un trio HHF avec un couple africain libertin

J’ai mes petites habitudes dans ce petit sauna libertin du centre de Lyon. Je connais bien le patron, un homme qui aime les hommes, et qui a ouvert cet établissement, au départ, pour des rencontres gays. Mais certains soirs, l’ambiance y est tout à fait hétéro. Un jour, il faudra que je vous parle de ces lieux gays qui diversifient leurs activités vers le libertinage hétérosexuel. Mais tel n’est pas mon propos aujourd’hui. En effet, je voudrais vous raconter une de mes plus belles expériences érotiques, peut-être le plus sensuel et le plus pornographique trio HHF qui me soit arrivé. Je garde cette expérience sexuelle en tête comme un précieux souvenir.

Dans mon sauna préféré

Ce soir-là, j’arrivais donc au sauna à une heure spécialement choisie : ni trop tôt, ni trop tard. La plupart des convives sont déjà là (je parle de ceux qui m’intéressent : les couples), mais n’ont pas encore eu le temps de faire connaissance ni de se lancer dans les coquineries. Bastien, le proprio, me tend une serviette blanche impeccable et je file aux vestiaires. Je dois bien avouer que cette tenue ne me met pas vraiment en valeur. Je commence à avoir un léger bedon, rien de trop gros, mais tout de même. Il faudrait que je pense à m’entretenir. Bref, je passe la serviette autour de ma taille et, fidèle à mes habitudes, je file vers le jacuzzi.

Lors de ma traversée de l’établissement et de mon arrivée vers le bain à bulles, je fais quelques constatations simples. Premièrement, il n’y a pas trop d’hommes seuls. Un club libertin ou un sauna mixte, ça ressemble à un marché : c’est la loi de l’offre et de la demande. Deuxièmement, il y a pas mal de couples. J’en compte sept, ce qui n’est pas mal pour un jeudi soir. Troisièmement, il me semble bien que peu de ces couples sont en réalité en quête d’un trio HHF ou d’une expérience de pluralité masculine.

Ambiance échangiste au sauna

En fait, j’ai l’impression que l’ambiance du jour est plus à l’échangisme qu’à la gaudriole avec des hommes célibataires comme moi. Pas de chance pour moi. Je retire ma serviette. Puis je fonce dans les eaux bulleuses du grand jacuzzi. Deux couples s’y baignent déjà, reluqués par un jeune mec seul qui me paraît bien timide pour ce genre d’endroits. Hélas pour moi, si la concurrence ne semble pas rude, les deux couples se connaissent. Ils ne regardent même pas autour d’eux. Manifestement, ils vont coquiner ensemble. Point barre. Deux autres couples semblent dans le même cas. A les voir agir et discuter ensemble, ils se sont connus sur un site de rencontres échangistes et se sont donnés rendez-vous ici. Il n’y a sans doute non plus rien à attendre de leur côté.

Bref, l’ambiance est au sexe entre couples et je me vois déjà revenir bredouille de cette petite escapade libertine. Par contre, je dois travailler le lendemain. Donc je ne peux pas me permettre de rester là jusqu’à des heures indues. Je tente ma chance au hammam, où deux autres couples prennent la vapeur, sous le regard de quatre gars concupiscents. L’un des deux couples, assez jeune, semble vouloir céder aux avances de deux mecs encore plus jeunes. Le second couple appartient clairement à la grande famille des indécis. Ils évitent de croiser le regard de quiconque. Sans doute rêvent-ils d’une licorne libertine. Ou peut-être d’une rencontre avec un couple canon ? Ni lui, ni elle n’ont les moyens de fantasmer plus haut que leurs culs, qu’ils ont d’ailleurs assez bas.

