : la bonne cinquantaine, des heures de vol. Notez, j’ai tout ce qu’il faut où il faut… et même un peu plus ! Les autres femmes – presque toutes – me ressemblent. Nous avons là une grande quadra un peu sèche, petits seins, petit cul et quelques rides naissantes. Elle échange des regards avec une quinqua aux formes encore plus généreuses que les miennes, pour ne pas dire grosse. Et puis, il y a cette donzelle, accompagnée d’un mec aux airs timides. Elle doit avoir la vingtaine, la petite trentaine au grand maximum. Très jolie, pas spécialement sexy, elle a plutôt un corps de danseuse : fine et plate.
Que la soirée gangbang commence !
Elle va donner le signal. La nymphette se lève, escortée par son mari, et file vers les alcôves du club. Aussitôt, près de la moitié des hommes lui emboîte le pas. Voyant ça, la quinqua ronde l’imite, elle aussi poursuivie, mais par des hommes un peu plus âgés. Son homme veille également au grain. Je ne sais pourquoi, une angoisse, quelque chose comme du trac, m’étreint alors. Ce n’est pourtant pas le moment de jouer les pucelles. Je décide donc de marcher tranquillement vers mon coin-câlin favori, celui sur le thème vénitien. Au passage, je jette un coup d’œil dans la chambre où se trouve le jeune couple. Elle pose en levrette, son cul ferme tendu vers des bites au garde-à-vous. Quant à moi, je m’installe sur le lit en forme de gondole pour y attendre mes prétendants. Je ne vais pas attendre longtemps.
Les hommes arrivent par petits groupes de 2 ou 3. Je commence à en sucer un, puis deux. Ils sortent tous leurs bites. Il y en a des petites grosses, des longues et fines, des blanches, des bronzées et quelques noires. Un véritable festival de la teub ! Des mains et des bouches courent sur tout mon corps, sur mes gros seins en particulier. Moi qui ai toujours apprécié la pluralité masculine, je regrette désormais d’avoir si longtemps boudé la soirée gangbang de ce club !
Treize à la douzaine
Pour dire vrai, je n’ai pas le temps de compter le nombre de mecs que je vais sucer ou qui vont me baiser pendant ce moment de partouze intense. Je dirais une douzaine, facilement. Très vite, je me retrouve à quatre pattes, avec un mec qui me tringle copieusement, une bite dans la bouche et des tas d’autres queues qui se pressent pour prendre place. Alors que le type qui me saute s’agite de plus en plus vite, prêt, j’imagine, à décharger dans la capote, je me vois moi-même, dans ma tête, au centre de cette folle cavalcade. Un orgasme puissant monte en moi. Je jouis en même temps, ou presque, que mon baiseur.
Entreprenants, ces messieurs se montrent pourtant respectueux. Pas un mot plus haut que l’autre, pas une insulte sexiste ne vole. Tant mieux. Je prends un court temps de repos pour m’apercevoir que je n’ai opéré aucune sélection parmi la meute des queutards. J’aime autant. Après tout, j’aime faire plaisir. Un peu de savoir-vivre et une bonne hygiène me suffisent. Je m’allonge sur le dos. Un beau jeune homme, aux abdos bien dessinés, me pénètrent. Les autres se branlent au dessus de moi. Je caresse leurs couilles. Et je les pompe comme je peux.
Quand le premier d’entre eux arrosent mes seins d’une éjaculation copieuse, je sens que je vais jouir à nouveau. Cela fait un moment qu’ils se succèdent en moi. Eux-aussi craquent les uns après les autres, trop heureux de ne pas être le premier. Une petite compétition s’est instaurée, bien malgré moi.
Interviews de gourmandes
Je n’en peux plus. Ça doit faire plus d’une heure que je me fais ramoner. Je prends congé de ces messieurs. Apparemment, ceux-ci ne m’en tiennent pas rigueur. Les quelques-uns qui n’ont pas encore rendu les armes foncent vers une autre alcôve. Quant à moi, je passe devant celle de la jeune donzelle. C’est l’abattage. Toujours en levrette, elle hurle, encouragée par son petit ami, les pires insanités : « baise-moi, salaud, défonce-moi avec ta grosse bite ! ». Des gars, plutôt jeunes, manifestement sélectionnés par le boy-friend, attendent leur tour.

Quand je retrouve le bar, après une douche bien méritée, je suis la seule femme à bord. Quelques hommes semblent reprendre des forces en prévision du second round. D’autres partent du club, manifestement satisfaits. Il faut encore plusieurs dizaines de minutes pour que les autres femmes de cette soirée gangbang me rejoignent. Je pense interviews, ma chère Julie. Les deux plus vieilles me racontent leur vie de gangbangueuses, toutes deux amatrices avant tout de pluralité masculine. Leurs maris respectifs, eux, ne pipent mot.
Mais celle qui m’intéresse le plus, c’est bien sûr la jeunette. La voilà qui arrive, suivie par son mec comme par un toutou. Elle a du se faire baiser en levrette par une quinzaine de jeunes types ! Elle est radieuse. Je lui propose de leur payer un verre. En tout bien tout honneur. Les deux tourtereaux m’expliquent que c’est, pour eux aussi, leur première soirée gangbang. Ils ont bien fait un trio HHF, une fois. Mais voilà tout. Alors pourquoi ? Un fantasme de mademoiselle, tout simplement.
Fin de la soirée gangbang
Le jeune couple cando en a fini. Ils repartent du club échangiste, en même temps que la plus épaisse des gourmandes retournent vers les alcôves. Quelques mecs, que je n’ai pas encore vus, me font comprendre qu’ils s’occuperaient bien de moi. Et je dois dire que l’idée me plaît. Mais j’ai la chatte en feu. Arrivée dans un autre coin-câlin, je me déshabille entièrement. Je me mets à genoux. Et je me caresse le clito, attendant qu’on me colle une pine dans la bouche.
Je vais être servie. Pour le moins. Je vous ai déjà parlé de mon goût pour le bukkake ? Alors voilà. Arrosée par une dizaine de gars, je m’offre un troisième orgasme.