trio candauliste dans une boite échangiste

Nos lecteurs ont la parole ! Et aujourd’hui, c’est Christophe qui nous raconte sa première expérience en club libertin, à savoir un trio candauliste avec un couple qui sait ce qu’il veut. Notre débutant semble, quant à lui, un peu perdu. En tout cas, au début…

Je me permets de vous poster ce témoignage, alors que je ne sais pas très bien écrire (j’ai arrêté l’école assez jeune et, même si j’aime beaucoup lire, il me manque sans doute quelques outils). En effet, je souhaite vous faire part d’une expérience que j’ai vécue avec un couple candauliste dans un club libertin, alors que j’étais en stage à Paris. Je suis très amoureux de ma femme, et notre vie sexuelle se passe très bien, même si on baise moins souvent que je le voudrais. Bref, j’avais vu un reportage sur les clubs échangistes qui m’avait beaucoup intrigué (qui m’avait fait bander, pour tout dire). J’ai donc profité de l’occasion de ce séjour dans la capitale pour essayer, juste pour voir.

Un type banal en club libertin

Je me suis donc rendu un soir dans une soirée mixte, avec des couples et beaucoup, beaucoup d’hommes seuls. Confusément, j’espérais tomber sur un gang-bang, ou trouver un couple trioliste pour un moment sympa. Mais, étant plutôt timide de nature, je ne me faisais pas trop d’illusions par rapport aux très nombreux mecs dans mon cas, qui devaient avoir plus de bagout que moi. Au pire, je pourrais mater. Rien ne m’encourageait donc à espérer faire cette rencontre d’un couple cando que j’ai eu la chance de vivre ce soir là. Elle était belle, une petite rouquine, très fine, avec de jolis petits seins que révélait un décolleté plongeant, une peau blanche à l’extrême et des tâches de rousseur sur le visage. Il semblait très sympa, petit, trapu, toujours le sourire aux lèvres.

C’est lui qui s’est approché de moi : « salut, tu es seul ? ». « Oui », répondis-je, « je suis marié, mais ma femme ne sait pas que je suis là ». Il me dévisagea pendant de longues secondes : « honnête en plus, c’est parfait ! Je t’explique : ma femme et moi (il désigne du doigt la petite rouquine), on cherche un mec pour nous accompagner dans un coin-câlin, pour s’amuser… ». Sa phrase resta suspendue. Il attendait une réponse de ma part et je ne savais pas comment accepter. J’ai alors simplement dit : « oui ». Je me trouvais bête, de ne pas avoir la moindre répartie, mais, déjà, il tournait les talons pour retourner auprès de sa chère et tendre.

Vers un premier trio candauliste

Je n’avais plus qu’à suivre, ce que je fis. Elle tortillait des fesses devant moi, sur tout le chemin qui nous séparait des alcôves du club. Le mec tenta de pousser une porte, mais la chambre était prise. Puis une autre : idem. C’était bien ma chance. Un couple me voulait et on n’allait pas trouver le moindre endroit pour baiser ! Heureusement, il finit par trouver une porte ouverte. Une minuscule petite pièce, d’où sortirent trois couples qui rigolaient en se rhabillant. La voie était libre. La petite rouquine me prit par la main : « tu as déjà fait un trio candauliste ? ». « Non », bredouillais-je, « c’est la première fois que je viens ici, et je ne sais pas ce que c’est ».

« Quoi ? Un trio candauliste ? » sourit-elle. Un long silence se fit. Je devais avoir l’air du dernier des imbéciles. « J’ai envie de faire l’amour avec toi. J’ai envie que tu me baises comme une pute, que tu me traites comme la dernière des salopes. Et Antoine voudrait nous mater pendant que tu profites de sa femme ». Il avait déjà sorti sa queue, et se branlait mollement en nous regardant discuter. La petite rouquine prit ma main à nouveau et la posa sur ses seins. Je me mis à bander comme un âne. Elle approcha sa bouche de la mienne. J’étais avec un couple cando dans un club libertin et mon aventure ne faisait que commencer.