Un couple africain dans le hammam

Je me dis que ce n’est pas mon soir, quand le premier couple sort du hammam, escorté par les deux jeunes queutards. Mais la porte n’a pas le temps de se refermer qu’arrive déjà le dernier couple que j’ai repéré précédemment. Un couple africain, ou d’origine africaine, manifestement. Il est aussi grand et athlétique qu’elle est petite et potelée. Mais, vous savez ? Ce genre de femmes rondes aux formes bandantes et sensuelles. Elle trimballe deux beaux seins noirs en obus, ainsi qu’un cul rebondi, qui semble ferme et doux. Lui, c’est une énorme queue qu’il promène entre ses cuisses. Je me souviens de l’histoire d’Audrey, avec son mec black au micro-pénis. Là, je peux vous dire qu’il n’en est rien. Je n’ai jamais rien vu d’aussi long et épais, sauf peut-être dans des films X.

Ces dimensions spectaculaires n’empêchent pas ce couple d’afficher une timidité certaine, sans doute celle de libertins plutôt débutants. Qu’à cela ne tienne. Cette femme noire me fait bander. Je me vois déjà sucer ses gros tétons bruns, et peloter son cul de vénus hottentote. Nous nous retrouvons à sept dans le hammam : le couple timide, le couple africain, moi et deux autres types qui ne me semblent pas vraiment représenter une concurrence pour moi. Il reste donc de la place sur les bancs, mais la vénus noire vient s’asseoir juste à côté de moi. Je n’y tiens plus. Je laisse glisser délicatement la main sur sa cuisse. Elle se laisse faire. Je reste prudent.

Préliminaires torrides au hammam

Mais la belle africaine me rend ma caresse et pose à son tour sa main sur ma peau. Très vite, elle remonte jusqu’à mon chibre tendu. Je me penche vers elle, comme pour l’embrasser sur la bouche. Elle esquive et dirige mon visage vers ses beaux seins en obus. Alors je la tète. Elle apprécie. Mes doigts remontent jusqu’à son sexe. Elle est entièrement épilée. Sa chatte s’ouvre à moi. Ma main trouve un gros clitoris, gonflé et réceptif à mes caresses. Je jette un coup d’œil vers le reste du hammam. L’autre couple fait semblant de n’avoir rien vu. Par contre, l’un des deux mecs, le plus vieux, se branle en nous regardant. Le second quitte le hammam.

Déjà, le mari de ma complice passe à l’action. Il se met directement debout sur le banc. Et tend sa gigantesque bite à sa compagne. Alors que je lui mange littéralement les seins, elle engloutit dans sa bouche une partie du zob de son mari. Il est comme un fou. Comme pris de spasmes, il fait comme s’il était en train de baiser la gorge de sa femme. Peine perdue : personne ne peut avaler un tel engin dans sa bouche. Moi, je caresse sa moule, j’embrasse ses seins, alors qu’elle branle ma queue, qui me semble bien petite à cet instant précis. Puis, tout à coup, la belle africaine se raidit. Elle se lève, suivie de son homme, et le couple africain quitte le hammam sans autre forme de procès.

Le libertinage à Dakar, Sénégal

Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Je ne le saurai sans doute jamais. Alors, je quitte à mon tour le hammam, la queue entre les jambes et le souvenir de sa peau d’ébène dans la tête. J’ai chaud. Je vais boire un verre au bar. Bastien remarque bien que je ne suis pas dans mon assiette. Il me tend un Schweppes agrumes tout en rigolant de ma mésaventure. Pas longtemps. Le couple africain vient s’asseoir à ma table. Elle me dit, avec un accent très prononcé : « je suis désolée. Je préfère qu’on parle un peu avant. Tu comprends ? Tu veux discuter un peu avec nous ? ». Là, je remarque vraiment comme elle est jolie : des yeux noirs comme deux perles, une bouche et des lèvres sensuelles à souhait, une peau lisse et sans défaut.

Ils me posent des tas de questions. Est-ce que je viens souvent ici ? Qu’est-ce que je fais dans la vie ? Etc… Ils m’expliquent être là pour les affaires de madame. Elle s’occupe d’exportation de tissus et vêtements vers l’Europe. Lui, il est banquier à Dakar, Sénégal. Ils profitent de leur séjour en France pour s’adonner au libertinage. Car chez eux, s’il existe bien un milieu libertin, la chose est encore plus mal vue qu’en France. Sur ce, ils finissent d’un trait leur Coca Light, et m’invitent à les rejoindre dans une alcôve.

