une tournante candauliste avec des hommes TTBM
Manon nous raconte une expérience récente qu’elle a vécue. Son compagnon, Nathan, lui a organisé son fantasme : une tournante libertine avec des hommes inconnus, sélectionnés parce que TTBM.
Les invités pour la tournante
Le soir de la tournante candauliste venu, je me suis retrouvée, pour ainsi dire, consignée dans notre chambre. Entièrement nue, je devais attendre que mon compagnon m’envoie un à un mes nouveaux amants. Très excitée, j’ai commencé à me masturber doucement quand la sonnerie de la maison a retenti la première fois. Mais quand elle a sonné pour sixième fois, j’ai commencé à m’inquiéter un peu. Les hommes prenaient un verre tranquillement dans le salon. Moi, j’attendais d’être la pute gratuite de ces messieurs. Je vous demande de ne pas porter de jugement sur mes fantasmes. Si ça ne vous convient pas, rien ne vous oblige à me lire. Mais l’idée d’être « vendue » (ce qui n’était pas le cas) par mon mari à une tripotée de mâles m’excitait, ces derniers temps, d’où cette aventure cochonne très récente.
Finalement, on a frappé à la porte une première fois. Je me suis levée, offerte au regard de l’inconnu qui allait bientôt pénétrer : « entre ». L’homme a ouvert la porte. Il est resté un moment interdit, comme fasciné par mes deux gros seins lourds. Je me suis approchée de lui. J’ai pris ses main et je les ai posées sur mes gros nibards. On s’est embrassés. Une bonne pelle moelleuse et sensuelle. Je ne vous ai pas dit : il avait la petite trentaine, plutôt mignon, bien gaulé. J’étais en appétit. Après m’être laissée peloter, je me suis agenouillée, et j’ai ouvert sa braguette. Sa queue a littéralement jailli de sa cachette. Une belle bite longue, pas trop épaisse, que je me suis mise à lécher de bas en haut, en partant des couilles pour remonter jusqu’au gland. Il était déjà bien dur.
Succession de baiseurs dans la chambre conjugale
Je lui ai enfilé une capote et lui ai demandé la position dans laquelle il voulait me baiser. Il m’a dit : « je veux voir tes seins pendant que je te prends ». Je me suis allongée sur le lit pour qu’il me baise en missionnaire. Sa bite m’a pénétrée et s’est enfoncée entièrement en moi, sans plus de préparation. J’étais déjà trempée d’excitation. Alors, quand je l’ai sentie au fond, j’ai presque du réprimer un premier orgasme. Lui, il s’est saisi de mes gros seins et m’a limée. Nous avions donné une consigne simple : ces messieurs devaient aller vite. Il m’a donc baisée sans ménagement, se cramponnant à mes nibards, me disant que j’étais belle, que j’étais une salope. J’ai joui en même temps que lui, quand sa longue bite est venue taper en coups violents au fond de moi.
Il s’est effondré sur mon corps. Je lui ai dit que c’était bon. Il m’a répondu que j’étais bonne. Il a retiré la capote que j’ai jetée à la poubelle. Puis il a remonté son pantalon et est sorti de la chambre.
Des hommes TTBM pour me baiser
Pas une minute après, on frappait à nouveau à la porte de la chambre. Un petit bonhomme, la soixantaine, chauve, avec un peu de ventre, est entré. Il s’est déshabillé entièrement, cette fois. Il m’a regardée et m’a ordonné : « suce-moi ! ». A nouveau, je me suis retrouvée à genoux, sa bite était plus courte mais très épaisse. Son gland dur s’est niché sur ma langue. Et j’ai pompé. Sa queue était raide, malgré son âge. Au bout de cinq minutes de pipe qu’il a apprécié, je crois, autant que moi, il m’a dit : « je vais te baiser maintenant, petite pute. Mets-toi à quatre pattes ». Je me suis installée en levrette sur le lit. Le vieux m’a baisée pendant cinq bonnes minutes et a giclé en moi, dans la capote. Il m’a laissée toute proche d’un nouvel orgasme. Il s’est rhabillé. Enfin, il est sorti. La tournante pouvait continuer.

La tournante candauliste m’excite
Le troisième type m’a trouvée en feu. J’avais envie de me faire limer encore et encore. Mais lui, il avait besoin d’être chauffé. Un jeune homme, la vingtaine, sportif et timide. Il a longuement joué avec mes seins. Il les a pelotés, il les a embrassés, il les a sucés. Puis il a sorti une bite tout simplement énorme. Aussi longue que la première, aussi large que la deuxième ! Pendant qu’il s’amusait avec mes tétons, je lui ai passé la capote. Il s’est assis sur le bord du lit conjugal, et je me suis empalée sur lui. Excitée comme une folle, j’ai tortillé du cul, parfaitement installée sur sa super bite, pendant qu’il tentait de gober entièrement mes deux grosses mamelles. J’ai joui à nouveau. Un truc violent, au fond du bide, qui est remonté le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mon cerveau.
Revenue à moi, j’ai compris qu’il aurait du mal à gicler ainsi. Alors, je me suis remise à genoux devant lui, et j’ai commencé une branlette espagnole. Le gars était aux anges. D’autant plus que sa queue était tellement longue que j’arrivais à lui lécher le gland par intermittence, à chaque fois qu’il ressortait de l’étreinte de mes deux globes. Il s’est finalement répandu en longues giclées sur mes deux nibards. Pendant qu’il se rhabillait, je me suis essuyée. Et j’ai attendu qu’un autre homme vienne me baiser.
Encore trois hommes pour me baiser
Il en restait trois. Deux quadras TTBM qui m’ont littéralement sautée en levrette. Et un rebeu, la cinquantaine, avec une belle tige et qui m’a demandé : « tu te fais enculer ? ». J’ai répondu que non. Sa bite m’impressionnait trop. Il m’a finalement baisée en me traitant de tous les noms. Et a fini par me gicler sur le visage : « salope, t’aimes ça le jus d’arabe ? ». Oui, j’aimais ça.
Il est reparti pas peu fier de son œuvre. Pendant que je m’essuyais à nouveau, j’ai entendu mon chéri raccompagner mes baiseurs à la porte. La tournante semblait terminée. Enfin… pas tout à fait. Nathan est venue me rejoindre. Il avait l’air fier de moi. Il pouvait. Il était excité aussi. Alors, il m’a baisée tout le reste de la nuit, jusqu’au petit matin, en me demandant de lui raconter chaque instant de cette première tournante. C’était avant-hier.