La rouquine libertine, son mari et moi

Nos deux bouches mêlées, je respirais l’odeur agréable du parfum de la jeune femme. J’avais saisi ses deux petits seins à pleines mains et ne faisais plus guère attention à la présence de son homme. L’idée de baiser une femme devant son mari voyeur aurait pu me contrarier, mais il n’en était rien. J’avais pris le parti d’ignorer sa présence. Après tout, si c’était un jeu entre eux, un délire cando de couple, je n’avais pas forcément à m’en inspirer.

Alors que mes mains repassaient dans le dos de la jeune libertine, pour mieux redescendre vers son petit cul rebondi, je me mis à l’embrasser dans le cou. C’est à ce moment que mon attention fut attirée par la vitre derrière elle, qui reflétait son dos nu, d’une blancheur étonnante, bien que parsemée de tâches de rousseur. Un doute me prit alors, à raison : il s’agissait d’une glace sans tain, d’où les autres mâles du club devaient nous observer.

Trio candauliste devant des voyeurs

Je pris alors sur moi de faire pivoter les pieds de ma proie et de la basculer sur le lit. Elle se montra ravie de cette initiative. La nuque tendue vers l’arrière, elle n’attendait qu’une chose : devenir un objet sexuel sous ma fougue, et sous, bien entendu, le regard de son homme. Je comptais bien ne pas la décevoir. Très vite, par la légèreté de sa tenue, ses nichons menus se retrouvèrent nus et j’y collais ma bouche. Ses tétons étaient durs, presque piquants, et ma main projetée vers son entrejambe me confirma que se chatte était trempée.

Je ne savais plus bien si c’était l’idée d’un délire cando ou celle de baiser avec moi – après tout, elle m’avait choisi parmi de nombreux prétendants – qui l’excitait à ce point, mais je n’avais pas l’ombre d’un doute sur son état d’échauffement. Lorsqu’elle fut entièrement nue, je pus à loisir admirer son corps menu. Ma bouche parcourait chaque centimètre carré de sa peau diaphane jusqu’à se coller, entre ses cuisses, à ses lèvres humides. Je sentais son bassin vibrer à chacune de mes caresses de la langue jusqu’à ce qu’un filet de voix me parvienne : « viens, baise-moi maintenant ».

Baise-moi comme une pute !

Je fus vite debout, au bord du lit surélevé, le bassin à hauteur du con rouquin qui s’offrait à moi. D’un coup d’œil que j’aurais préféré ne pas avoir, je vis le chibre imposant du mari de la belle candauliste, que celui-ci agitait avec ferveur. Vite équipé d’un préservatif, il ne me restait plus qu’à m’enfiler dans la chatte ouverte de ma conquête.

clubs échangistes
reportage vidéo réel

Elle était chaude, offerte, comme abandonnée à mon plaisir. « Baise-la comme une pute, je te la donne », éructa le compagnon. Je n’allais pas me priver. J’agrippais la jeune libertine par les épaules et me plantait aussi loin qu’il m’était possible en elle. Elle se mit à brailler. J’aurais pu croire que ses cris étaient surjoués, mais, croyez-moi, il n’en était rien.

La saillie dura un long moment, pendant lequel elle se mit en levrette pour mieux accueillir dans sa bouche l’énorme zob de son époux cocu et voyeur. Puis elle se retourna à nouveau pour s’allonger sur le dos, me laissant travailler vigoureusement ses petits nichons alors que je la tringlais.

La candauliste aime le sperme

Voyant que j’allais bientôt jouir, elle me supplia de me retirer, d’enlever la capote et de la couvrir de mon sperme : « je veux ton foutre partout sur moi, salis-moi, salis-moi ». Je me répandis donc dans un orgasme bruyant, tapageur, électrique, quand je vis que son mec giclait, quant à lui, dans la bouche de sa chère et tendre.

De l’extérieur, j’entendis un tonnerre d’applaudissements s’élever, de derrière la glace sans tain. Le spectacle de ce trio candauliste avait enthousiasmé notre public. Mes jambes flageolaient, et un léger sentiment de culpabilité vis-à-vis de ma femme s’empara de moi. Mais j’étais bien.

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