un trio HFF dans le jacuzzi d’un sauna libertin

Je n’en revenais pas de me trouver là, quasiment nue, entourée de mecs en serviettes, dissimulant mal leurs érections, et de femmes simplement habillées de paréos pratiquement transparents. Mes complexes et ma pudeur ressurgissaient comme une armée de farfadets nuisibles à mon développement érotique et sexuel. Mes complexes, parce que je ne parvenais pas à faire tenir mon paréo, qui glissait le long de ma poitrine trop menue. Ma pudeur, parce que, de ce fait, chaque pas me laissait pour ainsi dire seins nus, exposée aux regards concupiscents des libertins et libertines qui se trouvaient autour de moi.

Sabine vint à ma rescousse. Elle m’attira à l’écart de la foule des couples échangistes, retira entièrement mon paréo, me laissant cette fois en tenue d’Eve. Elle caressa mes tétons, qui pointèrent immédiatement. Puis, tout en souriant : « nous n’arriverons à rien avec tes petits nibards. Tu devrais faire comme ça ». Elle entoura mes hanches du morceau de tissu, joyeusement résignée à laisser libre à tous la vue de mes tétons dressés. Comme pour me rassurer, elle plaça son propre paréo de la même façon, au dessus de la taille, offrant à mes yeux ses deux magnifiques seins. « De toute façon, là où nous allons, tu n’en auras pas besoin ».

Découverte du jacuzzi

Dans quoi m’étais-je embarquée ? Je n’avais qu’une envie : me réfugier pour la soirée dans la fabuleuse poitrine de mon amante, et peut-être me laisser prendre en levrette par le beau vit du mari de celle-ci. Mais je ne pouvais plus reculer. Sabine m’avait prise par la main, et je la suivais à la cadence du balancement de ses deux splendides mamelles. Nous ne passions pas inaperçues, ainsi dévêtues, dans les couloirs du sauna libertin. Au sous-sol, nous attendaient un jacuzzi et Léonard, qui barbotait déjà dedans. Autour de lui, des couples de tous âges et de tous styles – tous échangistes imaginais-je – semblaient attendre je-ne-sais quel feu vert.

Sabine tomba effectivement le paréo et s’immergea dans les bulles. Je n’eus d’autre choix que de l’imiter. J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Et c’était vrai. Je sentis même une main – de femme ? d’homme ? – sur mes fesses alors que celles-ci descendaient sous l’eau. Ce ne fut qu’une fois immergée jusqu’aux épaules que je compris le jeu de mains baladeuses qui se jouait sous la surface. Sabine et moi entourions Léonard, son érection déjà fort avancée. Il nous entoura de ses bras, posant sa paume sur un sein de l’une et de l’autre. Ce furent d’autres doigts que je sentis courir sur ma cuisse. Ceux d’une femme très mûre et assez grosse qui était assise à ma gauche. Je ne sus comment réagir.

Un trio HFF impromptu

Et ce fut quand ses doigts atteignirent mon clitoris que Léonard s’aperçut de ce qui se tramait. Il me regarda, amusé, fermer les paupières sous l’effet de la caresse. La dame ronde s’enhardit et se pressa contre moi. Je sentais des seins, certes moins beaux, mais encore plus gros que ceux de Sabine, frotter les miens dans la chaleur de l’eau bouillonnante. Je me savais observée. Comment allais-je réagir ? se demandait le couple de libertins expérimentés qui m’avait entraîné là. Je décidais de relever le défi. La coquine mature approcha sa bouche de la mienne. Nos langues se mêlèrent, tandis que je palpais ses deux énormes obus tombants.

Mais je n’avais pas anticipé la suite. Son mari, un gros moustachu poilu et bedonnant, voulut se joindre à nos ébats. Sans se poser de questions, il s’était levé et nous avait littéralement collé son sexe sur les joues. Un gros vit épais, assez long, surmonté d’un gland menaçant. Bientôt, la tête de ce sexe dodu se trouva entre nos bouches, dont le baiser goulu n’avait pas cessé. Ma langue caressait à la fois cet étrange objet et la langue de l’épouse. Je jetais un coup vers Sabine et Léonard : ils semblaient ravis de me voir en telle posture.

Orgasmes féminins dans le jacuzzi

Pendant tout ce temps, la dame gironde farfouillait ma vulve, agaçant mon clitoris avec un certain savoir-faire. Alors que son mari jouissait dans nos deux bouches, j’eus un orgasme aussi inattendu qu’intense et bruyant. La salle du jacuzzi retentit de deux râles, l’un masculin, l’autre féminin, qui surprirent tous les couples qui y circulaient alors. J’étais comme folle. Et je ne me souciais plus du regard de mes initiateurs, Sabine et Léonard, sur moi. Alors, la bouche encore maculée de la semence virile, je pris l’un des deux énormes mamelons de la libertine pour le sucer, tout en fichant mes doigts dans son vagin, saisissant ce que, je l’appris plus tard, on surnommait la zone G. J’aspirais une bonne partie de ce sein fantasmagorique entre mes joues, tout en masturbant la dame de toutes mes forces. Ce fut à elle d’avoir un orgasme puissant, entre mes doigts et mes lèvres.

La pression redescendit. La dame et le monsieur poilu sortirent du bain de bulles sans dire mot. Je regardais mes deux amants qui souriaient. Ils étaient fiers de moi. Fiers d’eux, surtout, je crois. Sabine me prit dans ses bras, entre ses deux seins réconfortants. Léonard se redressa, extirpant de l’eau son sexe dressé et triomphant : « bon, on va au hammam ? ». Cependant, ma première soirée en sauna libertin n’était pas terminée. Loin de là.