Trio sexe avec un couple africain

Je les suis, évidemment ! Et j’ai le temps de reluquer son cul splendide, qui risque bien de faire exploser le paréo qu’elle a remis en sortant du hammam. Ma serviette, quant à elle, a bien du mal à masquer mon érection. On trouve un petit coin-câlin, que le mari referme à clé derrière nous. Elle m’embrasse enfin sur la bouche. Quelle pelle ! Je n’ai pas souvenir d’avoir connu un baiser aussi langoureux. Ses lèvres épaisses sont douces, sa langue juste assez inquisitrice. Lui, il a déjà placé sa grosse queue entre ses fesses et lui caresse les seins. Elle lui dit : « attends un peu, pas comme ça ». Alors, elle me fait me mettre à genoux sur le lit puis plonge, bouche ouverte, vers mon entrejambe. Elle suce merveilleusement bien. Ce faisant, elle lui tend son cul. Le gaillard prépare la chatte de sa femme du bout de la langue. Puis, il enfonce son énorme pieu dans le sexe offert.

Le salaud ! Il la lime, certes doucement, mais entièrement. Je veux dire que sa bite entière disparaît dans la moule de la belle africaine. Comment peut-on accueillir un tel engin ? Mais elle apprécie. Et plus il s’agite en elle, mieux elle me suce. Il faut que je me retienne. J’ai ses deux obus entre les mains. C’est ferme, doux, voluptueux. J’ai envie de la prendre à mon tour. Mais sentira-t-elle simplement quelque chose après le passage de son mari TTBM ?

Double-pénétration interraciale

Depuis cette aventure libertine, j’ai regardé quelques films X dans la catégorie interraciale. Avant, je trouvais cette catégorie stupide. C’est toujours le cas. C’est quoi, cette histoire de races ? De plus, on y montre quasiment toujours une femme blanche avec un ou plusieurs hommes noirs. Rarement l’inverse. Avec les proportions du mari, je comprends mieux pourquoi. Mais elle, elle fantasme sur les hommes européens. Elle me l’a dit. Et la pipe qu’elle me prodigue atteste de son enthousiasme. Mais soudain, elle cesse de me pomper. Elle dit quelques mots dans une langue qui m’est étrangère. Son homme lui tend alors une capote. Elle a vite fait de la dérouler sur ma queue.

Le grand noir s’allonge sur le dos. Sa femme vient s’empaler, prenant la longue tige en entier. Le spectacle qui m’est offert est fabuleux. Quel cul elle a ! Je n’ai jamais vu de ma vie des fesses aussi bandantes. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle ouvre des deux mains son cul. Elle écarte les deux magnifiques globes. Ça ne pourrait être plus explicite. Elle veut que je la sodomise. Ce couple africain, apparemment si timide, me propose une double-pénétration. Je ne vais pas me faire prier.

L’amant d’un couple africain libertin

Cette double-pénétration s’avéra époustouflante. A y repenser aujourd’hui, j’ignore comment j’ai pu pénétrer son cul, avec son sexe tout occupé par son géant de mari. A peine y suis-je parvenu que la déesse eut un premier orgasme. Le second ne viendra que plus tard, me laissant tout le loisir de me rincer l’œil sur ses fesses fermes et grandioses. J’ai joui en elle, dans la capote, comme son homme qui lui, s’est répandu dans de violents spasmes dans son con.

Depuis, à chaque fois qu’ils sont de retour en France, le couple africain me prévient. J’ai fait des kilomètres, même jusqu’en Bretagne, pour les rejoindre. Je suis devenu l’amant blanc de cette splendide femme. Bien sûr, je sais qu’elle me fait quelques « infidélités ». Mais je suis heureux qu’elle profite de ses fantasmes. Et que d’autres Français que moi puissent jouir de ce corps de rêve, de cette sensualité à fleur de peau.